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vanvesauquotidien - Page 672

  • GRAND DEBAT NATIONAL A VANVES : SERVICE MINIMUM ET PREMIERES DOLEANCES

    Depuis lundi dernier (et non mardi), les vanvéens peuvent venir remplir le cahier de citoyens mis à leur disposition dans le hall de l’hôtel de ville jusqu’au 15 Mars prochain. En complément, 4 permanences décentralisées pour recueillir les doléances des Vanvéens seront proposées :  Samedi 2 et 9  février 2019 de 10h-12h à l'Espace La Tuilerie sur le plateau, samedi 23 février et 9 mars de 10h-12h à l'Espace Latapie dans les Hauts de Vanves

    Le Blog de Vanves au Quotidien a demandé à quelques vanvéens, ces derniers jours ce qu’ils écriraient sur le cahier doléances de la ville de Vanves, sachant que selon le journaliste (vanvéen) Bruno Jeudy, «Macron préfère l'expression de «cahier des droits et devoirs» plutot que «cahier de doléances» car, dit-il, «ça voudrait dire qu'il y a un souverain qui pourrait donner des choses». Dés les premiéres réactions au café du commerce, c’est très clair : «Que les pensions ne soient pas amputées, qu’il revalorise nos retraites, qu’il dégréve la taxe d’habitation pour tout le monde» demande une retraitée en ajoutant « Qu’il ne nous casse pas les pieds avec des référendums, cela ne sert à rien, car les français répondent à côté de la question ». Alors qu’un actif, prenant son café considère « qu’il est nécessaire d’améliorer le pouvoir d’achat des français. Comme cela, il n’y aura pas de gilets jaunes ». Tout cela dit sur un ton légèrement excédé : « Que Macron fasse ce qu’il dit ! C’est très beau ce qu’il a promis, et va coûter 10 milliards, mais qu’il le fasse, comme devant les maires lorsqu’il a pris des engagements lors de ces débats qu’on a vu à la TV ! »

    « J’ai lu sa lettre aux Français » ajoute un autre vanvéen en listant ce qu’il écrirait sur le cahier de citoyens : « Réduire d’un tiers le Sénat et l’assemblée Nationale, remettre en vigueur les 90 km/h, baisser de 2 points la TVA, revoir les tarifs des autoroutes, car c’est un scandale ! »…  « Mais je suis heureux ! Si je veux de l’argent, une augmentation, je vais voir mon patron ! » explique son voisin, pas du tout macroniste en ajoutant : «Macron demande l’avis des Français, mais cela va changer quoi ! » - «Mais qu’ils arrêtent de fermer les quais (de Seine), de mettre des vélos partout ! Cela devient infernal ! » ajoute un artisan vanvéen (qui doit circuler beaucoup dans Paris)

    Une habitante du Plateau constate « qu’on parle beaucoup de villages qui perdent leurs services publics, mais dans une ville comme Vanves en région parisienne, dans un quartier, comme le Plateau, où il y a du monde, on supprime un bureau de poste ! ». D’ailleurs, sur la commune, beaucoup font état, comme dans les réunions de quartier, de revendications très terre à terre : « J’écrirais «revoir le carrefour du Clos Montholon», car c’est l’enfer avenue de la Paix pour passer le pont, avec Lidl et le chantier du métro ! » tonne un habitué etc… 

  • TRANSPORTS ENTIEREMENT GRATUIT A VANVES, A PARIS, EN ILE DE FRANCE : UN BIG BAND IMPOSSIBLE

    Anne Hidalgo va rendre les transports en commun gratuits pour les enfants et à tarif très réduit pour les adolescents parisiens à partir de septembre 2019. Valérie Pécresse vient d’annoncer lundi soir un pass navigo à demi tarif pour tous les seniors franciliens sans condition de ressources pour la fin de l’année 2019, qui devrait profiter aux vanvéens. Ces annonces découlent de rapports commandés tant par la maire de Paris que la présidente de la Région Ile de France et d’Ile de France Mobilités sur la gratuité des transports, la première à trois de ses adjoints au printemps dernier et remis en ce début d’année «Pour un bug bang de la tarification», la seconde à un comité d’experts présidé par Jean Rapoport qui lui a été remis à l’automne dernier  

    Il est intéressant de noter que ses deux rapports sont arrivés à la même conclusion concernant la gratuité des transports gratuits : «Si l'objectif est de réduire la place de la voiture individuelle, les différents schémas montrent pour autant que la gratuité totale n'est pas une solution efficace. Il apparaît que non seulement l’impact d’une telle mesure sur le trafic automobile serait très faible mais qu’elle risquerait également d’engendrer un report important des modes actifs vers les transports en commun. De plus, l’impact économique de son financement, difficile à assurer, ne peut être occulté. Aussi, force est de constater que cette politique ne permettrait pas de répondre aux enjeux prégnants de la mobilité francilienne» indiquait le rapport de la ville de Paris en consacrant quelques pages aux expériences menées à l’étranger et en France. «Les résultats de ces expériences ne sauraient cependant être transposés tels quels à l’Ile de France : les expériences de gratuité totale présentées ici s’inscrivent en effet la plupart du temps dans des contextes très différents du contexte francilien, concernant en effet principalement des villes de petite ou moyenne taille, dont l’offre en transports publics est relativement limitée en comparaison de celle existante dans l’agglomération parisienne, dont le taux de fréquentation des transports publics est relativement faible, et dont le taux de financement de ces transport est déjà largement pris en charge par la collectivité».

    Par ailleurs, «compte-tenu notamment du fait qu’il existe déjà des mesures de tarifications solidaires allant jusqu’à la gratuité pour les personnes les plus modestes, les effets redistributifs de la gratuité totale des transports en commun franciliens sont difficiles à évaluer. Enfin, le transfert de la part de financement des usagers vers des tiers, comme les contribuables franciliens, paraît aujourd’hui inenvisageable dans la mesure où elle serait notamment susceptible d’avoir des effets récessifs sur l’économie régionale», ni même «un transfert vers les entreprises ou les automobilistes (en instaurant un péage urbain par exemple)  qui ne paraît pas soutenable», ni même «le recours à la fiscalité foncière et à la taxe de séjour qui ne permettrait pas, tant les montants en jeu sont élevés, de compenser la perte de recettes tarifaires engendrée par le passage à la gratuité» indique le rapport.

    Par contre ses rapports insistent sur des politiques de tarification solidaire et d’aides financières à la mobilité (aides one shot, subventions aux abonnements). «Elles doivent pouvoir demain, mieux accompagner et favoriser davantage le développement d’une mobilité multimodale propre». Ainsi le comité d’experts Rapoport proposait de créer de nouvelles catégories de tarification solidaire au-delà des deux principales existantes (c’est-à-dire la gratuité – qu’elle soit financée par la région, pour les personnes bénéficiant du RSA, ou par les départements, pour les personnes âgées ou handicapées dont les revenus sont inférieurs à un seuil défini par chacun des départements, et la réduction de 75% pour les bénéficiaires de la CMU-C).

    D’où  des propositions d’aides mieux ciblées, multimodales et encourageant le développement des mobilités propres et plus solidaires : Modifier la loi LOM afin que le remboursement des titres de transport des salariés par l’entreprise soit augmenté pour les plus faibles revenus (50% de remboursement plancher, jusqu’à 100% de remboursement pour un salarié au smic). Etendre la gratuité des transports en commun aux Parisiens handicapés de moins de 20 ans pour l’ensemble de leurs déplacements. Ile de France Mobilités (ex-stif) pourrait utilement étudier la prise en charge de l’extension de cette mesure à l’ensemble de son territoire. Etudier l’instauration d’un titre de transport qui permettrait à une famille ou à un groupe de bénéficier d’un tarif réduit pour se déplacer, sur le modèle du titre de transport anti-pollution, sur toute la région Ile de France, prendre en charge la gratuité du Pass Navigo pour les enfants de moins de 11 ans et le remboursement partiel de la carte Imagin’R pour tout ou partie des élèves du secondaire.

  • LE BANQUET DES SENIORS DE VANVES A FAIT LE PLEIN

    Dimanche, autour de  650 vanvéens ont participé au banquet du nouvel an des seniors au restaurant les Esselière à Villejuif, dimanche. Cela s’est vu, car les restaurants vanvéens ont été déserté, alors qu’ils sont habituellement occupé par les repas de familles, à quelques exceptions prés. Tout le monde étaient là, Bernard Gauducheau qui a accueilli à l’entrée tous les invités, ce qui lui a évité de faire le traditionnel tour de table, les élus au CCAS qui l’entouraient, le ministre Gabriel Attal et la députée Florence Provendier qui l’ont fait (le tour de table), ainsi qu’Isabelle Debré, vice présidente du Conseil Départemental. 

    L’ensemble des convives a eu le droit au traditionnel discours du maire qui a parlé de Vanves, de sa transformation avec ses nouvelles constructions, l’arrivée de nouveaux habitants, avant d’entamer le menu : L’apéritif accompagné d’une guiche forestière, une chouquette a comté et domini feuillet. En entrée, un tartare de daurade aux saveurs iodées, aiguillettes saumon Marco Polo, corole de rouget aux saveurs du midi, servi avec un Sauvignon. En plat, un filet de bœuf rôti sauce foie gras avec palet de gratin dauphinois, et poêlée de champignons, servi avec un Saumyr Champigny,  suivi d’une assiette de salade et sa trilogie de fromages (Ste Maure de touraine, Brie de Meaux et Comté). En Dessert : Un duo gourmand constitué » de Feuillantine chocolat et sa créme anglaise, carapomme coulis de caramel au beurre salé, servie avec une flute dé pétillant. Les convives se sont régalés tant dans l’assiette qu’avec le spectacle sur scéne avec des Brésiliennes.