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  • VANVES AU QUOTIDIEN EN VACANCES

    VANVES AU QUOTIDIEN


    PREND SES QUARTIERS

                         

                        D’ETE  ENTRE

     

    LA FETE NATIONALE


    ET LA CELEBRATION


    DE LA LIBERATION


    ET VOUS DONNE


    RENDEZ-VOUS


    LE 25 AOUT


    POUR LA RENTREE

    Bien évidemment si l’actualité le nécessite
    Vanves au Quotidien s’en fera l’écho
    Bonnes vacances

  • LE FEU D’ARTIFICE AURA BIEN LIEU A VANVES. 6 AVAIENT ETE ANNULES DEPUIS 2000

    Le Feu d’artifice  aura bien ce soiir, tiré à 23H au parc F.Pic, par la société vanvéenne «Feux et Fêtes » avec un bal animé par  le groupe  Super Sonic. La ville ne l’a pas annulé comme l’ont fait d’autres communes à cause des risques de tensions qui persistent dans l’agglomération parisienne, les soirées dues 13/ 14-Juillet  étant traditionnellement  chaude pour les force de l’ordre. Car même si l’embrasement à la suite de la mort du jeune Nahel a été maîtrisé, le sentiment anti-police reste malgré tout encore vif parmi les émeutiers.. «On est très vigilants », affirme une source Place Beauvau.

    En dehors de la crise sanitaire, en 2020 et 2021, peu de feux d’articifice à Vanves ont été annulé. En 2001, la retraite aux flambeaux, le feu d’artifice et le bal pour célébrer la Fête Nationale avaient été annulé par le Conseil Municipal réuni en urgence et à huis-clos à la suite d’un accident arrivé à un jeune de 17 ans, Guillaume Boudet, lors d’une sortie à Deauville en mini cars. Celui-ci avait malencontreusement sorti la tête par la fenêtre du véhicule et avait été heurté par un camion. Le Maire s’est rendu sur place à Deauville avec sa mére, employée municipale,  et deux élus (Maxime Gagliardi et Eric Pottier), auprès de ce jeune qui était dans le coma. « Nous sommes tous bouleversés et nous n’avons plus du tout le cœur à la fête » expliquait Bernard Gauducheau.

    Le 13 Juillet 2015, il a été annulé pour des raisons d’économies budgétaires, mais pas le bal qui s’était déroulé place de la République, comme en 2016 et en 2017 : « A l'heure de la baisse des recettes de la ville, nous devons soit faire des économies, soit augmenter les impôts. J'estime que les habitants en paient suffisamment et j'ai préféré économiser les 25 000 € que coûte le feu d'artifice. »  avait expliqué alors Bernard Gauducheau face à l’opposition qui contestait cette décision

    Un feu d’artifice reste dans le souvenir de tous les vanvéens : le 13 Juillet 2012, où un temps automnal qui s’était abattu sur la Région parisienne depuis plus d’un mois. IL avait été tiré sous une pluie battante, ce qui est quand même très rare, la retraite aux flambeaux ayant été annulée. En 2021, en pleine crise sanitaire, le feu d’artifice n’avait pas été tiré, mais les rendez-vous festifs et musicaux avaient été annulés à cause d’une pluie diluvienne.  La ville avait prévue d’installer de grandes tables dans les squares Jarrousse et de la Mairie, place de la République,  pour improviser apéritif ou pique-nique animé par des fanfares musicales, des jongleurs, des échassiers, dans un décor tricolore. Trois accordéonistes  devaient sillonner la ville pour offrir un bal populaire sur les terrasses.

  • ZFE A VANVES :LES VEHICULES CRIT’AIR 4 BANNIS EN 2024, CRIT’AIR 3 EN 2025

    La MGP (Métropole du Grand Paris) qui  devait tenir un conseil métropolitain le 30 Juin darnier (où siége Xavière Martin, représentante de la ville deVanves), a dû le reporter à cause des émeutes urbaines, à ce jeudi 13 Juillet. «Les maires ne peuvent pas venir, on a nos villes qui brûlent et on a autre chose à faire que de venir en réunion pour des décisions qu'on peut prendre un peu plus tard» déclarait Patrick Ollier, son président,  dans un communiqué de presse en ajoutant : «Ce Conseil métropolitain sera d’autant plus important avant les vacances que nous prévoyons d’inscrire à son ordre du jour une délibération portant création d’un fonds de soutien aux investissements pour les communes de la Métropole ayant subi des dégradations sur des bâtiments et équipements publics».

    Mais surtout, il devrait se prononcer sur le report du calendrier d’application de la ZFE au 1er janvier 2025, pour les restrictions de circulation visant les véhicules Crit’Air 3. «La précédente délibération votée le 1er juillet 2022 prévoyait un passage au Crit’Air 3 au 1er juillet 2023 sous réserve de la mise en œuvre du Contrôle Sanction Automatisé (CSA) et la mise en place du Prêt à Taux Zéro (PTZ) avec garantie de l’Etat. Ces deux conditions n’étant pas réunies, il n’était donc pas envisageable de passer au Crit’Air 3, au 1er juillet 2023. Par ailleurs, il était nécessaire de disposer d’un délai de 11 mois pour réaliser les études préalables et les consultations nécessaires» indiquait la MGP.

    Cette décision interviendra quelques jours après un conseil interministériel sur la qualité de l’air où le gouvernement a décidé  a décidé d’une évolution de la définition des ZFE, pour calmer la grogne des élus locaux et des automobilistes. Désormais, il y a deux cas de figure, l’Etat ayant pris en compte l’évolution de la qualité de l’air dans la plupart des villes concernées : les agglomérations qui respectent les seuils de pollution  (6) qui deviennent des territoires de vigilances (Grenoble, Reims, Saint Etienne, Toulouse,Nice et Montpellier) parmi les 11 obligatoires et celles qui ne les respectent pas (5) : La MGP, Lyon, Marseille, Strasbourg et Rouen. Ces dernières deviennent ainsi les «territoires ZFE effectifs», avec une obligation de suivre le calendrier de restrictions imposé : les véhicules Crit’Air 4 seront bannis en 2024, les Crit’Air 3 en 2025. Exactement ce qu’avait prévu la MGP et qui doit être entériné cet après-midi avec peut être des modifications

     «On est pragmatiques, il faut un calendrier qui permette une bonne acceptabilité sociale, mais l'Etat n'était pas au rendez-vous» expliquait on à la MGP. «C'est un enjeu social dans le climat actuel d'inflation, d'autant que plus de la moitié des véhicules concernés sont en Seine-Saint Denis». Dressant un constat similaire de «procrastination» de l'Etat, socialistes et écologistes plaident toutefois pour un report «court» au 1er janvier 2024, tandis que les communistes souhaitent un report assorti «d'une véritable réforme du régime d'aides». Les écologistes souhaitent un système de verbalisation à objectif pédagogique, sans sanctions applicables à compter du 1er janvier 2024 et jusqu'en janvier 2025.