MARCHE COUVERT : VANVES A CHOISIT LE CONTRAT D'AFFERMAGE

La révision des conditions de délégation de service public concernant le marché couvert a été l’un des grands morceaux de choix du Conseil Municipal de Mercredi dernier sur lequel nous revenons au cours de ses prochains jours.

 

La Municipalité a profité de la fin du contrat d’exploitation du marché couvert confié à la société Lombard et Guérin depuis le 14 Décembre 1976, renouvelé et prolongé de 15 ans en 1994 suite au programme rénovation, pour revoir les conditions de la délégation de service public. Il ne s’agit nullement de sanctionner en quoi que ce soit une société dont « les services sur le plan qualitatif sont satisfaisant et font l’objet d’un, suivi rigoureux de la part de la Mairie, mais de trouver la solution la meilleure ». Comme la ville ne dispose pas du potentiel technique et humain nécessaire pour assurer directement ce type de service (en rfégie), elle a décidé d’en rester à une gestion déléguée à un prestataire spécialisé et de choisir le mode de gestion le plus adapté. C’est pourquoi elle a choisi le contrat d’affermage pour une durée de 6 ans « qui laisse beaucoup de souplesse et permet de demander des investissements » selon le Maire.

Ses missions : Assurer le fonctionnement des marchés (placement des commerçants, perception des droits de places et de redevances dont une partie rémunére sa prestation, et une part est reversée à la collectivité sous forme de redevabce d’exploitation ), entretenir les bâtiments (balayage, brossage, lavage, regroupement des déchets), exécuter les travaux d’entretien.  Ainsi le « fermier » exploite le service à ses risques et périls, assume les aléas de l’exploitation et des travaux dont il a la charge. La durée du contrat lui permet de lisser les frais et donc d’obtenir un prix plus attractif. La facturation est gérée par le fermier qui doit suivre les impayés et assurer la relance.  Les avantages pour la Mairie de Vanves sont de n’avoir ni la responsabilité de l’exploitation, ni celle de la maintenance et du renouvellement des équipements, et de pouvoir inscrire au contrat un programme d’investissements, des objectifs d’améliorations. Par contre, cela l’oblige à assurer un contrôle technique, juridique, économique poussé de ce délégataire

Les Verts par la voix de Pierre Toulouse,  ont demandé un droit de regard sur le cahier des charges du prestataire et la possibilité de durcir les conditions de collecte des déchets. Les socialistes considérent que le contrat d’affermage est une solution meilleure, « ce qui n’empêche pas de mener une réflexion sur les sols et le systéme électrique » a suggéré Fabian Estellano qui a fait constater la baisse du nombre de commerçants.   

 

QUELQUES CHIFFRES :

ABONNES : Le marché couvert comprend actuellement 40 commerçants abonnés : 10 fruits et légumes, 4 poissonniers, 4 Charcutier/Volaille, 3 volailles, 3 fromagers, 3 fleuristes, 2 fleuristes, 2 boulangers, 2 produits orientaux, un tripier, un boucher chavalin, un produits greces, un traiteur asiatique, un produits italien, une confiserie (bonbons-gâteaux). Il faut ajouter une confection.

TARIFS : Il faut savoir qu’un abonné paie 1,53€ pour 1m linéaire de façade marchande pour une place couverte sous la halle, 1,11 € en place découverte ; 1,11€ de supplément pour une une place d’angle ; 1,11 € pour une table supplémentaire ; 1,11€ de taxe de statioonnement dans le parking (par métre linéaire), 1,11€ de drout de déchargement par véhicuile (par métre linéaire), 0,16 € de taxe complémentaire cageots (par métre linéaire), et 1,44€ de droit de quille.

BUDGET : Il faut savoir que les recettes d’un tel marché en 2007, rapportaient 175 083 € au prestataire dont 184 034 de produits perçus (130 494 provenant des abonnés, 17 589 des volants) et que se dépenses se montaient à 165 737 € dont 52 746 € de redevance d’exploitation.

MARCHES : Sur les 600 marchés alimentaires que compte l’Ile de France, 77% sont en délégation de service public et 23% en régie directe. La talle moyenne est de 50 abonnés, mais 35% en ont moins de 20.  Les principaux acteurs sont au nombre de 4 : Les groupes Géraud, Cordonnier Fils, Dadoun, et laz société Lombard et Guerin

VANVES DE LA SAINT FRANCOIS A LA FETE DU COMMMERCE DE PROXIMITE

Vanves a débuté dés Dimanche une semaine particulièrement chargée avec la fête de la Saint François à Saint François d’Assise, Dimanche, suivi par la réunion du Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance aujourd’hui qui devrait notamment traiter de l’Espace Jeunes Sébastien Gîner, voir de nombreux jeunes courir lors du Cross UNSS au stade A.Roche et au Parc F.Pic Mercredi à 13H45 avec le démarrage de la semaine du goût chez les commerçants le samedi 10 Octobre 2009 qui sera la journée du Commerce de proximité destinée à marquer par de petits évébements locaux la qualité des services proposés par les commerces de quartier.

Entretemps, une vanvéenne entrera officiellement dans l’ordre des Vierges Consacrées Mercredi soir : Elisabeth Hauw regoindra cet ordre consacré qui n’a d’autre fondateur que l’eglise eller même qui a puisé son inspiration dans le mystére de Marie. Vocation toute écléssiale de ces femmes qui se mettent au service de l’église diocésaine, de manière individuelle sans rattachement à un groupe particulier. Et on y trouve des enseignantes, des fonctionnaires de police, des journalistes, des retraitées…

Et une nouvelle association réunira jeudi en fin d’après midi au Bistroquet : Il s’agit d’Optimrezo, un réseau d’affaires fédérant des dizaines d’indépendants et de PME reconnues pour leurs compétences, qualités relationnelles. Ils sont déjà une dizaine à Vanves, exerçant une profession différente pour éviter la concurrence,  qui se retrouve lors de ces AperoRezo chaque mois dans le but de stimuler l’entraide, la prise de contact et le développement des affaires, et surtout rompre l’isolement  

 

LA SAINT FRANCOIS A SAINT FRANCOIS D’ASSISES

C’est devenu une tradition depuis plusieuirs années. La paroisse Saint François d’Assise  célébre la Saint François avec tous ces anciens et nouveaux paroissiens. Une journée à « faire connaissance » qui a concerné ce jour tant le nouveau curé, François Hautecoeur que ses ouailles. Elle a commencée par une très belle messe célébrée par le nouveau curé avec l’ensemble des prêtres et séminaristes rattachés à Vanves dans une église bondée à la fin de laquelle les nouveaux paroissiens ont été invités à se présenter, reçu une plaquette d’accueil. Elle s’est poursuivi par un apéritif dans le jardin et un repas où les échanges ont été abondant surtout avec  le nouveau curé qui a fait le tour de tout le monde avec un mot pour chacun, mais aussi entre vanvéens des deux paroisses que l’on accuse - à tort- de rester chacun de leur côté. Certains de Saint Remy l’ont fait mentir en étant présent. Chaque mouvement d’église présent dans les deux paroisses avaient été invités à présenter sur des panneaux leurs activités, ce qui a permis de découvrir leur richesse et leur diversité durant l’après midi : « Débattre en église » qui est un groupe de réflexion et de proposition pour l’église sur le chemin tracé par Vatican II qui se réunit une fois par mois, ou encore l’Entraide Communautaire qui cherche à mobiliser des chrétiens volontaire pour un service, une action ponctuelle ou suivie etc… Cette journée s’est terminé par un spectacle des enfants qui ont conté la vie de Saint François à leur façon.

 

VANVES CONCERNE PAR LA LOPPSI

Quelques jours avant la réunion du CLSPD (Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance) de Vanves à 15H aujourd’hui à la mairie, François Fillon était dans notre département à Villeneuve La Garenne pour présenter  le plan national de prévention de la délinquance en compagnie de Michéle Alliot Marie (défense) et Brice Hortefeux (Intérieur) qui intéresse les communes. Une des mesures concerne justement les CLSPD concernant l'amélioration du suivi individuel des mineurs délinquants.  Pour l’assurer, le gouvernement veut faciliter les échanges d'informations nominatives au sein des CLSPD. Il entend assouplir la notion de secret professionnel pour que les informations puissent être partagées entre travailleurs sociaux, enseignants et forces de l'ordre. Il en a profité pour annoncer que l'installation de caméras de vidéosurveillance va être facilitée par la LOPPSI (Loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure)   qui sera prochainement débattue au Parlement. L 'Etat va aider les communes exploitant ce type de systèmes à hauteur de 20 MF, soit le double de l'an passé. Enfin, il a annoncé, entre autres  que les opérations « tranquillité-vacances » qui luttent contre les cambriolages pendant l'été seraient étendues à tous les congés scolaires.

 

PLU DE VANVES : ETAT DES LIEUX ET DIAGNOSTICS (suite et fin)

Le résultat de l’étude menée par le cabinet Codra fait exactement 113 pages répartis en plusieurs chapitres : « Structuration du territoire », « Equilibres sociaux et économiques », « Fonctionnement de la ville », « Etat initial de l’environnement ». Vanves Au Quotidien a retenu quelques éléments intéresssants de ce document passionnant remplis de chiffres et de données très intéressantes qui se termine sur la question la plus intéressante aujourd’hui : Comment dans un PLU, une ville comme Vanves peut prendre des mesures, édicter des régles,  pour lutter contre le changement climatique et diminuerà son niveau l’effet de serre ?

 

LE DIAGNOSTIC DE A à Z

 

ACTIFS : Les vanvéens actifs sont au nombre de 14 468 (54% de la population) dont 15% travaillent à Vanves (2006) avec 38% de cadres-professions intellectuelles supérieurs, 28% de professions intermédiaires, 24% d’employés, 7% d’ouvriers et 3% d’artisans-commerçants.

 

ARTISANAT : 233 entreprises artisanales sont implantées à Vanves dont une majorité de services (soins à la personne, transport, réparation…) et  le bâtiment (maçonnerie, terrassement, menuiserie…). 69 d’entre elles sont des établissements de proximité (boucheries, boulangerie, coiffure, fleuriste…). L’armature du commerce et de l’artisanat de proximité évolue de manière peu favorable depuis 2003, avec une diminution des effectifs de 6% entre 2003 et 2008. Ce tissu artisanal se renouvelle très rapidement ce qui contribue à le fragiliser, et il est donc principalement composé d’entreprises récentes (43% avaient moins de 4 ans d’existence en 2008) dont prés de la moitié disparaissent dans les 5 premières années de créations. .

 

CENTRE ANCIEN : Il occupe 2% du territoire vanvéen, marqué par un tissu dense et un bâti implanté à l’alignement des voies sur de petitesparcelles. La hauteur des constructions est variable, le bâti traditionnel ne dépassant par la hauteur de R+3.

 

COMMERCES : Vanves compte 247 locaux commerciaux soit une densité relativement faible de 1 cellule pour 108 habitants (1 pour 70 dans le 92). 62 se trouvent dans le Centre Ancien (25% de l’offre), 63 sur le Plateau (26%), 66 au carrefour de L’insurrection (27%) et 56 implantées de manière diffuse dans la ville (23%). L’offre de proximité repose majoritairement sur les  cafés, hôtels restaurants, les services en agence (agences de voyage, immobilières, banques…) et les commerces spécialisés dans le domaine de l’hygiéne, la santé et la beauté (pharmavies, salons de coiffuiren, parfirmeries…). 

 

CONSTRUCTIONS : Après un pic entre 1990 et 1999 avec 58 logements par an, le rythme a fléchit à 40 logements par an entre 2000 et 2007. Le renouvellement a surtout touché les abords de la rue Jean Bleuzen et du carrefour de l’Insurrection, et pour le pavilllonnaire surtout dans le quartier du Plateau. Le PLH (Plan Local d’Habitat) a fixé commme objectif à Vanves de construire 240 Logements sur les 6 ans à venir, soit une moyenne de 40 logements/an dont 10 sociaux. Le « point mort » des besoins de logement permet de calculer le nombre de logements nécessaires au strict maintien actuel de population en tenant compte des besoins liés au desserrement des ménages et des besoins de renouvellement du parc de logement : 37 nouveaux logements sont nécessaires par an jusqu’en 2020 pour que la population des ménages reste stable.     

 

DEUX ROUES : Vanves compte 7 stations Vélib et une trentaine d’emplacements de stationnement pour les deux roues. Par contre, elle posséde actuellement assez peu d’aménagements spécifiques en faveur des circulations douces. Il est prévu une bande cyclable sur le chaussée côté montant de la rue A.Fratacci, des aménagements sur des portions de la rue Larmeroux et del’aveue de la Paix.

 

EMPLOIS : Vanves comptabilise 7 184 emplois sur son territoire qui se répartit ainsi : 31% de services aux entreprises (4000 emplois), 17% dans l’éducation et la santé et 16% dans l’administration (regroupant 4300 emplois), 11% dans le service aux particuliers, 9% dans l’industrie, 9% dans le commerce,  3% respectivement dans la construction et le transport, 1% dans l’énergie.

 

MENAGES : Leur nombre est passé de 11 842 en 1990 à 12 765 en 2006.  Leur taille est restée à 2,11 personnes, plus faible que la moyenne nationale (2,36), régionale (2,39) et intercommunale (2,22), sachant que Vanves compte 43% de ménage à 1 personne, 28% à 2, 33% à 3, 11% à 4 et 4% à 5, et que le nombre des familles (67%) a eu tendance à régresser au profit des ménages à 1 personne (+16,2%)

 

MOTORISATION : Le taux de motorisation, c'est-à-dire de ménages ayant au moins une voiture, est de 68%, taux assez important mais en dessous de la plupart des communes de l’Arc de Seine. L’usage de l’automobile à Vanves reste relativement importante, mais tend à se rapprocher de la typologie parisienne. Soit 31,7% d’usage de la voiture dans les migrations alternantes contre 38,5% à l’échelle du département. Mais c’est l’usage des transports en commun qui domine avec 38,4% contre 26,9% à l’échelle du département grâce à une bonne desserte (métro, transilien, Bus).

 

LARMEROUX : Le lotissement inauguré voilà 20 ans regroupe 272 locatifs sociaux (142 appartiennent à la SNI et 130 à BATIGERE), 130 en accession (immeuble en façade sur la rue Larmeroux), avec le garage et les ateliers municipaux et l’école maternelle Lemel dont la première pierre était posée en 1989.

 

LOGEMENTS : Il augmenté de 564 unités entre 1999 et 2006 en passant de 13 367 à 13 972 logements dont 12 767 résidences principales (91%), 230 résidences secondaires (2%° et 975 vacants (7%). Le parc de Vanves s’est construit entre 1950 et 1970 à hauteur de 35%. 11 682 sont en collectifs (93%) et 915 en individuels (7%). 52% des vanvéens sont locataires dont 30% dans le privé et 22% dans le privé. 42% des logements sont constitués de 2 piéces et la moitié de 3 à 4 pièces.

 

LOGEMENTS SOCIAUX : 2 979 logements sociaux sur un parc de 12 697 logements collectifs soit 23,46%. La majorité est située dans des logements collectifs (seulement 5% d’individuel).12 bailleurs sociaux interviennent dans notre commune dont l’OPH 92 et 10 SA d’HLM (Antin résidence, Batière IDF, Efidis, Immobilière 3 F, Moulin Vert, la Sablière, Le Logement Français, OSICA, Sogemac, Toît et Joie) et la SNI.

 

NUISANCES SONORES : A Vanves, de nombreux axes sont considérés comme des zones de bruit « critique » pour l’habitation selon une cartographie des zones de bruit réalisé par le Conseil Général pour les routes, notament l’axe Larmeroux-Marcheron-Bleuzen et l’axe Fratacci-Bd du Lycée, avec le carrefour de l’Insurrection. Le niveau sonore oscille entre 65 et 75 décibels. Il parait que l’on estime à 38% la population vanvéenne exposée à des dépassements de seuils pour l’indice global Lden (L =Level(Niveau), d=day(jour), e=evening(soirée),n=night(nuit).  Pour les voies ferrées, seul 0,3% de la population vanvéenne est exposé à des dépassements de seuils. Selon l’étude de la Région, il n’y a aucun point noir nocturne et mais les points noirs diurnes sont très peu nombreux : 2 immeubles et 26 pavillons ont été récensés.

 

PARCELLES : La superficie moyenne de toutes les parcelles confondues est de 655 m2, mais en excluant du calcul les très grandes de 3000 m2, cette superficie moyenne retombe à 332 m2.

 

PLATEAU : Cette opération menée dans les années 1970-80 regroupe 2 794 logements dont 350 locatifs aidés, 750 logements PLA (Prêt Locatif Aidé), 719 logements en accession à la propriété, 23 568 m2 de commerces et 28 465 m2 de bureaux, avec des équipements publics.

 

PAVILLONS : Son tissu s’est implanté sur des parcelles en lanières issus des anciens terrains agricoles et viticoles (Ouest des Hauts de Vanves) ou il est l’hétirage d’un passé ouvrier de la commune (Plateau avec notamment ses pavillons proches du parc des expositions et du lycée Michelet construit par la SA de la Plaine de Vanves dont le promoteur est l’ingénieur Emile Cacheux, spécialiste des maisons ouvrières qui exerça ses activités jusqu’à la fin du XIX2me siécle à Vanves. Ses caractéristiques : étroitesse des parcelles, constructions sur les limites séparatives et en recul de la voie laissant place à un jardinet à l’avant. Autre curiosité : Les Villas, petites voies privées, desservant pplusieurs mlaisons étroites implantées sur de petits terrains.

 

ROUTES : Une carte très intéressante dans cette étude montre le trafic moyen journalier annuel par grande voie du réseau dit aviaire : La RD 130 (Larmeroux- Marcheron-Carrefour de l’insurection-Jean Bleuzen) supporte un trafic qui varie de 11 400 sur Larmeroux,  à 14 080 sur Marcheron, 12 740 sur J.Bleuzen, car une partie doit s’engager sur l’axe M.Martinie/Pasteur avec 6 770 véhicules/jour. Le CD voit son trafic évoluer de 13 730 sur E.Laval, 14 950 sur A.Fratacci et Bd du Lycée. La RD 71 (av. du Général de Gaulle) supporte un trafic de 8 340 véhicules.

 

SNCF : 74 trains circulent par jour et le taux actuel de régumlarité est d’environ 90%. Le train qui dessert Vanves est asseze performant, avec un taux d’irrégularité globalement faible (8,7%).

 

STATIONNEMENT : La ville compte 2900 places de stationnement sur la voirie dont 1150 payantes ou réglementées

 

TERRITOIRE : Sur 155 ha du territoire, 28% est bâti (dont 9% est occupé par du pavillonnaire), 48% correspond à des espaces non bâtis publics et privés (stationnement, jardins, cours, espaces collectifs…), 10% sont occupés par les parcs F.Pic et du lycée Michelet, 21% supportent des infrastructures de déplacements (8% de voie ferrée et 26 ha de trame viaire). Il est à noter que sur 155 ha, 64 ha sont des espaces libres privés d’ampleur et de répartition assez inégales, laissant apparaître de grands îlots où l’espace est libre et à l’inverse des îlots plus enses où ses espaces sont réduits 

 

TISSU ECONOMIQUE : Il est dominé par des micros-entreprises sans salariés et de TPE de moins de 10 salariés. 94% des établissements embauchent peu de salariés, soit 1116 sur 1191 au total. Ils se répartissent dans tous les quartiers. Vanves compte 10 établissements de plus de 100 salariés (1%) qui concentrent 42% des emplois de Vanves. Les 3 principaux employeurs sont France Telecom (10% des emplois), le groupe Audiens (8%) et la Mairie (7,5%). Le secteur de la télécommunication et de la prese est bien implanté sur le teritoire, avec notamment France 3 Ile de France et Hachette Livre.