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nicolas hulot

  • L’ETE 2018 DU DEPUTE DE VANVES QUI A FAIT LE BUZZ ET AGACE LE PREMIER MINISTRE AVEC LA BANDE DE POITIERS

    Le député de Vanves a fait le buzz cet été malgré les vacances, notamment sur Paris Match avec non seulement  une photo avec Lionel jospin, dans un article sur « La jeune garde macroniste se ressource en Bretagne et croise... Jospin » mais une interview incroyable où il se déclare fan de d’Oreslan «  Vanves - Gabriel Attal : « J'ai monté le fan-club d'Orelsan à l’Assemblée » et un troisiéme où il explique comment il s’est engagé pour la libération d’Ingrid Bettencourt  … après cet échange aigre-doux avec son pédécesseur dans un EHPAD d’Issy  les Moulineaux raconté par le Canard Enchaîné. Trois articles en un mois dans Paris Match, un record pour un député de Vanves et de la 10éme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy).  A tel point que l’ex-député UDI  de Vanves/Issy qui le poursuit de son ire,  a écrit à la rédaction en chef de ce magazine pour s’en plaindre ( ?) .

    Gabriel Attal (sur la photo avec Edouard Philippe)  fait parti de la bande de Poitiers qui s’est retrouvé cet été justement sur une île du Golfe du Morbihan (l’île aux Moines), où justement il séjourne, et qui a fait parler d’elle dans la presse avec cette photo de Lionel Jospin. Cinq députés de la majorité (Matthieu Orphelin, Guillaume Chiche, Aurélien Taché, Marie Lebec et Gabriel Attal) et un conseiller du président (Stéphane Séjourné) – sur laquelle le JDD du dimanche 20 Août 2018   a titré :  «La petite bande qui agace le premier Ministre» -  surveillé de très prés par les proches d’Edouard Philippe, à qui l’on prête beaucoup parait il. Une bande des cinq qui s’est élargi, se situant clairement à gauche du gouvernement, « plus macroniste qu’eux, tu meures », dont les initiatives et les petites phrases agacent aussi, et dont Le Monde du 11Août  dressait le portrait de deux d’entre eux, Guillaume Chiche et Sacha Houillé, en laissant entendre que «la jeune garde macronienne jugent que le dispositif présidentiel devrait être renforcé » après l’affaire Benalla. « Rien de tout cela n'est une affaire d'État. La réalité c'est que, avec cette affaire, l'opposition et les médias font 15 tonnes de mousse avec 150 grammes de savon » commentait Gabriel Attal

    Depuis l’affaire Benalla, jusqu’à la démission de Nicolas Hulot, avec entretemps les vacances, cette garde prétorienne croyait possible de reprendre la main : « La séquence a peut être été compliqué médiathiquement, mais il n’y a pas de remise en cause de la ligne politique. La capacité du président à réformer est intacte et les réformes à venir vont  le montrer » estimait Gabriel Attal dans Le Monde du 1er Septembre. La preuve : La décision d’annoncer le prélévement à la source mardi soir par le premier Ministre avec les tergiversations du gouvernement et du président. Pour ce qui concerne Nicolas Hulot,  Gabriel Attal soulignait la « fragilité » de cet ex-ministre venu de la société civile, en lançant, avec une pointe d’amertume, en sa direction  : « Je suis sûr que notre bilan lui fera, dans quelques années, regretters, sa décision ! »

    Enfin, la grande affaire de cette année 2018-19, ce sont les élections européennes : Gabriel Attal considére que « la droite modérée a un choix de cohérence  à faire » en visant les centristes de l’UDI avec Jean Christophe Lagarde, les constructifs avec Agir (Frank Riester), Gilles Boyer… « Il ne serait pas logique que les proeuropéens ne partent pas à la bataille unis, alors que nous sommes sur la même ligne. Le cas contraire laisserait penser que certains font de la politique politicienne pour des siéges » prévient il. Peut être sera t-il présent ce soir à la réunion de rentrée des Marcheurs Vanvéens 

  • LEGISLATIVES A VANVES : PAULINE COUVENT (EELV) : « Je suis la seule qui met l’écologie au cœur de son projet ! »

    Vanves Au Quotidien – Pourquoi êtes-vous candidate dans cette 10éme circonscription des Hauts de seine ?

    Pauline Couvent : « Je me présente parce que je suis convaincue que nous pouvons construire une société plus solidaire pour les humains d’ici, pour ceux d’ailleurs qui subissent souvent nos choix de développement, et pour les animaux. Je veux aussi porter la voix d’une génération qui exige qu’on trouve des solutions pour son avenir et qu’on prenne enfin en compte le temps long dans les décisions.  J’ai envie de porter ces sujets dans le débat public créé par les élections, de convaincre les citoyens que je rencontre chaque jour en faisant campagne, et de les défendre jusqu’à l’Assemblée Nationale.

    VAQ- Dans quel  le contexte local politique particulier vous retrouvez dans cette 10éme circonscription ?

    P.C. : « C’est le renouvellement qui s’annonce sur la 10ème circonscription : A. Santini, député sortant et élu depuis presque 30 ans ne se représente pas. La circonscription a voté massivement E. Macron lors de la présidentielle mais le candidat de centre droit  est bien implanté. Cette année, il y a de nombreuses candidatures à gauche, mais parmi celles présentes sur le terrain, je suis la seule qui met l’écologie au cœur de son projet.

    VAQ - D’autant plus qu’il vous fait remonter la pente car  les écologistes ont été très absents de cette élection présidentielle ? 

    P.C. : « Il est vrai que ne pas avoir de candidat écologiste à l’élection présidentielle nous a fait sortir des projecteurs médiatiques. Mais Benoit Hamon a fait rentrer dans le débat des sujets que nous portons depuis longtemps - tels que le revenu universel ou les perturbateurs endocriniens - et sur lesquels nous avions du mal à être entendus. Diffuser nos idées, c’est la raison profonde de notre présence à l’élection présidentielle. En outre, je me rends compte que notre absence a aussi été un avantage car notre image n’a pas été associée aux scandales et aux querelles, qui ont ponctué la présidentielle : cela suscite de la sympathie à notre égard.

    VAQ - Et que Macron vous a coupé l’herbe sous les pieds en nommant  Nicolas Hulot au gouvernement ?

    P.C. : « La nomination de Nicolas Hulot est un bon signal pour l’écologie. Mais il faudra que cette « belle prise » médiatique se concrétise en actes, à la fois parce qu’il y a urgence écologique et parce que je doute qu’il reste au gouvernement si on l'empêche de mener sa politique. Pour lui, la tâche ne s’annonce pas facile car le 1er ministre n’a ni voté la loi de biodiversité ni la loi de transition énergétique lorsqu’il était député et parce que E. Macron n’a pas porté de thèmes écolos durant sa campagne. Ce choix est risqué pour ce nouveau gouvernement, car la sortie volontaire d’une personnalité aussi populaire que N. Hulot serait un échec retentissant.

    VAQ - Qu’est-ce que vous disent les électeurs ?

    P.C. : « L’accueil des électeurs est plutôt bon. Beaucoup de personnes que je rencontre voient d’une façon positive le renouvellement qui aura lieu sur la circonscription. Le grand nombre de candidats jeunes, dont je fais partie (j’ai 30 ans), est très bien perçu. Quant à ma couleur politique, je pense que, grâce aux actualités récentes comme le choix de D. Trump de sortir de l’accord de Paris, les électeurs comprennent plus que jamais que pour faire avancer les causes environnementales, il faut une volonté politique forte. Or Europe Ecologie – Les Verts est le seul parti à mettre cela au cœur de son projet.

    VAQ - Qu’est-ce que vous faîtes passer comme message politique?

    P.C. : « J'insiste sur le fait que le meilleur moyen d’aider Nicolas Hulot, c’est de voter écolo. Premièrement, cela lui permettra d’avoir des soutiens à l’Assemblée Nationale si des députés verts sont élus. Ensuite, la politique étant aussi un rapport de force, si les Français votent massivement écolo le 11 juin, cela lui permettra d’avoir plus de poids dans ce gouvernement afin de mener la politique écologiste ambitieuse dont nous avons besoin.