Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

...ET LA SENATEUR DE VANVES SON SIEGE ?

La ré-élection du président Devedjian dans le canton de Bourg la Reine Dimanche dernier et à la tête du conseil Général des Hauts de Seine Jeudi dernier devrait finalement arranger le devenir de quelques élus UMP altoséquanais et  de Vanves en particulier, notamment en prévision des sénatoriales, car beaucoup de parlementaires (députés et sénateurs) commençaient à flipper pour leur ré-élection. D’autant plus que le même jour, le célébre quotidien du soir consacrait une page à la chute de « La Balkany » signé Béatrice Jérôme qui expliquait que « pour la dissuader (de se présenter à la présidence du Conseil Général Des Hauts de Seine ), Nicolas Sarkozy avait prévu de lui promettre, à la place un siége de sénatrice en 2011 » que Roger Karoutchi confirmait dimanche soir en reconnaissant qu’il était prévu qu’elle fasse un ticket avec lui. « Il n’a pas été utile qu’il (le président) se donne davantage de peine, les électeurs ont tranché » concluait la journaliste du Monde. Du coup, la côté de la sénateur de Vanves remontait dans certains esprits (machiavéliques), et l’ex-sénateur/ex-ministre se voyait bien faire un ticket avec la sénateur de Vanves.

 

A quelques semaines de Pâques, c’est même à une résurrection qu’ont assisté les altoséquanais comme quoi la politique réserve toujours des surprises.  « J’ai survécu. Il y a tellement de gens pour mon enterrement que j’ai décidé de ne pas m’y rendre » expliquait Patrick Devedjian après sa réélection. Et à un véritable bal des hypocrites durant les quelques jours qui ont séparés le 2éme tour du 3éme tour avec l’élection du Président. Démissions, claquements de portes, pétages de plomb, coups de files, tractations surtout après l’annonce du soutien de Jean Sarkozy (UMP) à Patrick Devedjian lundi soir, pendant la réception donné par le préfet Patrick Strzoda avant son départ en Corse auxquels participaient Isabelle Debré, et Guy Janvier qui l’a bien connu lorsqu’ils étaient ensemble en stage à l’ENA.

Ainsi tous ceux qui espéraient sa chute,  ont dû l’adoubler, notamment sous la pression des parlementaires UMP qui voulaient enrayer la fonte du vote UMP/NC. Ce qui a eu pour avantage pour certains (candidats à la présidence)  de garder leurs postes de Vice Présidents au Conseil Général (Alain-André Boulanger, Philippe Pemezec) et de gaghner celui de rapporteur du budget ( Eric Berdoati) malgré leurs véliétés de candidatures. Et oui, tout ça pour ça ! On prend les mêmes et on recommence. « Le 92 s’est transformé en véritable feuilleton télé avec son épilogue qui s’est joué à l’Elysée » constatait Marine Gourriet, collégue PS de Guy Janvier qui s’étonnait même du score obtenu par Patrick Devedjian : 27 voix alors que le groupe UMP/NCen compte 24, soit 3 voix de plus venant des DVD ? Dallas n’a pas tenu ses promesses.

Les commentaires sont fermés.