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  • VANVES ET GPSO : JCDECAUX REMPORTE LE CONTRAT DE MOBILIER URBAIN PUBLICITAIRE

    JCDecaux SA (Euronext Paris : DEC) a  annoncé début Juillet,  avoir remporté, dans le cadre d’un appel d’offres, le contrat de mobilier urbain publicitaire de 6 villes du Grand Paris Seine Ouest (GPSO) sur 8. Avec ce contrat, JCDecaux fait son retour dans la ville de Vanves et renouvelle son offre dans les 5 autres villes (Chaville, Issy-les-Moulineaux, Marnes-la-Coquette, Meudon et Ville d’Avray).

    Ce contrat de 15 ans, qui prendra effet le 1er janvier 2020, s’inscrit dans le cadre de la réglementation locale de la publicité adoptée par l’intercommunalité (RLPI) au cours du 1er trimestre 2019. Il porte sur le design, l’installation, l’entretien, l’exploitation et la maintenance d’une offre complète de plus de 950 mobiliers urbains serviciels (abribus, sanitaires, mobiliers urbains d’information et d’affichage libre, journaux électroniques d’informations, colonnes d’affichage culturel, mâts porte-affiches, horloges …) et de 19 mobiliers urbains digitaux, le tout représentant près de 1000 faces publicitaires.

    Vanves, comme Issy les Moulineaux et Chaville, bénéficiera de mobiliers urbains digitaux de dernière génération, offrant une visibilité optimale tant à l’information municipale qu’aux campagnes publicitaires, grâce à leurs écrans LCD 86 pouces full HD. Positionnés à des emplacements stratégiques, L'un d'entre eux a été installé à l'angle Bd du Lycée et la rue Pruvot (sur la photo), ils permettront une communication en temps réel, contextualisée et géolocalisée avec des contenus dynamiques permettant une créativité sans limite, pour le plus grand bénéfice de la ville, des marques, des citoyens et des touristes. Des ports USB sont aussi proposés sur les abribus, dont certains seront également équipés de panneaux photovoltaïques. Avec des designs signés Sir Norman Foster, Philip Cox, Ora-Ïto, Martin Szekely ou JCDecaux selon les équipements, ces mobiliers sobres, élégants et personnalisés aux couleurs de chaque ville, s’intégreront harmonieusement au paysage urbain.

    Ainsi le Groupe Decaux  a proposé ses solutions les plus innovantes pour maîtriser l’impact environnemental des mobiliers, notamment en les reconditionnant à neuf, selon les principes de l’économie circulaire. Leurs performances énergétiques sont optimisées, notamment grâce à l’utilisation de la technologie LED et la modulation de l’intensité lumineuse, permettant de réduire les consommations électriques jusqu’à 60%. Le choix de matériaux nobles et recyclables tels que l’acier, l’aluminium, ou le verre garantit une qualité optimale de service durant toute la durée du contrat. Enfin, l’entretien des abribus sera toujours réalisé à l’eau de pluie, avec des produits respectueux de l’environnement. «Ce contrat vient renforcer notre offre publicitaire en Ile-de-France et contribue à l’accélération du déploiement du digital urbain, au bénéfice des marques, des collectivités et de l’information des citoyens» indiquait Jean-Charles Decaux, Codirecteur Général de JCDecaux, courant Juillet

  • LA PHOTO DU JOUR : DEUX DEPOTS DE GERBE POUR LE 75e ANNIVERSAIRE DE LA LIBERATION DE VANVES

    L’anniversaire de la libération de vanves est toujours célébré dignement et simplement. Elle commence par un hommage à ces jeunes tués par les nazis place de l’Insurrection le 21 Août devant la plaque commémorative dans ce petit square à l’angle A.Fratacci/R.Marcheron par les élus communistes malakoffios avec une représentante de la ville de Vanves, Marie Françoise Goloubtzoff maire adjoint chargée des anciens combattants. Puis, par une commémoration simple, sans discours, devant le monument aux morts de Vanves en présence du maire, de la député, des sapeurs pompiers de Paris arrivés en retards à cause sûrement d’une intervention (mis à l’honneur pour avoir hissé le 25 Août 1944 Le drapeau tricolore en haut de la Tour eiffel à la place du drapeau nazi sous les tirs ennemis),  d’adjoints au maire, rentrés de vacances, d’anciens combattants et de vanvéens. Tout le monde a remarqué une incongruité : Le maire a déposé deux gerbes, en tant que conseiller régional, ce qui est nouveau depuis quelques mois, et en tant que maire, ce qui est normal.  «Heureusement qu’il n’a pas sa carte d’ancien combattant, car il en aurait déposé trois» persiflait une opposante. Il est vrai que les municipales sont dans six mois.

  • UN ETE DE SECHERESSE ET DE CANICULE : 42,9° A VANVES LE 25 JUILLET, RECORD BATTU

    Depuis le début des mesures en 1873, le Grand Paris n'avait dépassé la barre des 40°C qu'une seule fois, le 28 juillet 1947, avec 40,4°C. « Ce qui correspond à la température maximale moyenne à Bagdad en Iraq en juillet (43°) » soulignait l'institut de prévision. La nuit du mercredi 24 au Jeudi 26 Juillet avait, d'ailleurs été la plus chaude de l'histoire en France, selon Météo France. Mais Jeudi, le record a été atteint ce fameux Jeudi, avec 42,9° à Vanves. Pas âme qui vive en milieu de journée, notamment dans le Cenre Ancien, même la terrasse du Tout Va Mieux a été désertée, personne depuis 15H  jusqu’à 19H ! Du jamais vu ! Les vanvéens commençant à sortir pour s’aérer et respirer en début de soirée. Les chantiers, nombreux à Vanves, étaient même arrêté en milieu de journée

    Même la canicule de 2003 n'avait pas permis d'exploser ainsi le record  à Vanves alors que la première vague fin juin, avait vu un record absolu de température battu à Vérargues (Hérault) avec 46 °C. Bien évidemment, tout le monde se référait à 1947 qui a peu tué malgré son intensité, mais pas aux 70 jours de canicule qui ont marqué l’été 1911 à Paris et dans le département de la seine (petite couronne actuelle). Du début Juillet elle s’est étiré jusqu'à la mi-septembre, et a fait 41 072 décès dans l'Hexagone. Une véritable hécatombe qui a frappé pour un quart les personnes âgées, mais aussi des bébés de moins de deux ans ! Les travaux d'Emmanuel Le Roy-Ladurie, indique plus loin dans le temps, qu'un terrible coup de chaud en 1636 avait emporté 500 000 sujets du roi Louis XIII. «Ces hécatombes s'expliquaient par des épidémies de dysenterie, l'eau - souvent infectée - venant à manquer». D'après sa monumentale « Histoire humaine et comparée du climat » en trois tomes (Fayard), les étés 1718-19 sont également restés dans les annales avec 700 000 décès enregistrés, une région parisienne transformée en Sahara et même l'apparition de nuées de sauterelles !»

    Même si on s’en est moins aperçu, à Vanves comme dans les Hauts de Seine, notre Région a été touché par la sécheresse comme 80 autres départements français.  La Seine-et-Marne et le Val-d'Oise ont été en «alerte renforcée», faisant parties 21 départements où les prélèvements d'eau pour l'agriculture ont été réduits, l'arrosage des jardins et des espaces verts a été aussi fortement limité. L'Essonne et les Yvelines ont été  en «alerte jaune », les mesures de restriction d'eau sont moins fortes que dans les départements en «alerte renforcée». Mais «chacun est invité à réduire volontairement ses consommations en eau non indispensable» précisait on alors à la préfecture de Région. À Paris, dans les Hauts-de-Seine, en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne, la Seine et la Marne faisaient l’objet d’un suivi régulier des débits. La situation des sources situées en Seine-et-Marne, dans l’Yonne et dans l’Eure qui contribuent à l’alimentation de Paris et son agglomération en eau potable a été également suivie. La situation de la Seine et de la Marne, dont le débit est soutenu pendant l’été par les lacs situés en amont (Le lac d’Orient sur la Seine, le lac du Temple sur l’Aube, le lac du Der sur la Marne et le lac de Pannecière sur l’Yonne) n’a pas conduit  à des restrictions particulières. Cependant, collectivités, services publics, entreprises, industriels ou bien encore agriculteurs de l’agglomération ont été également appelés à «réduire volontairement les consommations en eau ».