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ville de vanves - Page 86

  • VANVES ACCUEILLE L’EXPOSITION SUR 100 ANS D’HERITAGE OLYMPIQUE

    Vanves fait partie des 97 communes de la métropole du grand Paris qui accueille dans un format plus réduit, l’exposition photographique  «Empreintes 1924-2024 Cent ans d’héritage olympique »,conçue en partenariat avec le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF), déployée sous un grand format dans les jardins des Tuileries grâce à un partenariat avec l’établissement public du musée du Louvre, lieu central et emblématique qui a été le témoin des épreuves d’escrime des Jeux de Paris 1924. A Vanves, les vancéens peuvent découvrir, depuis lasemaine drnière, ses panneaux sur les grilles du square de la mairie avenue A.Frataccci jusqu’au 17 Juin, puis sur celle du parc Frédéric Pic rue Larmeroux entre la Piscine Roger Aveneau et le Gymnase André Roche jusqu’au 22 Juillet, au PMS A.Roche jusu’au 6 Septembre

    A vocation pédagogique, elle met en avant l’empreinte des Jeux de Paris 1924 sur le territoire métropolitain sur des thèmes aussi divers que l’urbanisme, les pratiques sportives, les célébrations, l’égalité femmes-hommes, etc. Élaborée sur la base de plus de 2500 photographies inédites datant de 1924 issues des archives du CNOSF et complétées d’un apport historique et culturel du Musée National du Sport de Nice. Cette exposition entre dans le cadre de la participation de la MGP à l’Olympiade Culturelle

    Une autre exposition, labellisé Olympiade Culturelle, «  Au stade ! Une histoire du sport des Hauts de Seine » aux Archives Départementales, raconte l’histoire du sport sur le territoire des Hauts-de-Seine, de la fin du XIXe siècle jusqu’aux pratiques actuelles ,de ses balbutiements à la préparation des Jeux olympiques de 2024, en passant par ceux de 1924. L’Ouest parisien est ainsi concerné par la naissance du mouvement sportif à la fin du XIXe siècle, puis par les grands événements de masse - Tour de France, Jeux olympiques, Coupe du Monde de football, sans oublier les acteurs que constituent les clubs et associations du Département – avec de grands espaces comme le parc de Saint-Cloud ou la Seine, qui s’avèrent alors particulièrement adaptés à la pratique sportive.

    L’exposition revient sur les Jeux de 1924, en présentant les principales compétitions qui les ont marqués. Elle met en lumière l’importance du stade de Colombes (aujourd’hui stade départemental Yves-du-Manoir), qui constitue la principale enceinte nationale jusqu’à l’agrandissement du Parc des Princes, en 1972. Elle vise à faire comprendre l’importance de ce stade qui accueille des compétitions de haut niveau en football – en particulier la finale de la Coupe du monde de football de 1938 –, rugby, athlétisme, et hockey sur gazon. Enfin, elle présente la démocratisation de la pratique sportive et l’histoire des clubs de haut niveau présents sur le territoire et soutenus par le Département.

  • LA 71éme SECTION DE L’UNC VANVES A 100 ANS CES JOURS-CI

    Voilà 100 ans, la première réunion constitutive de la 71éme section de l’UNC de Vanves se tenait le 24 mai 1924 Mai. Cette réunion présidée par Jean Drugeon, un grand brûlé de la face, et un prêtre, le révérend père Croizier de l’action Populaire de Vanves s’était tenue à la mairie de Vanves, suivie par une seconde le 30 mai où ils avaient indiqué que  « Les combattants ont des droits, mais ils ont aussi des devoirs à remplir et non content de resserrer les liens d’amitiés qui les unissaient au front, ils doivent se soutenir moralement et financièrement, aider les mutilés, les veuves et les orphelins. Tel est le but de la section de Vanves ».

    Ces deux réunions ont été suivies  par une assemblée générale de l’UNC Vanves-Malakoff-Clamart le 5 Juin 1924 en présence des maires de ces 3 communes à la salle de Justice de Paix : « Notre but est non seulement de resserrer les liens d’amitiés qui nous unissent au front, mais de sauvegarder aussi les intérêts de toutes les victimes de la guerre et en dehors de toute discussion politique ou religieuse ». Le bureau était composé de Frédéric Pic, maire de Vanves, Président d’honneur, Jean Drugeon président qui laissa très rapidement la place à Marius le Comte qui apparaît comme le 1er président de l’UNC Vanves, et qu’il remplaça en 1925, avec Charles Pierre vice président, Julien Caroujat trésorier, Pierre Guisse trésorier adjoint, MM Demouille et Lamiraud, respectivement secrétaire et secrétaire adljoint.

    Le 12 octobre 1924, cette section était reconnue par le Conseil National au titre du département de la Seine-Groupe et de la Seine. C’est cette date du 12 Octobre en 2024 que Paul Guillaud, président actuel de cete section de l’UNC a retenu pour célébrer ce centenaire.   Le 30 Mars 1926, la section Vanves-Malakoff de l’UNC se divisait en deux avec la création d’une section propre à Malakoff.

    A l’époque de sa création, cette section qui comptait prés de 150 membres, était très active : Elle tenait une permanence tous les dimanches matin à la salle de Justice de Paix et une réunion mensuelle, la première ayant eu lieu le 3 Juillet 1924, avec des conférences, notamment d’un délégué du groupe de la Région parisienne sur la société mutuelle de retraites de l’UNC ce jour là, et la décision de se doter d’un drapeau en faisant appel à la générosité des vanvéens dont la remise officielle s’est déroulée le 25 Octobre 1924.

    Une année marquée aussi par l’inauguration du monument aux morts de Vanves le 11 Novembre 1924 : « Un monument commémoratif d’une simplicité émouvante, choisi d’ailleurs par des représentants qualifiés, des victimes de la guerre, et dû à un architecte de talent qui fut notre concitoyen, Robert Lebout, ancien combattant dont le frère est tombé au champ d’honneur » indiquait Frédéric Pic, à l’époque en annonçant que le Conseil Municipal avait décidé « qu’une concession à perpétuité et un entourage seraient accordé aux corps ramené du front ».

    Cette année fondatrice s’est terminée par la première participation de la section de Vanves au ravivage de la flamme sur la tombe du soldat inconnu le 28 Novembre 1924. Frédéric Pic, le maire de Vanves était présent et avait rappelé dans une courte allocution le but de cette pieuse et simple manifestation, évoquant « le souvenir constant que nous avons garder de ceux qui donnèrent sans compter leur sang pour la France »

  • LA REQUALIFICATION DE LA RUE LOUIS VICAT A VANVES ET A PARIS EN BONNE VOIE

    La convention entre la Ville de Paris et GPSO concernant le réaménagement puis l’entretien de la rue Louis Vicat devrait être voté par les 163 conseillers de Paris cettesemaine. Le conseil du Territoire de GPSO l’avait entériné le 3 Avril 2024   Ce projet entre dans le cadre dans le cadre de la convention de coopération entre la Ville de Paris et la Ville de Vanves, signée le 8 février 2024, où il est prévu que la requalification de la rue Louis Vicat soit étudiée par les deux collectivités. Pour ce faire, il est envisagé de transfére la maîtrise d’ouvrage de l’opération, en conception et en travaux, à l’EPT GPSO, compétent en matière d’espace public à Vanves, sous couvert d’une convention de transfert de maîtrise d’ouvrage et moyennant financement.

    La ville de Paris faisait le même constat que la ville de Vanves concernant cette voie, à moitié sur les deux communes, qui relie la Porte de la Plaine et la Porte Brancion, située au Sud du boulevard périphérique. «Le côté Sud de la voie forme la limite du territoire de Vanves, à la hauteur de la rangée d’arbres. Elle présente une riveraineté exclusivement vanvéenne, et un très fort intérêt local pour la commune. Son état actuel ne participe pas à créer une vie urbaine. Le stationnement sur voirie y est omniprésent et peu valorisant, avec des espaces de desserte assez morcelés et peu cohérents. Il est constaté des difficultés d’entretien des talus et de la chaussée vétuste, outre un état de propreté là aussi difficile à maintenir de manière satisfaisante, et globalement des fonctionnalités qui ne sont plus en accord avec l’usage des espaces publics côté Vanves (surcharge du stationnement, espaces piétons trop faibles, absence de voies cyclables identifiées, manque de strates végétales)».

    Cette requalification fait sens dans un territoire en mutation qui porte de nombreux projets de part et d’autre du boulevard périphérique : Projet 360 de restructuration des anciens locaux d’Orange par Mata Capital, Requalification des rues Auguste Comte et de la contre-allée Louis Vicat par GPSO, construction d’une résidence étudiante et d’un foyer pour jeunes travailleurs  par Woodeum porte Brançion, avec un projet de réaménagement et de végétalisation de carrefour commun à la Ville et GPSO pour permettre un rééquilibrage des espaces en faveur des mobilités actives, avec des aménagements provisoires d’abord (avant 2026), puis définitifs (après 2026), une fois le 3 ème immeuble de Woodeum livré, en face du Foyer de Jeunes Travailleurs. «Le projet de rénovation porte sur une restructuration qualitative, notamment végétalisée, de l’espace public. L’enjeu de ce projet est de recré r des continuités piétonnes, cyclables mais aussi végétales, entre Paris et Vanves, d’aménager des traversées piétonnes sécurisées ainsi que des pistes cyclables permettant de relier Vanves à Paris en sécurité et d’accroitre la végétalisation en aménagement les trottoirs du côté de la résidence étudiante et de la voie SNCF» indique la ville de Paris en ajoutant : «L’ensemble de ces projets est emblématique d’une vision intercommunale et métropolitaine de l’aménagement de ce secteur, avec la volonté d’une part, de transformer les espaces déqualifiés, et d’autre part, de restaurer une continuité urbaine de qualité, de diminuer les nuisances liées à la présence du boulevard périphérique et d’améliorer significativement le confort et la sécurité des piétons et des vélos».

    Le programme de requalification de la rue Louis Vicat sur lequel Paris et GPSO se sont accordés pour le lancement d’études repose prévoit :

    -Un recalibrage de la chaussé  en intégrant un aménagement cyclable dans les deux sens ;

    -La création d’un ou deux passages piétons entre la rive du boulevard périphérique et celle côté façades ;

    -L’insertion d’une ligne d’arbres manquante à grand développement sur le tronçon entre la Porte de Brancion et le skateparc ;

    - La végétalisation en strate basse au pied des arbres pour participer à améliorer l’infiltration (zonage pluviale) tout en respectant les possibilités que permet la qualité des sols ;

     - Un éclairage public (sources, mobiliers, câblage) à moderniser en totalité jusqu’à l’armoire aux normes actuelles parisiennes ;

    -Une réfection globale des revêtements de voirie en accord avec les standards traditionnels parisiens ;

    -La remise en état ou remplacement des garde- corps métalliques côté boulevard périphérique, avec la mise en conformité aux normes en vigueur de celui en pierre ainsi qu’une rénovation esthétique ;

    -La réduction du nombre de places de stationnement, avec conservation du stationnement uniquement d’un seul côté.

    «Afin de finaliser le programme et de stabiliser le coût des travaux de requalification de la rue Louis Vicat, il est nécessaire de mener diverses investigations, études et diagnostics complémentaires» indique la ville de Paris qui précise que le coût prévisionnel de ce chantier se monte à 330 000 € et qu’il fera l’objet de demandes de subventions notamment à la Métropole du Grand Paris, à la Région… .