Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • UN ETE DE DERAPAGE POUR VIPARIS DU COTE DES RIVERAINS DE VANVES ET D’ISSY

    Un incident particulièrement significatif des relations difficiles entre le parc des expositions et ses riverains est passé inaperçu au début de la semaine, si certains riverains du parc des expositions n’avaient pas réagis. Les riverains de la rue du 4 Septembre ont eu le droit d’être perturbé par une véritable boîte de nuit installée aux proches des habitations, durant les soirées des 26 et 27 Août 2019. Ce qui a suscité de vives protestations. Ils se sont demandés, à juste titre, pourquoi installer une telle boite de nuit si proche des habitations dans le Hall 3 avec ses terrasses donnant sur les immeubles du 4 Septembre. Avec la chaleur, tout le monde était dehors côté parc, et les fenêtres étaient ouvertes, côté riverains. Avec des sons très graves à vous secouer le cœur…Mais pourquoi avoir donné un tel emplacement à ses organisateurs alors que les dirigeants disposent non seulement de halls plus centraux, moins gênant comme les halls 4 et 2, mais surtout du Palais Sud avec ses salles du Paris Center Convention et sa boîte de nuit au dernier étage dont ils se gargarisent dans la presse à longueur d’articles. Et les riverains des rues Yoll et du Moulin comme de ce quartier pavillonnaire s’en sont d’ailleurs plaint lorsque les fins de soirée se terminaient dans ses rues avant que la ville obtiennent que les accès et sorties s’effectuent côté porte de la Plaine

    Cet incident de la fin Août est très révélateur de l’état d’esprit des dirigeants du parc des expositions dont les riverains ont eu une démonstration avec le fameux projet Mixcité heureusement suspendu, mais aussi à chaque montage et démontage de grands salons. Une association de riverains, aujourd’hui dissoute, l’ARPEX, qui a toujours cherchée à concilier cette activité congrés salon qui assure l’attractivité de Paris, et l’environnement proche du parc des expositions,  avait obtenu que l’activité logistique se déroule plus au centre du parc et moins sur ses franges, côté habitation surtout de Vanves et d’Issy, mais pas côté Paris, et surtout avec ses containers sur roues qui font un bruit infernal lorsqu’on les secoue, surtout à 2H ou 3H du matin. Mais voilà, depuis un certain (long) temps, toutes ces bonnes intentions ont été oubliées, à chaque montage et démontage, la nuit est infernale pour les riverains, d’autant avec les «bip-bip» des marches arrière des engins, car les manutentionnaires roulent sur des centaines de métres en marche arrière plutôt qu’utiliser  la marche avant plus silencieuse. Les riverains s’en  sont mais « c’est comme pisser dans un violon».  Voilà une fois de plus, une preuve du manque de considération des dirigeants de Viparis vis-à-vis riverains malgré leurs bonnes paroles et leurs réunions de concertation, deux fois par an, complétement bidon lorsqu’on voit le résultat concret!

  • FACE AUX CHANTIERS DE L’ETE 2019 A VANVES ET SUR LE TERRITOIRE DE GPSO, DES CITOYENS LANCENT UN MANIFESTE POUR LE PRESERVATION DES PAYSAGES URBAINS DU GRAND PARIS

    Sur le plan des Travaux à Vanves, les chantiers des immeubles avenue Guy Moquet ont bien avancés : les premiers occupants se sont installés depuis quelques mois dans la résidence du groupe Arcueil Immobilier,  alors que l’immeuble de Legrand Immobilier touche à sa fin, et qu’OGIC a entamé les fondations de son immeuble à l’angle Marcel Martinie/René Sahors bientôt suivi par Care Promotion.   La mairie a demandé à ses deux promoteurs de bien clôturer leur chantier, ce qui est le cas depuis quelques jours, car les grillages mis en place lors du chantier de démolition des pavillons,  laisser à désirer. La tour d’habitation au dessus du centre adminisration a vu ses façades aveugles rénovées… sans parler des autres chantiers, nombreux cet été à Vanves surtout du côté du Clos Montholon avec Franco Suisse et Bouygues Immobilier

    Enfin à  l’occasion de la première édition des Trophées de l’UNTEC 2019, PAREXLANKO, marque leader de la façade en France, Boyugues a reçu le Trophée Or dans la catégorie « Projets innovants constructions neuves », pour le projet NIWA. Les architectes souhaitaient jouer sur le contraste des matériaux naturels, entre le bois des brise-soleil et des panneaux de façade, rappelant l’aspect de la roche reconstituée. Pour cette réalisation, Parexlanko a mis en œuvre une solution ITE sur-mesure pour les 6000 m2 de façades, avec trois aspects de finition différents délimités par un joint creux.

    Mais, dans le même temps, sur le Plateau, des responsables de copropriétés auraient protesté contre l’abattage d’arbres, alors que circule depuis le début de l’été, sur les réseaux sociaux, un «Manifeste pour la préservation de la qualité des paysages urbains de la couronne parisienne. Nous sommes inséparables, nous les aimons. Ils ne seront pas abandonnés au bord d’une route, comme d’autres y oublient leurs promesses. Un  Manifeste, soutenu par 50 associations, qui aurait recueillit ses premiers encouragements :  Un Président de Conseil Départemental, un Vice-Président de la Métropole du Grand Paris, un Secrétaire général de la Fédération française du Paysage selon leurs instigateurs. «Faire de la métropole de demain une métropole plus verte, autrement dit un territoire plus respirable, plus vivable, plus agréable, selon les mots de M. Ollier, est difficilement compatible avec une ville toujours plus bétonnée. Vanves a encore ratée l’occasion d’être à la page. Il faut maintenant se mettre au vert, c’est ce que devrait pouvoir comprendre un politique, quel qu’il soit. La présence d’espaces verts n’est pas une excuse pour ne rien faire, alors qu’il faut renaturer une ville qui se densifie avec ces nouvelles constructions face aux canicules qui vont se multiplier comme nous l’avons vécu durant ces vacances, et qui seront de plus en plus fréquentes et longues afin qu’elles soient mieux supportés pas vos administrés» explique l’un des relais à Vanves de ce Manifeste

  • UN ETE A VANVES ENTRE PANNES D’ELECTRICITE ET CAMBRIOLAGES

    A croire que l’été à vanves, est marqué par les pannes d’électricité : Souvenez-vous de l’été 2018 marqué par cette panne provoqué par l’incendie d’un poste RTE de le long de la ligne Paris Montparnasse à Issy les Moulineaux, ou de la panne du poste signalisation en gare de Vanves/Malakoff en 2017 qui avait bloqué la gare Montparnasse en plein chassé croisée de Juillet/Août. Là c’est une ligne à haute tension HTA qui a provoqué une coupure d’électricité à la fin du long week-end du 15 Août, mettant dans le noir pendant quelques minutes à quelques heurs le dimanche soir lorsque ce n’était pas jusqu’au lendemain certains secteurs de Vanves et d’Issy les Moulineaux. Enedis a dû intervenir pour réparer en creusant une tranchée dans la rue Sadi Carnot entre Danton et J.Jaurés dans la nuit du 21 au 22 Août. Mais ce n’était pas suffisant à cause de la vétusté du réseau et sûrement de la canicule,  puisque d’autres coupures se sont déroulés, toujours sur Plateau dans les jours qui ont suivis.

    Malheureusement, l’été est aussi marqué par les cambriolages. Le Parisien faisait état, en Août, d’un cambrioleur qui a dévalisé 70 logements grâce aux clés dans les boîtes aux lettres dans le XVe arrondissement et à Vanves notamment au domicile d’un ministre. «Équipé d'une clé passe-partout similaire à celle des facteurs, un quinquagénaire ouvrait les boîtes aux lettres des immeubles de la capitale pour y récupérer les clés de logements et les cambrioler» indiquait ce quotidien du matin. Heureusement, il a été appréhendé par la police et incarcéré. Mais cette affaire montre bien que le nombre de cambriolages a fortement augmenté dans Paris et les communes riveraines comme Vanves, Les vols avec effractions ont augmentés de 16 % dans le Grand Paris en 2018. Une polémique s’est d’ailleurs développée au moment des départs en vacances lorsque la maire de Paris et les élus du Conseil de Paris ont dénoncé l’attitude de la préfecture de police qui a préféré mettre des effectifs pour lutter contre les exactions des gilets jaunes que pour assurer la sécurité des grands parisiens. D’où cette augmentation des faits délictueux dans l’agglomération parisienne