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  • LE CAFE DES AIDANTS A VANVES POUR LES AIDER A DECONNECTER POUR UN MOMENT DE REPIT ET D’ECHANGES

    La semaine dernière a été marquée par la présentation d’un plan pour «agir en faveur des aidants» par le premier mInistre, et la secrétaire d’Etat Sophie Cluzel. Cette vanvéenne a donné de multiples interviews dans les média pour présenter ses «solutions de répit pour que les proches aidants puissent souffler».  

    En France, plusieurs millions de personnes (8,3 Milions) s’occupent au quotidien d’un proche en perte d’autonomie pour des raisons liées à l’âge, un handicap, une maladie chronique ou invalidante. «Être aidant, cela grignote le temps quotidien, bouscule parfois la vie professionnelle» a déclaré Sophie Cluzel sur France inter, en soulignant qu'ils sont «un pilier de cette société fraternelle, bienveillante, solidaire. L'État doit pouvoir les accompagner et prendre soin de leur santé» a-t-elle poursuivi, annonçant la création d'une plateforme de répit pour leur donner des solutions d'accueil pour leur proche. « Les aidants nous demandent de pouvoir souffler, pouvoir prendre un week-end» en évoquant des places dans des maisons de répit, dans des établissements adaptés ou encore la solution du «relayage», où un professionnel passe plusieurs jours consécutifs au domicile de la personne aidée, ce qui permet à son proche de prendre du repos. «Tout le monde n'a pas besoin de répit, n'est pas dans une intensité d'aide», a-t-elle ajouté, évoquant notamment les aidants qui ont une vie professionnelle, et  la création à partir d'octobre 2020  d’un congé indemnisé de trois mois, fractionnables. Le café des Aidants est un des dispositifs qui les aide à déconnecter un moment comme à Vanves.

    A Vanves, il se déroule un mardi par mois se déroule à la Crêperie La Girafe, un café animé par des professionnels, à l’initiative de la Fondation Odilon Lannelogue qui l’a créé et lancé en 2013/14. A l’époque de ses débuts, il se tenait au Bristol. Il s’agit d’un temps convivial d’échanges et d’informations avec un théme à chaque : « Quels clés pour maintenir une communication avec lui/Elle »,  le 5 Novembre, « les fêtes approchent, La famille et les amis, un soutien our moi ? » le 3 Décembre. «Les proches qui accompagnent une personne âgée ou handicapées ont besoin de soutien. Il leur est essentiel de sortir de la solitude, de s’informer, de s’exprimer, d’être écoutés» explique t-on à l’Association Française des Aidants  qui a initié un réseau national «Les cafés des Aidants» ouvert pour eux. Vanves en fait partie avec Antony, Colombes, Gennevilliers dans les Hauts de Seine. «Une fois par mois environ, tous les aidants familiaux, conjoints, enfants, amis proches, sont les bienvenues pour des temps d’échanges et de partages d’expériences dans un espace convivial. Les « cafés des Aidants » sont aussi des occasions de se rencontrer pour obtenir des conseils, des informations ou des explications sur les dispositifs d’accompagnement locaux et nationaux, les démarches à accomplir, les différents lieux-ressources … La rencontre, qui dure autour d’une heure et demie, est co-animée par un psychologue et un travailleur social. Elle débute par une conférence-débat sur des thèmes choisis à l’avance. À l'issue de ces interventions, un temps d'échange est prévu entre les aidants et avec les professionnels ».

  • LORSQUE LE PATRON DU PETIT VANVES RACONTE SA PASSION DE LA CUISINE

    Sur Google, lorsqu ‘on recherche dex informations sur le restaurant Le Petit Vanves et son patron Jean Pierre Anselme, on tombe sur  un site web gourmand  qui titrait : « Vanves : le p’tit bonheur chez Jean-Pierre ». Son auteur Dominique Brugière, gourmand/gourmet fureteur, parle d’une pépite à Vanvénne. «Jean-Pierre Anselem a fait de son Petit Vanves une table d’amis. L’endroit est agréable, à deux pas de la Porte de Versailles, le patron chaleureux, la cuisine à la fois bistrotière et gastronomique, le service souriant et efficace, les vins gouleyants et suaves. Bref, on est là, entre soi et soi, presque comme à la maison … et même en mieux!»écrit

    Mais savait il qu’il a écrit un livre (à compte d’auteur) : «La cerise sur le cuistot -Merci de continuer » aidé par Armelle de Valom et mis en page par Ivan Locle : Souvenir d’enfant avec ce parfum de cuisine familiale vécu au cœur de Parisdans ce quartier des Halles grâce à sa grand mére, Hermance, puis sa mére, Francine, « ses deux professeurs de cuisine », cette dernière lui ayant offert un classeur de recettes  avec petit mot « merci de continuer ». Puis son choix, lorsque la voix de l’apprentisage s’ouvre à lui, d’être cuisinier, après avoir été tenté par l’école Boulle et le métier d’ébéniste : «Comment aurais-je pu faire autre chose que ce métier là ? ».  Il va panser ses blessures de jeunesse (un pére absent) dans les marmites et le cuisines des grands restaurants parisiens, «auprès de chefs renommés qui vont me servir de modéles, et pas seulement pour la cuisine ! » : Chez Denis, avec le célébre patissier Francis Vandenhende, Taillevent  mené alors par le chef Claude Deligne,  avec ce turbot au soufflet d’asperges qui a marqué sa famille, le restaurant de Jean Marais, Le Chamarré,  «Le Valentino » avec Claudio Monterverdi… «La cuisine fait partie de ma vie, comme un membre. De haut en bas, je suis dedans » confie t-il dans ce livre où il raconte qu’il a, enfin, ouvert, voilà dix ans son restaurant à Vanves « pour être conmme chez soi » sur lequel il a travaillé pendant un an, entièrement refait à sa façon : «L acuisine est à l’identique de la décotation, franche, conhérente, avec des références connues. Bienvenue chez moi ! ».  Avec Yoan aux fourneaux depuis dix ans

  • LE CHEVAL VAPEUR : FUTURE LIBRAIRIE DU PLATEAU DE VANVES

    Le Blog avait fait état d’une décision du Conseil Municipal du 9 Octobre dernier créant une aide à l’immobilier d’entreprise qui permettra ainsi à un propriétaire par exemple de louer un local à un libraire à la moitié du prix du loyer habituellement pratiquée, en  citant l’exemple d’une première convention de partenariat signé  avec la société Avril Brise qui a présenté un projet d’exploitation d’une librairie, au 71 rue Jean Jaurés, baptisée du nom : « Le Cheval Vapeur », dans l’ex-local du vétérinaire constitué d’un rez-de-chaussée de 60m2   et un sous solde 70m2

    Elle serait tenu par une professionnelle qui exerçait ce métier jusqu’à présent à la librairie « Page 189 » dans le 10e arrondissement de Paris, après quelques expériences à «MK2 quai de Loire » (Paris 19e), « 104 » (Paris 19e) et «La Friche » (Paris 11e) dans des sites parisiens branchés : Il s’agit  de Guler Le Pape qui avait le désir d’ouvrir d’une librairie à son compte et telle qu’elle le souhaitait : Une librairie généraliste de qualité, marquée par une bibliodiversité susceptible de répondre aux différentes demandes des vanvéens. « La réussite d’un tel projet dépend de la capacité à conjuguer dans un même rayon, une offre grand public avec une offre destinée aux « grands » lecteurs » explique t-elle en souhaitant mettre en avant tant les littératures francophones et étrangères que la jeunesse et la bande dessinée, tout en développant en parallèle, des rayons sciences humaines et ses différentes composantes (philosophie sciences sociales, histoire, spiritualité, actualité, psychologie, psychanalyse, pédagogie), poésie, théâtre, essais, policier, science fiction…

    Un fort accent serait mis, bien évidemment, sur la littérature, secteur principal du marché du livre. Avec les incontournables des grandes maisons d’édition, mais aussi, les ouvrages de ses petites maisons d’édition qui enrichissent la bibliodiversité pour répondre aux différentes demandes, et la littérature étrangère qui sera classée par domaine de langue. Le rayon vie pratique qu’elle souhaite placer au sous sol, sera entièrement axé sur la connaissance de la faune, de la flore, du jardinage, du développement personnel, avec des guides de voyages. Les fonds des rayons bande dessinée et Jeunesse seraient pensés pour donner une part importante à la création contemporaine, tout en conservant les classiques d’usage, en axant le rayon BD vers le roman graphique, la BD de reportage, le graphisme et la belle illustrations. Une signalétique claire devrait être mis en place dans ce rayon avec pour la BD franco-bekge et jeunesse, un classement par série dans des bacs, ainsi que pour les comics et  mangas. Le rayon jeunesse sera organisé par tranches d‘âge, allant des touts petits aux romans pour adolescents en pasant par les albums illustrés, les premières lectures et les romans de 9 à 12 ans.

    Enfin, elle souhaite utiliser les vitrines qui ne conviennent pas à la création d’une librairien pour rendre la librairie attrayante, pour les mises en avant thématiques transversales, des nouveautés, les annonces d’événements. Et apposer sur ls ouvrages des bandeaux portant la mention «Le Cheval Vapeur vous conseille »