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  • MALAKOFF ADOPTE UNE DEMARCHE A L’OPPOSE DE VANVES POUR AMENAGER SON ENTREE DE VILLE

    «La démocratie n’est pas vaincue par le froid» constatait on Mardi soir à Malakoff, alors que la neige menaçait de retomber. Prés de 500 habitants, dont quelques vanvéens,  ont assisté à une réunion publique dans le préau de école Jean Jaurés,  consacré à l’aménagement d’un projet dénommé «la porte de Malakoff». Du jamais vu à Vanves, sauf du temps de projets comme l’îlot du métro, Cabourg au début des années 2000, et le lancement de la tour Triangle, un peu plus tard

    Il s’agit de la porte de Vanves derrière le Périphérique, côté Malakoff, autour cette tour de l’INSEE à la silhouette caractéristique qu’elle doit quitter au printemps, avec la faculté de droit, un gymnase et un groupe scolaire, soit prés de 14,5 ha. Il s’agissait pour la maire de Malakoff, Jacqueline Belhomme (FG/PC), en présence des maires du XIVéme et de Vanves, de présenter la démarche participative avec la population «pour imaginer un avenir, faire tomber des frontières, réaliser un beau projet pour l’entrée de Malakoff» comme elle l’a expliqué en ajoutant. «On ne veut plus travailler sans les uns, sans les autres. Face au  chamboulement institutionnel annoncé, on veut marquer  le coup. Les habitants nous l’ont dit : La ville nous appartient. Ne faîtes rien dans nous !».      

    Une démarche à l’opposé de celle adopté pour la porte voisine, Brancion qui a fait l’objet de l’appel à projet «Inventons la MGP» initiée par la Métropole du Grand Paris (MGP) avec Ville de Paris et Vanves, avec désignation par un jury – il n’y avait qu’un seul candidat -  le groupement Woodeum : Celui-ci a prévu une résidence (en bois) pour étudiants au dessus du Périph, pour jeunes travailleurs à côté etc…. Quant à la population, elle aura droit à une réunion publique de présentation du projet quand tout a été décidé et arrêté. Pour la future porte de Malakoff, rien de tel, même si sa municipalité a décidé de travailler avec un aménageur, Citallios, ex-SEM92,.«On sait que ce départ de l’INSEE est appétissant pour les promoteurs. On a dit non ! On préfére demander l’avis de la population, évaluer les besoins, se mettre en position de peser avec elle pour construire un vrai projet de ville qui corresponde à notre projet de société. On n’a pas de maquette, ni de plan, nous sommes vraiment en amont du projet» a-t-elle ajouté.

    D’ailleurs la ville a pris ses précautions en instituant un périmére d’études pour montrer qu’elle se préoccupait de l’avenir de ce quartier, en interconnexion avec Paris et Vanves. A la suite de cette réunion où se sont exprimés les habitants, seront organisés une balade-visite exploratoire du site, des ateliers thématiques et une réunion de travail… pour aboutir à une feuille de route établie avec les habitants que leur maire intégrera dans l’appel d’offres présentés aux équipes d’architectes. Intéressant comme démarche

  • LA PHOTO DU JOUR A VANVES : TOUJOURS LA NEIGE

    Les réseaux sociaux sont remplies de photos de Vanves sous la Neige, alors que débutait hier soir un nouvel épisode neigeux moins brutal que Mardi soir de la semaine dernière. Cette fois-ci même les sableuses étaient de sorties avant

  • LE CESE DE VANVES ET LA CULTURE : DES REFLEXIONS LAISSEES LETTRE MORTE SAUF POUR LE STREET ART

    Grâce à une collaboration ville de Vanves-association The Wall qui a pour vocation de rechercher des espaces d’ouverture et de liberté de création pour des artistes de rue,  Garcia Debens a réalisé une fresque sur le mur de l'aire de jeux du Square du Général de Gaulle. «La Ville de Vanves qui recherchait activement un moyen d’habiller le mur de l’école Marceau, a répondu favorablement à la proposition de Le Wall. Ainsi, après quelques semaines de mise en place du projet, Debens a pu réaliser sa fresque entre le 4 et le 7 décembre dernier ». Cette initiative répond notamment à un souhait de vanvéens qui siégeaient   à la commission Education et Culture du CESEV de développer justement le street art dans la ville qui pourrait être un point d’échange et de rencontre.

    Ceux-ci avaient eu l’occasion de mener quelques réflexions sur la culture en faisant quelques remarques et suggestions voilà quelques temps. Cette commission avait revèlée que certaines activités culturelles sont peu promues, voir absentes, notamment l’histoire locale en sollicitant davantage les citoyens ou associations locales compétentes, la Citoyenneté laïque et religieuse, afin de maintenir la cohésion sociale, en sollicitant des Ambassadeurs de la laïcité (Diplômes d’Université de médiation socioreligieuse), les animations spontanées de rue, les boites à livres en étudiant l’opportunité de ces boites urbaines présentes dans certaines villes, les cafés thématiques en incitant ce genre de rencontre encore timide (café Théo, social , philo,  ).

    Cette commission avait commencé à plancher sur quelques proposition :  une fête de la jeunesse, la Construction/mise à disposition de murs dédiés au Street Art (près du skate Park, dans les parcs de la ville, etc.) pour limiter les murs souillés par des graffitis et donner l’opportunité aux grapheurs de travailler dans de bonnes conditions, l’ouverture du cinéma pendant les vacances, imaginer une carte culture afin de minimiser le coût des activités dans le cadre de GPSO.