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ville de vanves - Page 635

  • DANS LE CREUX DE L’OREILLE DE VANVES

    PROVENDIER DE SUPLEANTE A DEPUTEE

    Suite à l’entrée au gouvernement de Gabriel Attal, nommé secrétaire d’Etat auprès de Jean-Michel Blanquer, chargé de la Jeunesse, sa suppléante Florence Provendier (sur la photo avec lui dans un bureau de vote de Vanves) deviendra officiellement la nouvelle députée de la 10e circonscription des  Hauts-de-Seine (Vanves-Issy) le 17 novembre prochain. Depuis juillet, elle est directrice de la communication et du marketing de l’ESSEC Business School. Diplômée de la prestigieuse école de commerce en 1998, elle avait travaillé en entreprise et en ONG, notamment pour l’association «Une Enfant par la main», qui permet de parrainer des enfants démunis et de réaliser des projets dans leurs communautés, en Afrique, Asie et Amérique Latine. C’est une isséenne depuis 1991, malgré un petit séjour du côté du Trapéze à Boulogne, mais toujours sur le territoire de la 10e, qui est une adepte de la marche, ayant sillonné de nombreux sentiers mythiques, de la Cordillère des Andes aux Anapurna, du tour ddu Mont Blanc au GR 20,34… et bien sûr le chemin de Saint Jacques de Compostelle. De là à devenir une marcheuse, iln’y avait qu’un pas, qu’elle a franchie en 2016, en ayant croisé leur dynamique. «L’impulsion de renouveau incarnée par le Président de la République et l’envie de contribuer à la démarche progressiste amercée ainsi que la personnalité de Gabriel Attal, m’ont incitée à devenir sa suppléante en Juin  2017 » explique t-elle

    CENTRE ANCIEN CONGESTIONNE

    La circulation devient infernale dans le Centre Ancien. car non seulement l’expérimentation de l’inversion de la rue Pruvot continue, mais en plus, des travaux du syndicat des Eaux d’(Ile de France (SEDIF) dans les rues Valentine Jacquet, Vieille Forge et place du Président Kennedy ont commencé voilà quinze jours, le site Internet de la mairie ayant indiqué qu’elles pourraient être bloqué à certains moments. C'est-à-dire que pour relier le Clos Montholon ou les Hauts de Vanves et le Centre Ancien, il faudra passer par Issy les Moulineaux ou Malakoff. Heureusement le mondial de l’auto est terminé, mais bonjour la pollution et les embouteillages. D’ailleurs beaucoup d’habitants et riverains de ses rues se sont aperçus d’une augmentation de la circulation aux heures de pointe dans ces quartiers jusqu’à présent tranquille. Et cela pour quelques habitants de la rue Pruvottrès influents

    RECORD DE VENTE FONCIERE AUTOUR DE LA GARE DU GPE

    L’ORF (Observatoire régional du Foncier) s’est penché sur le marché foncier autour des gares du Grand Paros Express qui ont suscité 1364 transactions dans les 800 m autour de celles-ci représentant un volume global de 1,9 milliard d’euros. Il a constaté que les volumes financiers en jeu les plus élevés, se situent, en autre, sur la commune d’Issy les Moulineaux, autour du Fort d’Issy-Vanves-Clamart de la ligne 15 sud du GPE. Ce secteur affiche un volume financier global de 211 M€ pour 63 ventes portant sur un total de 13,3 ha

  • LE DEPUTE DE VANVES, PLUS JEUNE MINISTRE DE LA Ve REPUBLIQUE

    Gabriel Attal est le plus jeune ministre de la Véme République à 29 an et demi  battant en cela François Baroin, détenant du titre, qui avait été nommé à 29 ans et 9 mois.

    Des bruits avaient couru ses derniers jours et surtout ce week-end sur une possible nomination à un secrétariat d’Etat chargé de la culture, puis de la mise en place du nouveau service national universel (SNU), ce qui est le cas, puisqu’il est secrétaire d’Etat chargé de la Jeunesse avec dans son escarcelle la mise en place du SNU, les associations, les colonies de vacances, le périscolaire…. «Les renforts correspondent à des sujets annoncés et portés par le président de la République, comme le SNU » explique t-on dans l’entourage du chef de l’Etat.  De plus, il rejoint Jean-Michel Blanquer qui est considéré comme le premier de la classe en Macronie, qu’il connait bien. « On ne sera pas trop de deux pour mettre en œuvre le SNU » a déclaré le ministre en l’accueillant au ministére de la rue de Grenelle mardi (sur la photo). « C’est la grande réforme de société du quinquennat» lui a-t-il répondu

    Cet ancien socialiste fait figure d’étoile montante de la Macronie depuis le début du quinquennat comme l’observent beaucoup de spécialistes qui expliquent sa nomination par «la volonté de l’exécutif de disposer de membres du gouvernement capable de défendre son action dans les médias, alors que de nombreux ministres issus de la société civile, sont accusés depuis le début du quinquennat d’être effacés» en citant un membre de l’entourage de Macron à l’Elysée :  «Il a un profil généralise qui va renforcer notre capacité d’expression. Ce sera un porte-parole supplémentaire». Il est vrai «qu’il a très vite crevé l’écran, comme porte parole du mouvement LREM, en défendant l’action d’Emmanuel Macron avec un aplomb et une facilité déconcertants pour son jeune âge, n’hésitant pas à monter au créneau sur les chaînes d’informations pour plaider sa cause lorsque le chef de l’Etat se retrouve au cœur d’une polémique».

    Il est vrai qu’il dispose, à l’Elysée, d’un accès privilégié, grâce à ses relations avec la garde très rapprochée de Macron.  D’ailleurs, ce serait, le 13 octobre, lors du mariage d'Ismaël Emelien, où toute la garde rapprochée d’Emmanuel Macron s’est retrouvée, que le secrétaire général de l'Élysée Alexis Kohler lui a annoncé  qu'il serait nommé au gouvernement selon le site Express.fr. Il était du voyage en Arménie dans la délégation présidentielle, pour la première fois, comme membre du groupe d’amitié France Arménie présidé par Jacques Marilossian député des Hauts de Seine. Ce qui a fait jaser ses détracteurs qui expliquaient «qu’il en a profité pour rappeler qu’il était disponible ! ».

    Il fait partie de cette fameuse «bande de Poitiers» qui se retrouve chaque été pendant les vacances, avec les élus LREM, Matthieu Orphelin, Guillaume Chiche, Aurélien Taché, Marie Lebec, le conseiller politique politique de Macron, Stéphane Séjourné. Lors du précédent quinquennat, Gabriel Attal avait passé cinq ans au cabinet de la ministre de la santé, Marisol Touraine, avec l’actuel porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. «Alors que ce dernier s’occupait de préparer les discours de la ministre, le jeune Attal, lui, était chargé des relations avec le Parlement ».

    Enfin, député, il était au poste-clé de «whip» (député coordinateur) de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, et il a été rapporteur du texte sur la réforme de l’accès à l’université et a travaillé à la réforme de l’audiovisuel public au sein d’un groupe de travail. Il se faisait alors consensuel :  «Moi, j’ai toujours considéré qu’on pouvait travailler avec des centristes, des gens de droite et je ne crois pas au clivage» expliquait-il il y a quelques mois. Intéressant dans l’optique des municipales de 2020 dans sa ville de Vanves, où il est conseiller municipal,   dirigée par un maire centriste. Maintenant, secrétaire d’Eat, il veut être bon « car c’est une marque de confiance du Président et du Premier Ministre de me nommer au gouvernement ».

  • LECON D’HISTOIRE DE JEAN CLAUDE HAZERA SUR LA MONTEE DU NATIONALISME, CE SOIR A VANVES

    Jean-Claude Hazera (journaliste et historien) est l’invité ce soir, à 19H30, à l’école Max Fourestier, de la section vanvéenne de LREM à l’occasion de la sortie de son dernier livre « Comment meurent les démocraties » (Editions Odile Jacob). Son livre tombe à point nommé, car il est une relecture de l’entre-deux-guerres et plus précisément de l’arrivée au pouvoir de Mussolini (1922) en Italie, Hitler (1934) en Allemagne, Franco (1939) en Espagne et Pétain (1940) en France, guidée par une question simple : peut-on tirer des leçons de cette histoire pour qu’elle ne se répète pas aujourd’hui ? Il propose également une analyse du contre exemple le plus évident : pourquoi l’Amérique de Roosevelt, aussi atteinte par la grande crise que l’Allemagne, n’a-t-elle pas sombré dans le fascisme elle aussi ?

    Jean-Claude azera qui habite le Centre Ancien, est un journaliste économique qui a notamment été rédacteur en chef aux Echos, et a participé au lancement de l’édition week-end des Echos. Il est devenu historien sur le tart, à la retraite lorsqu’il a publié avec Renaud de Rochebrune un grand livre de référence sur "Les patrons sous l’occupation". «Ce livre est d’une autre nature. C’est un essai de la part d‘un journaliste-historien qui s’est remis à lire des livres historiques, des mémoires, des romans sur cette période de l’entre-deux guerres, avec cette montée du nationalisme. Je suis parti de cette idée que l’on a aujourd’hui, de dire que l’on est en train de revivre cette montée du nationalisme avec ce que l’on assiste à l’Est de l’Europe, l’Italie, Les USA de Trump, le Brésil, et d’étudier cette période de l'entre-deux-guerres, de la raconter alors qu’elle reste floue pour la plupart. Je me suis concentré sur ces pays (France, Allemagne, Italie, Espagne) et sur deux exemples : Le fameux traité de Versailles d’où sont venus tous ces malheurs, et l’Amérique de Roosevelt qui, contrairement aux autres, n’est tombée dans le nationalisme, malgré la crise économique de 1929 » indique t-il avec cette question en conclusion : «En regardant l’histoire, est-ce que aide à lire le présent et à tirer quelque chose d’utile pour l’avenir ? La situation est telle que, ne pas le faire, aurait été ne pas aller jusqu’au bout de mon travail, en espérant que cela pourra être utile pour les citoyens d’aujourd’hui"