Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

quartier du plateau de vanves

  • LES BUREAUX DE MATA CAPITAL A VANVES ONT DU MAL A ETRE LOUES A CAUSE DE LA CRISE DE L’IMMOBILIER D’ ENTREPRISES

    Lors de l’Assemblée générale d’Agir sur Le Plateau, il a été beaucoup question de la requalification des rues A.Comte et L.Vicat et de l’Immeuble de bureau de Mata Capital qui a fait l’objet d’un article intéressant  sur le site « Bati Actu » sur la requalification de l’ancien bâtiment Orange par Mata Capital : « Au sud de Paris, des bâtiments obsolètes deviennent un ensemble de bureaux moderne » titrait il en constatant que « le projet devait aussi s'ouvrir sur la ville, avec la requalification des abords du périphérique » et en citant le préfet des Hauts de Seine, Alexandre Brugiére qui estimait lors de son inauguration le 9 avril dernier (sur la photo) que « l'immeuble contribue à la vie du quartier ».  

    Bati-Actu relevait que « devant le bâtiment, un parvis a notamment été créé, et la contre-allée est en train d'être requalifiée par la Ville. L'Établissement public territorial GPSO (Grand Paris Seine Ouest) et la commune ont engagé une première phase de requalification du domaine public pour repenser les abords de l'immeuble situé rue Auguste Comte, côté Vanves, ainsi que la rue Louis Vicat, en bordure du périphérique, afin d'améliorer leur accessibilité et leur intégration urbaine. La refonte complète de la voirie est prévue. Une place plus grande sera accordée aux voies cyclables et le stationnement de véhicules sera réduit. Par ailleurs, l'éclairage public sera renouvelé et les espaces verts étendus » expliquait il citant le maire : « Ce projet allie innovation architecturale, performance énergétique et qualité de vie au travail. Il contribue activement à la requalification et à la transformation des abords du boulevard périphérique, au sud-ouest de Paris, et renforce ainsi l'attractivité économique de notre territoire ». Pour l'édile, cet immeuble participe à la revitalisation du quartier, « qui commençait à prendre un peu d'âge ».

    Ce qui n’empêchait pas ce site spécialisé dans le BTP de constater  que « cette livraison intervient dans un contexte tendu, où le taux de vacances de bureaux dans la région est élevé » en citant le préfet des Hauts de  Seine – « Le stock de bureaux immédiatement disponibles est préoccupant dans le département » - et Immotat – « En Île-de-France, le taux de vacances atteignait 10% fin 2024, soit 5,64 millions de mètres carrés. Aujourd'hui, avec la crise immobilière que nous traversons et l'avènement du télétravail, nous devons concevoir des bureaux différents, qui attirent les utilisateurs ».

    D’après les rumeurs, il y aurait 4 postulants pour louer une partie de ses bureaux sur les noms desquels tant la mairie que Mata Capital restent discrets tant que rien n’est définitif  

  • LA REVOLUTION DU PERIPH NE FAIT PAS LE BUZZ A LA REUNION PUBLIQUE DU PLATEAU DE VANVES

    La Route est au coeur de l’actualité francilienne et vanvéenne. A un moment les départements vont pouvoir décider de revenir ou non aux 90km/h, les élus du Grand Paris planchent sur le devenir de leurs routes et autoroutes. Le maire de Vanves en a fait état lundi soir à la réunion publique du quartier du Plateau lundi soir. 

    Ils réfléchissent, sous l’égide du Forum métropolitain du Grand Paris (ex-Paris Métropole) tout d’abord aux routes du futur qui fait l’objet d’une exposition au Pavillon de l’arsenal inauguré ce soir en grande pompe. Elle présente le résultat des travaux sur les visions prospectives des équipes sur le devenir des autoroutes, boulevard périphérique, voies rapides ou structures à l’horizon  2030 et 2050. L’exposition met en lumière les travaux des quatre équipes pluridisciplinaires composées d’architectes, d’urbanistes, d’ingénieurs, de paysagistes, d’experts en mobilité, en environnement et analyse de trafic : L’atelier des mo ilités (D&A Devillers 1 Associés), le Collectif Holos (Richez Associés), New Deal pour les voies du Grand Paris (Seura Architectes), et Shared Utility Network – SUN (Rogers Stirk Harbour & Partners). Ces équipes ont pensé un nouvel usage de la route. Leurs travaux montre comment la route peut être repensée pour en faire le support d’un systéme de transport en commun interconnecté avec les autres modes de mobilité, que ce soit les transports en commun ferrés, l’autopartage, le vélo ou la marche. L’exposition permet de visualiser leurs propositions, de repenser l’insertion des routes dans la ville ainsi que l’aménagement des voies. Des focus revisitent le périphérique et les grands axes ou nœuds d’interconnexions (A1, A86..). Enfin, elle montre également ce qui pourrait changer concrétement pour les habitants et usagers dans leur quotidien, notamment dans l’offre de services que cette nouvelle vision permettra d’apporter. 

    Ensuite, une mission d'information et d'évaluation (MIE) a été  lancée à l'automne 2018, par la ville de Paris qui vient de rendre public ses 40 propositions pour transformer cette voierapide en boulevard urbain en plusieurs étapes d’ici 2030 : limitation de la vitesse à 50 km/h, du nombre de voies à 2x3 voies dont une réservée aux voitures propres (covoiturage, voitures électriques, hybrides, transports en commun…), interdiction aux poids lourds en transit,  réduction de la pollution aux particules fines et sonores, avec la mise en place de revêtements antibruits ou encore le filtrage de l'air dans les tunnels…mais aussi mettre en place des fermetures temporaires du périphérique pour expérimenter de nouveaux usages : fête populaire, week-ends «Périph’ sans voitures», espaces d’expression ou concours d’idées citoyennes pour la transformation du périphérique et de ses abords avec une expérimentation pour la Nuit Blanche 2019 le premiers amedi d’Octobre prochain. Enfin végétaliser le périphérique sur les parois, le terre-plein central et les murs anti-bruit, «Le périphérique et ses abords ainsi libérés de toutes nuisances permettraient d’ouvrir une large trame urbaine privilégiant des espaces verts réunissant Paris et les communes limitrophes, un espace de respiration où pourraient venir se développer de nouveaux usages».  Elles devraient être examinées et débattues en Conseil de Paris mardi prochain, Anne Hidalgo ayant déjà annoncée la création d’un groupe de pilotage métropolitain, pour « que les communes voisines soient partie prenante de cette transformation ambitieuse»

    Bernard Gauducheau a présenté rapidement ses propositions lors de la réunion publique lundi soir à l’école Marceau. Le maire de Vanves a regretté que ces propositions ne retiennent pas la couverture du Périph, car elle permet d’unifier la métropole. Tout en reconnaissant que le coût est énorme : 400 M€ pour la couverture existante porte de Vanves, soit l’équivalent de l’investissement de Viparis pour remorderniser le parc des expositions. Un participant a demandé pourquoi l’accès du Périph porte de Sévres  était fermé,provoquant en aval et en amont, notamment sur la bretelle d’accés vrs l’Ouest porte Brançion, des embouteillages. «Ce sont des problèmes de soutainement qui ont entrainé cette fermeture partielle comme c’est le cas pour la RN 118 au niveau du pont de Sévres».

  • L’EVENEMENT DE LA SEMAINE A VANVES : L’INSTALLATION DU KIOSQUE SUR LE PLATEAU

    Le kiosque de presse  prévu sur le quartier du Plateau a été installé rue Jean Jaurés mardi dernier. Les travaux de raccordement «électrique et téléphone » devraient intervenir  ces prochains jours. Un kiosque qui est attendu depuis des années et devrait ouvrir début Septembre. C’est la société MédiaKiosck, filiale du groupe JC Decaux qui a procédé à cette implantation. Mais la recherche d’un kiosquier a été difficile car il s’agit d’un métier ingrat et dur qui n’attire pas les candidatures. Tout simplement parce que les conditions imposées par ces sociétés spécialisées dans cette activité sont particulièrement dures. Elles n’ont qu’un but but, faire du fric et du business, mais surtout pas défendre et développer la presse écrite qui les fait pourtant vivre, en imposant des conditions tellement draconiennes qu’elles découragent les bonnes volontés. La meilleure preuve est l’abandon par Doclogic de créer un espace presse, dans son magasin, avec 150 titres dans le Centre Ancien.  La société distributrice voulait lui en imposer 1500. « Qu’elle aille se faire voir ! » a répondu Max. C’est dommage pour les vanvéens du Centre Ancien