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  • VANVES BIEN SOUTENU PAR LE DEPARTEMENT DES HAUTS DE SEINE

    Le Blog Vanves au Quotidien revient sur le budget du Conseil Général dont Vanves devrait profiter grâce à un contrat de développement signé avec le Conseil général,   à de nombreuses subventions et travaux menés sur son territoire. Rappelons que ce budget a prévu prés de 703 M€ pour la solidarité avec des moyens accrus sur plusieurs priorités : prise en charge du handicap avec 160 M€ (+5%) avec un effort sur le maintien à domicile, la scolarisation des jeunes en situation de handicap, montée en puissance des dépenses d’hébergement et de maintien à domicile des personnes âgées (entre 160 et 170 M€), soutien aux personnes vulnérables  (160 M€ dont 140 M€ aux RSA)…. 80 M€ seront consacrés aux collégiens, à la culture et aux sports avec l’entrée de 12 établissements scolaires dans le cadre de la généralisation de l’ENC, le lancement d’une large étude préparatoire pour une seconde phase des contrats de performance énergétique qui concernera 30 collèges, la finalisation du contrat de partenariat pour la construction et l’exploitation d’un grand équipement musical à la pointe de l’île Seguin. 550 M€ sont prévus d’être investis car il s’agit de réaliser et de lancer des projets structurants malgré un environnement économique peu porteur : 65 M€ pour les transports dont 30 M€ pour les tramways, 73 M€ pour la voirie, 126 M€ à l’habitat et à la rénovation urbaine, 70 M€ à la réhabilitation des colléges, 20 M€ à l’assainissement, 20 M€ aux espaces verts  

     

    Ainsi Vanves devrait toucher dans le cadre de son contrat de développement (2013-15) 0,5M€ en investissement (sur les 1,3 M€ prévu) et 462 764 M€ en fonctionnement (sur les 1,38 M€ prévu). Parmi les projets réalisés en 2013 : Réfection compléte de la toiture de l’hôtel de ville  dont le coût total s’éléve à 380 000 €, réfection et réaménagement des locaux du biblio-club dont le coût total s’éléve à 335 000 €, phase 1 de la réfection du 1er étage de l’école élementaire Larmeroux entre Juin et Septembre 2013 (désiamantage des dalles du sol, remise à niveau des équipements électriques, ainsi que lespeintures, les rvêtement sol et les faux plafonds, sachant que le coût total des deux phases s’éléve à 802 700 €, l’aménagement de la mini créche « Pain d’Epices » au 1 rue de Châtillon entre Janvier et Juillet 2013 pour un coût total de 437 342,73 €.

     

    Vanves fait partie des 7 communes altoséquanaises qui ont signées une nouvelle convention avec le Conseil Général pour municipaliser des routes départrementales sur une étendue de 14,61 km (sur un total de 51,70 km de routes ainsi transférées). Ainsi 2,402 km ont été  déclassés à Vanves et concernent les rues de la République, les avenues Pasteur, Marcel Martinie, Jezequel et Jean Bleuzen…pour un montant de 2,1 M€. Des chantiers menées par le département sur les voies communales sont en cours notamment en matière d’assainissement pour la réhabilitation d’ouvrages unitaires (et de leurs branchements particuliers) , avec celui de la rue Sadi Carnot – dont le maire a visité le chantier courant Janvier – en deux phases l’une de 252 ml, et l’autre de 298 ml, qui ont été recalées fin 2012 en concertation avec les services de GPSO pour les faire coincider avec la fin des travaux menées sur cette voie transformée en zone 30 entre Solférino et A.Fratacci.

     

    Le département participe aux grosses réparations, équipement et fonctionnement des cités mixtes assurés par la Région, comme c’est le cas pour Michelet qui rassemble un collége et un lycée. Ainsi les Hauts de Seine verseront 176 460 € (soit 27,28% du coût des travaux) en 2013 pour des travaux divers sur les installatons électriques, la plomberie, les sanitaires, le chauffage, des travvaux de VRD, la rénovation des fenêtes du bâtiment Mansart, la réfection compléte d’un logement de fonction, de deux cages d’escaliers du bâtiment Mansart, du secrétariat du proviseur et du service intendance, l’élagage des arbres monumentaux… Le Conseil Général a inscrit la rénovation du collége Saint Exupery  dans ses pré-études  

  • LA SENATEUR DE VANVES, ISABELLE DEBRE, FAIT PRESQUE L’UNANIMITE SAUF CHEZ LES COMMUNISTES AU SENAT

    La proposition de loi d’Isabelle Debré, Sénateur UMP des Hauts-de-Seine, Vice-présidente de la commission des affaires sociales du Sénat, membre du Conseil d’Orientation des Retraites, destinée à lutter contre la pauvreté d’un grand nombre de personnes retraitées, a été débattue et votée en moins d‘une heure jeudi matin entre 9H et 10H. Mais il a fallu s’y reprendre à deux fois parce que les groupes politiques ne peuvent le faire que dans le cadre de la niche parlementaire et ils ne disposent que d’un temps limité qui ne peut pas être dépassé. Ainsi le 12 Décembre 2012, Isabelle Debré a eu juste le temps de présener sa proposition de loi, et le gouvernement de répondre par la voix de Michéle Delaunnay, ministre délégué aux personnes âgées et à l’autonomie,  et le débat avec le vote a été reportée au mois suivant, c'est-à-dire le 31 Janvier 2013 « En application de la décision de la conférence des présidents, je dois interrompre la discussion de cette proposition de loi, qui sera reportée à une date ultérieure » avait déclaré le président de séance ». Du coup Isabelle Debré n’avait pu s’émpêcher de réagir : « Ce sont de mauvaises conditions de travail ! »

     

    Rappelons que ce texte a pour objet d’autoriser les titulaires du minimum vieillesse à cumuler, dans la limite d’1,2 smic pour les personnes seules et de 1,8 smic pour les couples, l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) ou l’allocation supplémentaire vieillesse (ASV) avec des revenus générés par la reprise d’activités, ce que ne permet pas la législation actuelle. « . C'est une injustice, une aberration juridique même comme l’a qualifié un syndicat,  quand les autres retraités bénéficient du cumul emploi-retraite depuis 2003 et sous une forme libéralisée depuis 2009 » indiquait elle en dressant un constat : « Si le nombre de bénéficiaires du minimum vieillesse a décru de 2,5 millions en 1960 à 576 000 en 2010, il assure un rôle essentiel dans la couverture vieillesse des personnes pauvres, d'après la Cour des comptes. Surtout, le nombre de titulaires pourrait augmenter avec l'arrivée à la retraite de générations où les carrières incomplètes sont monnaie courante. La majorité des bénéficiaires vivent en dessous du seuil de pauvreté, soit 964 € par mois en 2010 ».

     

    Cette initiative était saluée par le gouvernement représenté par Michéle Delaunnay qui s’en remettait à la sagesse du gouvernement, et par l’ensemble des groupes qui ont soutenu cette proposition sauf les communistes. Tout d’abord ceux qui l’ont voté :  « Les allocataires du minimum vieillesse sont dans une situation d'iniquité dans la mesure où d'autres retraités peuvent bénéficier du cumul emploi-retraite depuis 2003, un cumul complètement libéralisé depuis la loi de financement de la sécurité sociale pour 2009. Un demi-million de retraités profite de cette possibilité. Selon le Conseil d'orientation des retraites (COR), le droit à la retraite ne doit pas priver du droit fondamental au travail » déclarait Catherine Deroche, porte parole du groupe UMP,  en soutenant cette proposition « qui répare une injustice en donnant aux personnes âgées titulaires de l'Aspa qui le souhaitent et le peuvent,  la possibilité de compléter leurs ressources ». Hervé Marseille, sénateur Maire de Meudon pour le groupe UDI a reconnu « qu’il est des mesures dont on peut s'étonner qu'elles n'aient pas été prises plus tôt, et qui met fin à un archaïsme Ce texte est juridiquement inattaquable. Nous en partageons la philosophie. Autoriser des personnes âgées à travailler n'est pas neutre. Pour beaucoup d'entre elles, travailler est vital car cela leur permet de maintenir un lien avec la société ; et pour la société, l'expérience de ces personnes est un apport - les défenseurs du contrat de génération ne peuvent qu'en convenir ».

     

    Le groupe éclogique qui joue les trublions au Sénat a voté cette proposition, en donnant ces exemples par la voix de Jean Dessesard, qui illustrent tout à fait la réalité : « Celui d'un cadre de 60 à 70 ans qui a eu une carrière continue et a liquidé tous ses trimestres ; sa pension est de 1 955 €. Ensuite, celui d'une femme de plus de 65 ans qui est arrivée à l'âge de la retraite sans tous ses trimestres parce qu'elle s'est arrêtée de travailler pour ses enfants et a eu des périodes à temps partiel ; elle touche l'Aspa, soit 777 € par mois, Le premier a choisi de continuer à travailler, il a encore des contacts dans l'entreprise, il cumule ses revenus d'activité avec sa retraite. La seconde donne un coup de main à son fils dans l'exploitation agricole qu'il a reprise sans pouvoir profiter d'un surcroît de revenus alors que sa pension est beaucoup plus faible. On me dit qu'il faut attendre des lendemains meilleurs, je ne le crois pas même si la question est plus large. L'Igas elle-même recommande pareil mécanisme d'intéressement ».

     

    Le groupe PS a préféré l’abstention comme l’a expliqué René Teulade  : « Cette solution unique est séduisante, d'autant que nombre de ces personnes cumulent de fait en travaillant au noir » en constatant que « la majorité ont plus de 75 ans, et qu’un tiers seulement ont, entre 60 et 75 ans. L'objectif de la proposition de loi est louable. Cela dit, le Gouvernement agit : il a rétabli l'allocation équivalent retraite (AER) par décret, et présenté un plan de lutte contre l'exclusion et la pauvreté qui mobilisera entre 2 et 2,5 milliards par an - dont une majoration de 10 % du RSA-socle, la création de contrats d'insertion et l'extension du bénéfice de la CMU à 750 000 personnes supplémentaires. Le groupe socialiste qui  ne s'opposera pas à l'ouverture d'un droit,  estime que la seule solution viable est de revaloriser les minima sociaux ». Tout comme le groupe des radicaux de gauche (RDSE) : «  Mme Debré entend arrondir les fins de mois des titulaires de l'Aspa et lutter contre le travail au noir. L'objectif est juste, comment ne pas y adhére »… « ce texte doit engager à une vraie réflexion. Que vont dire les jeunes qui paient les retraites de leurs aînés et voient les personnes âgées travailler alors qu'elles bénéficient d'une allocation ? » a déclaré Jean Pierre Placarde en pronant une abstention positive   

     

    Enfin, le groupe PC (CRC au Sénat) qui a voté contre, en  considérant que « ce texte est l'exemple même d'une mauvaise réponse à une bonne question. La proposition de loi part du postulat que la seule façon pour un titulaire de l'Aspa d'améliorer son pouvoir d'achat est de reprendre une activité. On voit mal comment un retraité déclaré inapte au travail souvent à cause de son activité antérieure, pourrait le faire... Cette proposition de loi est donc une réponse simple, voire simpliste.  Il y aura d'un côté les travailleurs détruits par le travail qui devraient survivre avec l'Aspa et de l'autre ceux, en meilleure santé, qui pourront continuer à s'user au travail... La reprise d'une activité serait un moyen de survie plus qu'un choix. Ce texte est inspiré par une philosophie profondément libérale qui ne met jamais en cause la responsabilité sociale des entreprises et s'appuie sur une analyse erronée du marché du travail. Les employeurs se défont de plus en plus des personnes âgées de plus de 55 ans, jugées peu productives et trop chères. De plus, 23 % des ruptures conventionnelles concernent des personnes de plus de 58 ans.... »  a expliqué Dominique Watrin qui a ajouté : « Le Gouvernement doit répondre à l'urgence sociale que ce texte a le mérite de soulever. Serait-ce pour lui un défi trop ambitieux de revaloriser les minima sociaux, quand il a trouvé 20 millions pour accorder un crédit d'impôt aux entreprises ? ». Ce qui lui a valu cette réplique cinglante d’Isabelle Debré : « J'ai un principe : je crois qu'on ne perd jamais à donner plus de liberté. En revanche, il faut que ces libertés soient encadrées et les abus sanctionnés. Mesure libérale, dites-vous ? Je l'assume ! ».

     

    « Ce texte pose donc une bonne question. En revanche, la réponse n'est peut-être pas aussi simple, comme en témoignent les inquiétudes et les interrogations qui se sont exprimées dans ce débat. Le Gouvernement répondra « sagesse »a déclaré Michèle Delaunnay, ministre délégué. Isabelle Debré espére maintenant que « l’Assemblée nationale s’approprie très rapidement cette proposition de loi », ajoutant « qu’une première étape a été franchie et qu’il faut sans tarder aller de l’avant et agir pour faire reculer la pauvreté des personnes retraitées ».

  • VANVES CONCERNE PAR LE DEVENENIR DE LA PETITE CEINTURE FERROVIAIRE

    Les vanvéens comme les parisiens sont invités à participer ce soir à une réunion publique de concertation à 19h dans la salle des fêtes de la Mairie du 14ème arrondissement dans le cadre de la réflexion et de la consultation sur le devenir de la petite ceinture ferroviaire (PCF) lancées par la ville de Paris et RFF (Réseau Férré de France) auprés des Parisiens, des habitants des communes limitrophes et tous les acteurs concernés.  

     

    Le protocole qui a été signé en 2006 entre la Ville de Paris et RFF « pour permettre l’ouverture au public de certains tronçons, proposer des usages diversifiés et développer une mise en valeur concertée des emprises, propriété de RFF, respectant le principe de réversibilité dans la perspective d’une reprise éventuelle du trafic ferroviaire » expire en 2013. Il avait permis d’ouvrir des promenades (16e arrondissement en 2007, 12e en 2008, 15e en cours de réalisation), de faciliter des aménagements urbains mixtes autour du linéaire (13e, 19e), d’engager la valorisation de certaines gares  dans le respect de leur valeur patrimoniale et culturelle, et de mettre en place un programme socialement et écologiquement responsable, d’entretien des emprises de la Petite Ceinture par des chantiers d’insertion réalisé notamment par l’association Espaces qui intervient à Vanves pour l’entretien du talus de la vie SNCF le long de la rue Jean Bleuzen.

     

    Des négociations sont engagées entre la Ville de Paris et RFF en vue de son renouvellement, car cette ligne construite voilà 150 ans, constitue un lieu exceptionnel de par ses paysages inédits, ses qualités écologiques, la respiration qu’elle apporte au cœur d’une des villes les plus denses au monde, mais aussi par l’espace de liberté qu’elle représente en matière d’usages (territoire de graffiti, ateliers d’artistes, jardins partagés…) et d’innovation urbaine. RFF envisage de retirer du réseau ferré national les sections sur lesquelles il ne voit plus de perspectives pour un trafic ferroviaire lourd, à l’Est et au Sud principalement. Du coup, la Ville de Paris et Réseau Ferré de France « ont souhaité avancer dans la mise en valeur au bénéfice de tous de cet espace structurant du paysage, aux qualités écologiques nombreuses et aux potentiels multiples, en sollicitant l’avis des habitants de Paris et de la métropole mais aussi de tous les acteurs concernés ou intéressés pour imaginer quels pourraient être les usages futurs de la Petite Ceinture et de ses emprises : maintenir la possibilité de circulation de trains au sein du réseau dont RFF est responsable, ou la faire évoluer vers des modes de déplacements plus légers comme un tram, vers des espaces verts, voire des aménagements urbains » indique un communiqué de presse commun à la ville de Paris et RFF.

     

    Evidemment, les avis divergent sur son devenir, rappelant le débat qui s’était développé au lacement du projet du tramway des Maréchaux (T3) lors du mandat de jean Tibéri, où certains préconisaient d’utiliser justement la PCF comme l’avait fait les Hauts de Seine avec le T2 sur l’ancienne ligne Champs de Mars-Puteaux (Issy-Puteaux), et d’autres défendaient l’aménagement du tramway sur les boulevards des Maréchaux, ce qui a été fait par bertrand Delanoë dés le début de son mandat en 2001. L’AUT (Association des Usagers des Transports) IDF regrette que l’étude RFF/SYSTRA de 2006 qui a abouti à son classement  en zone de grands services dans le PLU de Paris, n’ait pas été rendu public à l’occasion de cette nouvelle consultation : « Elle montrait l’intérêt de la remise en service de la PCF tant pour un tram-train voyageurs que pour la logistique urbaine, avec des zones logistiques multimodales réparties le long de la ligne, comme la gare des Gobelins (sous la dalle des Olympiades), Bercy-Charenton, Batignolles ».

     

    Cette association s’oppose « au tronçonnage de la Petite Ceinture en trois parties au sort différent comme le préconise la seule étude présentée par la ville de Paris dans sa consultation ». Et elle demande « son maintien intégral, du Pont du Garigliano aux Batignolles via la Porte de Vincennes. Le prochain protocole doit préserver partout la plateforme et le gabarit UIC, et n’avaliser aucun aménagement irréversible, y compris dans les nouveaux quartiers type Masséna-Bruneseau ou Bercy-Charenton, et une voie ferrée circulable épisodiquement doit être maintenue ». D’autant qu’elle met en avant les chiffres de la fréquentation du T3, mis en service en 2006, qui a dépassé les prévisions, comme pour le T2. « Victime de son succès, la ligne frise déjà la saturation aux heures de pointe et lors de grands salons au Parc des Expositions et de spectacles au Palais des Sports de la Porte de Versailles. La vitesse commerciale est inférieure aux 20 km/h initialement prévus, la traversée des carrefours étant une source d’irrégularités. Le tram se révèle surtout performant pour assurer, mieux que le bus PC, une desserte locale fine. Mais il devra tôt ou tard être doublé par un mode de transport plus rapide et plus capacitaire, en site propre intégral… » expliquent ses responsables en pensant à la PCF.

     

    « Elle peut jouer pour un coût modéré un rôle régional en tant que rocade rapide en correspondance avec les lignes radiales. Alors que les points de correspondance entre modes lourds sont actuellement très rares dans les arrondissements périphériques, elle en offre en effet avec les RER B à E et toutes les lignes de métro sauf les 2 et 6 ». Tout en levant les critiques des riverains qui pourraient se plaindre du bruit : « Les matériels ferroviaires légers modernes sont très peu bruyants et seront assurément encore plus silencieux à l’avenir,  des protections phoniques adéquates achèveront d’assurer la tranquillité des riverains ». Tout en reconnaisant que «  l’emprise est souvent assez large pour que les deux voies coexistent avec un chemin de promenade et des plantations ». Ainsi l’AUT IDF demande le maintien intégral de la petite ceinture ferroviaire, du Pont du Garigliano aux Batignolles via la Porte de Vincennes. « Le prochain protocole doit préserver partout la plateforme et le gabarit UIC, et n’avaliser aucun aménagement irréversible, y compris dans les nouveaux quartiers type Masséna-Bruneseau ou Bercy-Charenton, et une voie ferrée circulable épisodiquement doit être maintenue ».