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  • LES RISQUES D’UNE CAMPAGNE PAS TRES REPUBLICAINE A VANVES

    Des signes ne tromprent pas d’une certaine frébilité ou tension qui régne depuis que La République En Marche a annoncée la candidature de Séverine Edou  à Vanves, en tandem avec Gabriel Attal, conseiller municipal sortant-secrétaire d’Etat à la jeunesse. Le maire sortant aurait repoussé, loin de lui,  la député LREM lors de la prise de photo officielle à la fin de la cérémonie patriotique du 11 Novembre, sur le parvis de l’Hôtel de Ville, et aurait signé un tweet assassin sur la candidate LREM à Vanves, alors que jusqu’à présent, il ne s’était pas permis de telles attitudes mysogines et sectaires comme s’y prêtait son mentor d’Issy les Moulineaux, vis-à-vis tant de Florence  Provendier que Gabriel Attal jusqu’à ses derniers temps, puisqu’un accord se négocie actuellement pour faire liste commune contrairement à Vanves. Comme par hasard, comme à Issy lesMoulineaux, les marcheurs ont du mal à trouver un local pour ouvrir une permanence. Personne ne veut louer. Ce qui n’est pas étonnant car voilà plus de quinze ans, les mêmes méthodes avaient été utilisés pour empêcher le Journal de Vanves de trouver de la publicité auprès des commerçants, avec la complicité du président du GEV.

    En attendant, la campagne prend des airs d’une série de films datant des années 50 qui fait encore la joie des téléspectateurs qui ne s’en lassent pas, narrant les disputes et querelles de Don Camillo et Peppone. A peine les marcheurs distribuaient des tracts le week-end dernier annonçant la candidature de Séverine Edou, et les ateliers participatifs dont le premier s’est déroulé au Soleil Levant hier matin que la majorité municipale organisait l’inauguration de l’allée des Carrières à la même heure hier matin, avec un pot d’amitié au café de l’avenir. Comme par hasard, sur un tract imprimé à la va-vite, et distribué ce week-end, la majorité municipale annonçait l’inauguration de la permanence au 70 rue Bleuzen à 17H30 et la déclaration officielle de la candidature de Bernard Gaucheau à 18H30 à l’école Marceau le samedi 23 Novembre. Justement ce jour là, se tient le second atelier participatif au café de la Gare, mais le matin à 10H. Aurait il du avancer cette annonce officielle qu’il aurait prévu plus tard, fort de ses 61% au 1er Tour des Municipales de 2014, alors qu’il l’avait annoncé le 19 Novembre 2013 la dernière fois ? .

    Ce qui promet pour les prochains samedis de Novembre où d’autres ateliers participatifs sont prévus, et peut être d’autres inaugurations ou déambulations inaugurales. En attendant, après son premier tract d’annonce de candidature et des ateliers participatifs de Novembre avec un vrai site internet ((www.vivre.Vanves.fr) , Sébeine Edou tenait sa première réunion au café Le Soleil Levant, avec cet atelier participatif consacré à la démocratie participative, et le vivre ensemble, en présence d’une quarantaine de personnes, sans compter les clients du bar et quelques personnes envoyées en mission d’observations par, on ne sait trop qui, mais qui pianotaient sur leur portable. «On s’est réuni avec quelques marcheurs pour faire un constat et voir ce qu’il fallait faire, avec les vanvéens, au travers de ces 3 ateliers participatifs de Novembre. Le mot «ensemble» est important. Pour monter un vrai projet afin de redynamiser la ville. Et auquel adhérent les vanvéens» a expliqué la candidate LREM avant de laissé la parole aux vanvéens présents qui ont dressé justement un constat sévére sur lequel le blog reviendra, et des propositions que la candidate présentera en temps voulu

  • PLATEAU DE VANVES : INAUGURATION DE L’ALLEE DES CARRIERES

    L’inauguration, ce matin, de la requalification   de l’Allée des Carrières (photo des travaux cet été)  situé entre la rue Sadi Carnot entre justement et la voie piétonne Danton est le point d’orgue des travaux de requalification du Plateau menée par GPSO en 3 phases,  après le square des droits de l’enfant, le passage du Centre Commercial.

    Cette dénomination provient sûrement d’un lieu dit du Plateau « Les Glaises » qui était  situé aux alentours du carrefour Albert Legris, indiquant qu’un gisement d’argile (la glaise) était exploité à l’emplacement du Palais Sud (Hall 7) du parc des expositions de la porte de Versailles. D’ailleurs l’origine du nom de la rue du Moulin l’atteste, puisqu’il apparaît toujours aux endroits où des carrières ont existé. Cette glaise donnait, après cuison, cette fameuse brique et tuile dite de «Vaugirard», comme pour cette allée de carrières préféré sûrement à l’allée des glaises. Mais cela s’explique car un autre lieu dit dénommé «Les carrières» était situé entre la voie du chemin de fer et la rue Larmeroux plutôt vers la rue de l’Avenir. Il indiquait la présence de nombreuses carrières souterraines de pierre à bâtir (moellons) qui s’étendaient surtout sur Malakoff.

    Voilà pour l’histoire passée.

    Pour l’actualité, sa réfection était devenue nécessaire comme l’expliquera le maire de Vanves, pour pacifier ce lieu de passage, les riverainse plaignant, lors des réunions publiques de quartier,  de ces individus qui traînent, et font du bruit, du passage intempestifs de deux roues pédaradantes, des trafics en tous ces genres… L’éclairage a changé, le parvis de l’école primaire Max Fourestier a été réaménagé,  les espaces verts requalifiés avec  rafraichissement de la végétation, une caméra de vidéosurveillance a été installé, avec une sécurisation du passage pour empêcher l’accès des deux roues aux deux extrémités grâce à des sas.

  • VANVES REGARDE SON MINISTRE ALLER AU FEU POUR ETEINDRE LES MANIFS ETUDIANTES

    Un vanvéen connaîtrait il son épreuve du feu avec cette mobilisation de la jeunesse contre la précarité étudiante, suite à l'immolation d'un jeune homme à Lyon le 8 Novembre dernier, des violences qui ont eu  lieu le 12 novembre au ministère de l'Enseignement supérieur. «Il y a une émotion très forte chez les jeunes, mais pas seulement,. Cette émotion, je la comprends et je la partage. Mais on ne peut pas accepter des violences» expliquait Gabriel Attal, secrétaire d'État à la Jeunesse dans les médias Depuis Jeudi,  cet élu vanvéen reçoit et négocie avec les syndicats étudiants (UNEF, FAGE) pour éteindre le feu, ce qui n’est un exercice facile. Une nouvelle expérience pour ce benjamin du gouvernement. Une initiative à la demande du Premier ministre pour faire un point d'étape sur l'accompagnement social des étudiants et les chantiers en cours, comme le projet de revenu universel d'activité réclamé parde nombreuses associations d'étudiants.  Il ne manque pas de courage, car apaiser la colère étudiante n'est pas chose facile. Certains prédécesseurs s'en sont mordus les doigts. Mais souvenez-vous, au lendemain du premier ou du second week-end de manifs des gilets jaunes. Il était le seul ministre à être sur le plateau de France 2 un dimanche soir face à Jean Luc mélenchon et d’autres élus de gauche. 

    Il a eu l’occasion de s’en expliquer avec un sénateur altoséquanais, collégue d’Isabelle Debré à l’assemblée départementale, mercredi dernier lors des questions au gouvernement : «Plus d’un étudiant sur deux ne mange pas tous les jours à sa faim, près d’un étudiant sur deux a renoncé à se soigner, par manque d’argent. Il n’y a que 175 000 places en résidences étudiantes pour 700 000 boursiers et le loyer représente plus de 70 % du budget moyen d’un étudiant. Plus d’un étudiant sur deux est obligé de travailler - et dans les postes les plus précaires et les moins rémunérateurs. Ils composent plus de 60 % de la main-d’œuvre des plateformes de prestations. À cela s’ajoutent des conditions d’enseignement indignes et un sous-encadrement pédagogique chronique. Cela aboutit à des situations de désespérance, à des drames humains, comme celui d’Anas, autant de cris de détresse que vous ne pouvez ignorer» a expliqué Pierre Ouzoulias (FG/PC) pour lequel « à la jeunesse qui veut se cultiver, vous renvoyez le message détestable qu’elle n’est qu’une charge qu’il faut alléger».

    «Depuis plusieurs années, les gouvernements qui se sont succédé veulent répondre à ce problème. Nous avons supprimé la cotisation de sécurité sociale, 217 €, payée par les étudiants à la rentrée. Il y a deux mois, nous avons augmenté les bourses de 46 M€, désormais payées à date, le 5 du mois, voire par anticipation en début d’année, pour les étudiants qui ont pu constituer leur dossier. Évidemment, il faut poursuivre ces progrès et mieux faire connaître les quelque 50 dispositifs d’urgence qui existent, pour éviter des drames comme celui qui vient de survenir» a t-èil répondu en s’interrogeant «Le Crous de Lyon était-il informé de la situation de ce jeune ? L’enquête administrative en cours le dira".Mais mieux, il assuré que « La concertation autour du revenu universel d’activité vise aussi à repenser l’accompagnement "