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gel

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    PARC PIC ET SQUARES FERMES POUR CAUSE DE GEL

    Les sols étant rendus glissants par la baisse des températures, plusieurs parcs et jardins du territoire de Grand Paris Seine Ouest dont ceux de Vanves sont restés fermés pendant 4 jours de Jeudi à Dimanche dernier. Ce qui a suscité de nombreux commentaires sur les réseaux sociaux auxquels la mairu=ie de Vanves a répondu par une mise au point ce week-end annonçant leurs réouverture hier : «Les équipes de GPSO du service parcs et jardins ont constaté encore lors des visites de contrôle de grandes plaques de verglas sur les sols dans différentes parties du parc Pic. La nuit, avec les températures négatives, le regel est très fort et, si nous ouvrions, le risque de chute est réel.  Celui-ci engagerait, non la responsabilité individuelle de chacun, mais la responsabilité pénale des services de la ville et des élus.  De plus, nous évitons le salage des allées pour des raisons écologiques.  Par ailleurs les aires de jeux enfants sont très glissantes et présentaient encore dimanche  matin un réel danger dû au gel. L après-midi, un léger redoux était observé, ce qui permettra l’ouverture du Parc Pic lundi  matin». Il n’empêche que beaucoup de vanvéens étaient mécontents : « Le parc pic de vanves est encore fermé ! Je ne comprends pas comment il n est possible en 2021 de ne pas enlever les plaques de verglas au bout de 2 jours , on est à -5 , mais comment.font ils dans les pays nordiques !! Le.parc de l ile saint germain est ouvert ...je ne comprends pas qu’à Vanves ce ne soit pas le cas ... » réagissait Ana Cecilia. « Faudra nous expliquer pourquoi le jardin du Luxembourg est ouvert et pas notre parc de proximité. Totalement incompréhensible !» (Melina) ;  «La neige fond gentiment toute seule dans les allées du parc pic (comme autour de la mare aux canards) ... je ne vois pas trop le danger » (Karina) ; « Quel dommage de fermer le parc , de plus un mercredi alors que nombres d'enfants sont chez eux. Ils se retrouvent privés de beaucoup de choses , piscine, ciné , sport....Et maintenant de jeu en extérieur ! Est-ce plus prudent de les faire jouer sur le bord d'un trottoir pour profiter de la neige que dans un parc sécurisé ?» (Aurélia) ; « Est ce vraiment une raison de fermer encore une fois le parc pic ?? Ce principe de précaution nous enlève toute responsabilité et liberté !!! Encore une fois ce sont les jeunes qui trinquent … Qu’est ce qu’on risque ? de tomber en s’envoyant des boules de neige ??!!! Entre le couvre feu et ce genre de décisions la coupe est pleine !» (Alissa) : «Super, pas de parc, et pas non plus de recréation en maternelle. Gardons précieusement les enfants dans des bulles protectrices » (Poppy Props) ; « Obliger les enfants a jouer dans les rues c'est dommageable pour tous !! » (Kuypper). 

    CAREME ET FETE DES CENDRES

    Les paroisses de Vanves avec les congrégations des Bénédictines et des Xavières qui fêtent leur centenaire cette année  célébreront le mercredi des Cendres inaugurant 40  jours pour se préparer à Pâques, jour de jeune et d’abstinence avec des messes ‘entrée en carême avec imposition des Cendres à 8H à Saint Remy, à 12H chez les Bénédictines, à 12H15 à Saint François. Les paroisses ont prévus durant le Carême plusieurs temps forts : Le Saint Sacrement sera exposé chaque vendredi à Saint François de 7H30 à 8H30. Des paniers du cœur seront disposés dans les églises et les accueils  pour recueillir des denrées alimentaires et les produits d’hygiénes pour les plus démunis. UN chemin de Carême solidaire avec le CCFD-Terre solidaire sera proposé chaque dimanche avec «un parcours d’engagement pour habiter la même maison et construire une terre solidaire». Enfin, chez les Bénédictines de Vanves  le P Jacques Turck donnera un enseignement  chaque jeudi à partir du 25 février de 15h40 à 16h40, « à la découverte des fondements anthropologiques, bibliques et théologiques de l’Eucharistie » dans la salle Saint Jean du Priéuré ou sur sur YouTube et Facebook

    VACCINATIONS

    Le centre de vaccinations d'Issy-Vanves à la halle Christiane Guillaume à Issy continue son travail avec 420 vaccins par semaine. Mi février, près de 1700 personnes dont 40% de vanvéens, ont reçu leur première dose de vaccin. Les secondes injections ont démarrés le 15 février. Parallèlement, le nombre de premières injections sera inférieur dans un premier temps, puis augmentera au fil des semaines. «Nous espérons que de nouvelles livraisons de vaccins permettront d’ouvrir de nouveaux créneaux» indiquent ses responsables. L’équipe du centre d’appel (IRIS) a été renforcée par des agents volontaires pour absorber le flux des appels. Au cours de la première semaine, 6 354 appels ont été traités (par comparaison, IRIS traite habituellement environ 1000 appels par semaine), soit plus de 6 fois le volume habituel. Ceux qui n'ont pu obtenir de rendez-vous ont été inscrits sur une liste d'attente et seront rappelés lorsque de nouveaux créneaux seront ouverts

  • VANVES SOUS LA RIGUEUR D’UN HIVER PRECOCE QUI SUSCITE DES QUESTIONS

    C’est un véritable marronnier, dans le terme journalistique, qui revient chaque année au même titre que l’immobilier, les retraites, les feuilles mortees qui font glisser et déraper nos trains de banlieue (dans le JDD et le Parisien de ses de’rnières semaines) dés que le thermométre descend en dessous de zéro pour atteindre cette semaine – 9 aujourd’hui ou demain dans notre commune et la région, comme ce fut le cas au début de cette année. Mais ce ne sont pas encore les 25 cm de neige et les -15,3 degrés enregistrés à Orléans, les -16,8° en Eure-et-Loir, la région Centre ayant pulvérisé ses deux jours de nombreux records, qui remettront en cause le réchauffement climatique, selon un expert de Météo France. En tous les cas, neige et gel suscitent des questions lorsque le maire de Vanves rencontre ses administrés.

     

    Rappelez-vous les terribles hiver de 1985, 1986 et 1987…  annoncé par de petites rigueurs en 1984. Vanves Infos avait relaté particulièrement en Février 1987 les « intempéries hivernales » avec des photos de Vanves croulant sous la Neige. Certains se souviennent de ce banquet des aînés qui se déroulaient alors dans l’un des restaurants du Parc des expositions où arrivés sous un ciel plus ou moins clément, les cars repartirent difficilement dans les rues enneigées de nos communes.  Nos parents ou grands- pourraient  nous rappeler le terrible trio de 1940-41-42 durant la seconde guerre mondiale suivis par les grands froids de Février 1956, de décembre 1962 et de Janvier-Février 1963.

    Vanves comme toute la Région parisienne a connu ses jours et ses nuits les plus froide comme durant les hivers 1985-86-87, où la température était même descendu jusqu’à moins 16° en plein centre de Paris (quartier du Marais). Mais ce n’était pas le record enregistré le 10 Décembre 1879 avec – 23,9°.  Ce qui est très rare car le caractère océanique du climat francilien se traduit par des hivers frais (des étés modérés et des pluies médiocres) de plus en plus perturbé par la densité de l’urbanisation. Du coup l’hiver est devenu plus doux, le brouillard et les brumes ont plus ou moins disparu (100 jours par dans les années 20, une douzaine actuellement),  les pluies sont moins fréquentes et le soleil brille plus longtemps comme l’ont constaté des spécialistes de la climatologie qui se sont intéressés plus particulièrement à l’Ile de France.

     

    Les écarts de température entre le Grand Paris (Paris et son agglomération) et la région Ile de France (Grande Couronne) varient de 4° C à 6 C° en hiver. Et ses 2°C d’écart se vérifient si vous montez sur le plateau du Petit Clamart à Béclére par exemple. Et c’est particulièrement visible en hiver, car cet écart peut être de 14°C entre un quartier très dense du Grand Paris et une vallée verdoyante et peu habité des Yvelines. Et notamment pour les températures nocturnes : les points les plus chauds sont le 9éme arrondissement de Paris (1°C à 1,5°C en plus) en hiver et les quartiers centraux situés à quelques distances de la Seine, généralement sans espaces verts et à forte densité de bâtiments.

     

    De même et sûrement entre le Plateau et le quartier du parc F .Pic ou du PMS André Roche, car les espaces verts font sentir leurs influences sur plusieurs centaines de métres. Il suffit de se promener dans la rue JB Potin lorsque les premiers gels se sont sentir. Tous les véhicules au dessus de la porte d’entrée du parc entre les HLM sur pilotis et les cours de tennis sont blancs le matin, pas ceux qui se trouvent en dessous. Sauf évidemment en cas de grands froids où ils sont tous logés à la même enseigne.  D’ailleurs durant les journées de grand froid et de neige, dans cette rue comme d’autres, qui ne sont pas encore sous le régime du stationnement payant, nous assistons à un phénoméne curieux : Des places disponibles à des heures où ce n’est généralement pas le cas. A croire  que certains ont quand même garé leur véhicule dans leur parking.

     

    Alors que nous commencons depuis quelques jours à subir le gel et ses conséquences, les jours de gel ont diminué en Ile de France : 54 au début du XXéme siécle, plus d’une vingtaine actuellement avec des variations importantes entre les quartiers du Grand Paris (14 à Montsouris, 4 à la Tour Saint Jacques) et des villes comme Trappes (58) et Melun (63). Sans parler du vent dont la densification augmente les effets, comme peuvent quelquefois le constater les habitants du Plateau.

    Enfin, malgré l'apparent paradoxe, cette vague de froid précoce « ne remet pas en cause le réchauffement climatique » nous expliquent les experts de Météo France. Depuis la fin du 19e siècle, la température moyenne de la France s'est élevée d'un degré. « Là où vous rencontriez des hivers à -20 degrés, aujourd'hui ça fait -19. Ce n'est pas parce qu'on parle de réchauffement climatique que d'un seul coup on va avoir des températures positives tout l'hiver et 40 degrés tout l'été ».

     

    L’actualité météorologique a suscité des questions lors de la dernière réunion de quartier publique de cet automne 2010 hier soir à l’école Larmeroux pour les Hauts de Vanves : « Lorsqu’il y a de la neige, je fais le trottoir, et cela depuis 60 ans monsieur le maire », ce qui suscita quelques sourires dans l’assistance. « Ne pourrait on pas avoir du sel ou du sable ? » Daniel Barois, maire adjoint, a alors répondu un peu strictement en « pére la rigueur : « Chaque habitant est tenu de dégager et de balayer la neige devant sa porte ». Du coup Bernard Gauducheau a essayé de rattraper le coup : « L’idée est de responsabiliser les citoyens. Mais nous aidons bien sûr les vanvéens qui ne le peuvent pas lorsque c’est possible ». Et un participant a rebondit sur cette question en indiquant que rue Jean Bleuzen, au début de l’année, des dizaines de personnes ont chûtés devant les siéges d’Hachette, de France 3 Paris Ile de France. « Pourquoi ces sociétés ne font pas leur travail dans ce cas ? » - « En ville c’est compliqué. On a du mal avec les entreprises et les services. Nous dégageons devant les écoles, les créches, en priorité… Mais la neige tombe partout. Il faut partir du principe qu’on n’est pas une assurance risque. Et nous faisons de l’information vis-à-vis des sociétés, des services etc... » a répondu le maire en laissant la parole au représentant de GPSO dont le sang bouillait, parait il : « On met du sel, comme ce fut le cas en Décembre dernier et en Janvier. Mais à -18° cela ne sert rien, car il faut repasser 4H après. Les voies principales sont faîtes en priorité, ainsi que certains trottoirs qui donnent accés à des services publics, ou alors à des services de transports en commun comme l’îlot du métro ou la gare ! ». Du coup le maire fait appel à l’indulgence. Un autre participant parle du sable plutôt que du sel qui est rejeté dans les eaux et pollue. « le sable est moins eficace que le sel. En encore, comme je vous l’ai dit. A -18°, il fait repasser ! ».   

  • VANVES CE WEEK-END : NEIGE, GEL, VENT, SEL

     

    La douceur des derniers hivers, le débat sur l’effet de serre, le réchauffement de la planète…ont fait oublier à tous que nous avons de vrais… et terribles hiver : Rappelez-vous 1985, 1986 et 1987… ce trio étant annoncé par de petites rigueurs en 1984. Vanves Infos avait relaté particulièrement en Février 1987 les « intempéries hivernales » avec des photos de Vanves croulant sous la Neige. Certains se souviennent de ce banquet des aînés qui se déroulaient alors dans l’un des restaurants du Parc des expositions où arrivés sous un ciel plus ou moins clément, les cars repartirent difficilement dans les rues enneigées de Vanves.  Enfin, nos parents ou grands- pourraient  nous rappeler le terrible trio de 1940-41-42 durant le second conflit mondial suivis par les grands froids de Février 1956, de décembre 1962 et de Janvier-Février 1963.

    Vanves comme toute la Région parisienne connaît ses jours et ses nuits les plus froide comme durant les hivers 1985-86-87, où la température était même descendu jusqu’à moins 16° en plein centre de Paris (quartier du Marais). Comme du côté de Gif sur Yvette ou de Bretigny Vendredi matin. Mais ce n’était pas le record enregistré le 10 Décembre 1879 avec – 23,9°.  Ce qui est très rare car le caractère océanique du climat francilien se traduit par des hivers frais (des étés modérés et des pluies médiocres) de plus en plus perturbé par la densité de l’urbanisation. Du coup l’hiver est devenu plus doux, le brouillard et les brumes ont plus ou moins disparu (100 jours par dans les années 20, une douzaine actuellement),  les pluies sont moins fréquentes et le soleil brille plus longtemps comme l’ont constaté des spécialistes de la climatologie qui se sont intéressés plus particulièrement à l’Ile de France.

     

    Les écarts de température entre le Grand Paris (Paris et son agglomération) et la région Ile de France (Grande Couronne) varient de 4° C à 6 C° en hiver. Et ses 2°C d’écart se vérifient si vous montez sur le plateau du Petit Clamart à Béclére par exemple. Et c’est particulièrement visible en hiver, car cet écart peut être de 14°C entre un quartier très dense du Grand Paris et une vallée verdoyante et peu habité des Yvelines. Et notamment pour les températures nocturnes : les points les plus chauds sont le 9éme arrondissement de Paris (1°C à 1,5°C en plus) en hiver et les quartiers centraux situés à quelques distances de la Seine, généralement sans espaces verts et à forte densité de bâtiments.

    De même et sûrement entre le Plateau et le quartier du parc F .Pic ou du PMS André Roche, car les espaces verts font sentir leurs influences sur plusieurs centaines de métres. Il suffit de se promener dans la rue JB Potin lorsque les premiers gels se sont sentir. Tous les véhicules au dessus de la porte d’entrée du parc entre les HLM sur pilotis et les cours de tennis sont blanches le matin, pas celles qui se trouvent en dessous. Sauf évidemment en cas de grands froids où ils sont tous logés à la même enseigne.  D’ailleurs ces jours-ci, dans cette rue comme d’autres, qui ne sont pas encore sous le régime du stationnement payant, nous assistons à un phénoméne curieux : Des places disponibles à des heures où ce n’est généralement pas le cas. A croire  que certains ont quand même garé leur véhicule dans leur parking.

    Alors que nous en subissons quelques uns depuis le réveillon de la Saint Sylvestre, les jours de gel ont diminué : 54 au début du XXéme siécle, plus d’une vingtaine actuellement avec des variations importantes entre les quartiers du Grand Paris (14 à Montsouris, 4 à la Tour Saint Jacques) et des villes comme Trappes (58) et Melun (63). Sans parler du vent dont la densification augmente les effets, comme peuvent quelquefois le constater les habitants du Plateau