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L’événement de cette semaine et ce week-end a été l’ordination de Guillaume Leclerc comme diacre samedi soir à Saint Remy (sur la photo) devant une assistance nombreuses à quelques jours d’un Noël particulier cette année. C’est l’ultime étape avant l’rodination sacerdotale qui lui permettra de devenir prêtre. Le nombre de messes prévues a été doublé pour permettre d’accueillir au mieux les fidéles, Jeudi et Vendredi prochain
Jeudi 24 Décembre
A 17H30 et à 19H30 à Saint François et à Saint Remy : Messe de Noel
A 23H à Saint Remy : Messe solennelle de Noël
à 23H chez les Bénédictines : Messe de la nuit qui ne sera pas suivi du traditionnel chocolat chaud à cause de la crise sanitaire
Vendredi 25 Décembre
A 10H à Saint François, à 19H30 chez les Bénédictines et à 11H15 à Saint Remy : Messe de Noël
SOLIDARITE : Cette période de Noël est marqué par la solidarité : Les 10 tonnes de produits de première nécessité récoltées dans certaines villes dont Vanves, viennent d’être acheminés par GPSO à Beyrouth où ils été distribués à des familles sinistrés de cette explosion survenu ans le port en Août dernier.Un cédre du Liban a été planté la semaine dernière dans le parc F.Pic. Les seniors vanvéens ont retirés leurs ballotins de chocolats distribués par le CCAS dans trois salles municipales ( La Palestre, le Square et la salle Latapie) la semaine dernière. Mais il n’y aura pas cette année de banquet pour le nouvel an à cause bien sûr de la crise sanitaire. La Croix Rouge (sur la photo) a organisé 3 collectes pour confectionner des boites de solidarité de Noël pour être distribués aux plus démunis des villes de Vanves et de Malakoff durant cette période de fêtes.
BUDGET 2021 : Cette semaine a été marqué par le vote du buget 2021 de la Région ile de France au bout de 3 jours de débat. Ce budget de 5 milliards d’euros présente une hausse des investissements à 2,6 milliards d'euros (+17%), tandis que les dépenses de fonctionnement s'établissent à 1,9 milliard. Un budget considéré comme «offensif» et «inédit», selon sa présidente Valérie Pécresse : «Ce budget est rendu possible parce que nous avons les reins solides et que depuis 2016, nous avons su dégager des marges de manœuvre financières par une gestion exemplaire» a-t-elle affirmé en annonçant un milliard d'euros pour la santé, par exemple pour «créer 500 lits de réanimation modulaires et former 3000 soignants.
SOUTIEN AUX RESTAURANTS : Par ailleurs, la région a voté une aide aux loyers de 1000 € aux commerces, bars et restaurants confrontés à une fermeture administrative pendant le deuxième confinement. «Déjà affectés par les premières mesures de mars et d'octobre, les petits commerces, les services de proximités, les bars et les restaurants sont dans une situation préoccupante, accentuée par le second confinement et la chute brutale de leur chiffre d'affaires. De plus, les commerçants et artisans, souvent travailleurs non-salariés, ne bénéficient pas du dispositif d'activité partielle et le paiement des loyers reste notamment une charge importante (entre 6% et 12% du chiffre d'affaires des restaurants et des commerces franciliens). Le dispositif proposé vise donc les commerces de détail et de services (coiffure, soins de beauté...), les entreprises de la restauration (bars-restaurants hors restauration rapide) et l'artisanat commercial qui ont dû fermer le 30 octobre dernier, alors même que leurs charges restaient dues» indique-t-on à la Région
Le marché de Vanves était en fête à quelques jours de Noël. Du fait de la crise sanitaire et des gestes barrières, la file d’attente s’allonge durant la matinée, ayant remontée certains samedis matin jusqu’au carrefour de l’insurrection le long du square. Certains préférent arriver très tôt, dés l’ouverture à 8H justement pour éviter d’attendre, ou passer presqu’à la fermeture, mais on a moins de choix. On voyait bien que nos 42 commerçants proposaient des produits que l’on ne trouve qu’à cette époque de l’année, avec un nouveau venu : Un chocolatier-confiseur avec Nicolas Levert.
Il était le centre d’attention des élus au dernier conseil municipal du 10Décembrelorsque fut présenté le rapport annnuel d’exploitation d’EGS pour 2019, son concessionnaire. On apprend ainsi que l’installation d’un commerce d’huîtres a été refusé, ce qui est dommage en période de fêtes, peut être pour ne pas concurrencer les poisonniers du marché, ou un autre volant hors marché du côté de la place du VAL. Que le nombre très faible de commerçants volants a été soulevé lors d’une commission du marché, où l’explication donnée est inimaginable : les conditions météo. Peut être sont elles différents à Malakoff où la place de la Mairie est remplie de ses commerçants volants tant en hiver qu’en été, qu'il vente, qu'il neige ou qu'il très chaud, comme le constatent beaucoup de vanvéens. Ensuite que la redevance d’exploitation était 28826,57 € en 2019, que le droit par métre linéaire est de 2,59 € à l’intérieur et de 1,89 € à l’extérieur auxquels s’ajoutent ses frais d’animations (chéres) de 3,76 € à l’intérieur et de 2,15 € à l’extérieur. Enfin, qu’un site faceboook a été ouvert – «C/MON Marché» - et qu’un probléme était récurrent : les bâches extérieures… Sans parler de l’éclairage au fond, vers la buvette qui a disparue du fait d’un harcélement administratif qui aurait été fort bien menée. Ce qui est un grand pas dans l’animation d’un marché bien tristounet
Séverine Edou (LREM) a constaté que le résultat d’exploitation est bien faible (28826,57 €), que le marché est tristounet par rapport à ceux d’Issy les Moulineaux et de Malajoff. «Son équilibre financier est difficile à assurer. Les marges sont faibles pour le concessionnaire qui n’a pas été gâté ces dernirs mois comme ces collègues» lui a répondu le maire en ajoutant : «Pourtant il fonctionne bien. J’ai hérité d’un marché qui avait brûlé !» a-t-il rappelé en lui faisant remarquer «qu’il est couvert, qu’il est attractif, représentant un certain confort. Il est important qu’il soit modernisé. On réfléchit à son évolution !». Le problème est que cela fera 20 ans en 2021 que la ville réfléchit à son évolution, sans avoir trouvé de solution satisfaisante. Quant aux marchés annexes rue Jean Jaurés et place de la République, c’est l’échec absolu, vu que les commerces dans ses deux sites, sont pour la plupart femé, et notamment les cafés-bars-restaurants qui attirent les clients