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ville de vanves - Page 421

  • 3 PROJETS PRESENTES PAR VANVES PARMI LES 480 SOUMIS AU VOTE DU BUDGET PARTICIPATIF DE LA REGION ILE DE FRANCE

    Les vanvéens comme les franciliens ont jusqu’au 2 octobre pour voter sur  les 480 projets du premier budget participatif de la région Ile de France lancé le 17 Septembre dernier lors de la COP régionale, dont trois ont été présenté par la ville de Vanves : Favoriser les mobilités douce grâce à 88 panneaux qui apporteront de la lisibilité aux itinéraires cyclables en place, et 3 bornes de réparations à disposition du public, mais pas encore une véritable piste cyclable municipale ; végétaliser les allées du petit cimetière en cours (sur la photo), après celle du grand cimetiére durant l’été 2019, avec replantation d’arbres à grand développement, engazonnement des allées principales, et réalisation d’un revêtement ;  développer l’agriculture urbaine  par la création de jardins partagés comme c’est le cas devant le tribunal d’instance par exemple : La ville accompagne ainsi l’association Grainenville «à développer le volet création et entretien des jardins partagés sur des espaces communaux et à assurer l'installation et le suivi de lieux de compostage sur le territoire communal» en ayant d'ores et déjà provisionné une enveloppe de 25 000 € pour la réalisation de travaux d’aménagement (aplanissement, viabilisation etc.…) et d’accessibilité des sites envisagés, l'achat de matériel de jardinage, la location d’un espace au sein de la nouvelle ferme urbaine située sur le site du Parc des expositions de la porte Versailles, sur le toit du hall 8

    «Les Franciliens vont pouvoir élire leurs projets coup de cœur» selon V.Pécresse, présidente de la Région Ile de France qui insistait sur l’objectif  : «Permettre une hyper décentralisation des projets environnementaux :  L’idée est de s’appuyer sur la créativité et l’énergie des territoires pour amplifier notre effort». Ainsi, de la Fin Juin à la mi-Août,  les Franciliens avaient été invités à proposer des projets écologiques :  638 projets ont été déposés, 480 retenus dont 107 grands projets, après un examen de recevabilité selon différents critères -  notamment l’avis favorable du conseil municipal de la commune concernée – sur cinq grands thémes : Alimentation, biodiversité, espaces verts  qui est en tête du nombre de projets (41%) ; Vélo et mobilités propres (20%)  avec beaucoup de projets autour du développement du vélo (pistes et parkings) ; propreté, prévention et gestion des déchets, économie circulaire (23%) ; Energies renouvelables et efficacité énergétique (11%) ; santé environnementale (6%). 

    3/4 proviennent de grande couronne, 1/3 de petite couronne, 47% de collectivités locales, 39% d’associations, 10% des entreprises.  La région promet une enveloppe de 500 M€ d’ici à 2024, dont 100 millions pour cette première session. Une seconde session du budget participatif est d’ores et déjà prévue dans la foulée, en novembre. V.Pécresse n’a pas caché que sa préférence va,  à ce projet de Mille-moisons : Planer un atbre à chaque mariage ou Pacs, afin d’aménager une allée des mariages.

    Ainsi il est proposé une tour à hirondelle à Noisy Ecole, l’implantation de 3 parcelles expérimentales d’agroforesterie en Seine et Marne  Fresnes-sur-Marne, Chelles et Metz-sur-Seine, l’installation de 562m2 de panneaux solaire au refuge de la SPA à Gennevilliers pour une production annuelle de 87 MWh/an  d’énergie verte etc…

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  • OVID-19 : VANVES AVEC L’ILE DE FRANCE EN ALERTE RENFORCEE

    Valérie Pécresse, en ouvrant hier matin, la session de deux jours du Conseil Régional auquel assistait le conseiller régional-maire de Vanves, a dit quelques mots sur le classement de la région Ile de France en «alerte renforcée, en appelant les jeunes à faire preuve de solidarité avec les ainés dans cette période». Elle implique  l'interdiction de vente d'alcool à partir de 20h,  de tout rassemblement au-delà de dix personnes, ainsi que la baisse de la jauge maximale autorisée pour les grands rassemblements de 5000 à 1000 personnes, ce qui devrait concerner le tournoi de Roland Garros qui débute ce week-end,  de la location de salle pour des fêtes, y compris pour des mariages, de la fermetures des salles de sports, des gymnases,  de l’annulation de toute inauguration, ou manifestation locale comme se devrait être pour le cas pour coktail des présidents qui suit le forum des associations, l’inauguration de la librairie « Le cheval vapeur » sur le Plateau qui vient d’ouvrir mardi dernier, peut être, un plus loin dans le temps de la Coupe de l'Amitié du CIV,  du village des Terroirs et de la kermesse de Saint Remy etc….à moins que la situation s'améliore, mais l'ensemble de ces manifestions localres qui se déroulent durant l'automne ont du plomb dans l'aîle..

    Aucune mesure n’a été en revanche envisagée pour les Ehpad de la région parisienne, les transports, ni de fermetures pour les bars/restaurants comme à Marseille,  mais ils devront fermer à 22h. D’ailleurs valérie Pécresse  a regretté comme beaucoup d’élus, le manque de concertation avec les collectivités locales» en déplorant n'avoir pas été associée à la décision la plus douloureuse pour notre tissu économique qui est la fermeture des bars à partir de 22 heures, alors que l’Etat met en avant le couple Maire-préfet.  «Or l’échelon régional a montré tout sa pertinence. Il a été beaucoup plus agile que l’Etat , en matière de masques,  de soutien aux entreprises avec son plan de relance inédit . Et on le voit aujourd’hui avec les tests : 8000 ont été réalisés dans 40 communes, 3000 dans les territoires ruraux francilien. Et la Commission permanente vient de voter 20 000€ pour aider les communes à mettre en place des tests » expliquait-elle hier.

    Avant le conseil de Défense de mercredi, une réunion s'était tenue lundi entre l'ARS d'Ile-de-France, la mairie et la Préfecture de police de Paris où leurs responsables avaient envisagé les mesures annoncées par Olivier Véran ministre de la Santé mercredi soir suscitant de multiples réactions : La mairie de Paris a mis en garde contre des mesures trop contraignantes qui handicaperaient la vie économique et sociale.  «Nous, nous appelons à la vigilance : nous allons vivre longtemps avec ce virus, il faut faire quelque chose de vivable. L'objectif c'est de se protéger mais il faut laisser une vie sociale se faire» ajoutait Anne Souyris, adjointe de la maire de Paris chargée de la Santé. D'autant que dans des villes comme Vanves, leurs habitants respectent les consignes données, port du masques, respect des régles de distanciation, des consignes données par les autorités municipales ou publiques, aucun incident notoire n’ayant été relavé, ou de rassemblement comme on l’a vu à Paris sur les bords du Canal Saint Martin, même si quelques jeunes font moins attention lors des soirées « tampas » organisée au pavillon de la Tourelle  

    Mais les maires sont furieux «Cette méthode autoritaire, solitaire et non concertée porte en elle un risque d’ajouter à la crise sanitaire une crise de confiance…Alors que le gouvernement a mis en avant depuis plusieurs mois l’importance du bon fonctionnement du binôme Préfet-Maire, le ministère de la Santé choisit de mettre les maires devant le fait accompli. Les maires ne sont pas des supplétifs que l’on siffle ou que l’on sonne pour qu’ils entérinent en silence des décisions dont la pertinence mérite au moins d’être questionnée au préalable. Le gouvernement a besoin de rassembler autour de lui pour traverser cette crise qui est certes d’abord sanitaire, mais aussi économique et sociale. La méthode choisie hier est mauvaise» réagissait l’association des maires de France

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    UN DES DERNIERS ENDROITS BUCOLIQUES VANVEENS MENACE

    Les promoteurs-constructeurs qui grenouillent à Vanves, auraient jeté leur dévolu sur l’un des derniers endroits bucoliques de Vanves : le 31 de la rue d’Issy (sur la photo), ce petit passage bucolique, verdoyant et mal pavé à droite du garage, et face au restaurant asiatique, qui méne à un immeuble d’habitations, et quelques pavillons, et jouxte les murs du parc Jean Paul II à Issy les Moulineaux. C’était là qu’habitait un certain  Georges Munier qui dans « Paroles Vanvéennes » recueil collectif de témoignages de vanvéens sur le passé de la ville  réalisé par Pierre Meigne en 2004 et édité par un éditeur vanvéens, les éditions du bout de de la rue, rappelait qu’il y avait là côté, à l’angle de la rue d’Issy ety du Chevalier de la Barre la dernière ferme de la région qui était toujour sen activité dans les années 60 : la ferme Picherit où il installa son garage, encore actuellement en place qui devrait être concerné par cette nouvelle  opération immobilière. Heureusement, le nouvel archecte des bâtiments de France compétent dans le secteur de Vanves veille, surtout pour des sites comme celui-ci proche de monuments historiques, ce qui est le cas avec le parc du séminaire Saint Sulpice. Il aurait retoqué un projet immobilier prévu rue Raphaël, peut être parce qu’il est trop proche du lycée Michelet, qui est un monument historique  

     

    VANVES UNE VILLE COSSUE !

    C’est ce qui ressort d’une étude de l’APUR (Atelier Parisien d’Irbanisme) sur «l’évolution des revenus dans la métropole du Grand Paris» qui montre que Paris et sa métropole constituent une zone riche, où le revenu médian est supérieur de 12% à celui de l’ensemble des Français. Malheureusement ces revenus se révélent inégalement répartis dans ses 131 communes, les pauvres y sont pauvres qu’ailleurs (avec un revenu inférieur à 18% par rapport aux autre), les riches y sont beaucoup plus riches (avec un revenu supérieur de 40%). Et l’APUR constate que cette situation s’aggrave malgré tous les efforts faits, les milliards injectés : «Plus de 60% des quartiers montrent une accentuation des écarts de revenus », et notamment dans les beaux quartiers du centre et de l’ouest, de « communes cossues comme Issy les Moulineaux, Vanves, Puteaux, Boulogne, Sévres, Neuilly, Rueil, Antony, la Garenne Colombes… « Ces territoires de richesse se sont consolidés en attirant plus de cadres » relate l’APUR qui note que ce phénoméne est directement lié au coût du logement. «L’enchérisement des prix de l’immobilier et des loyers exclut progressivement les catégories modestes du parc locatif privé ou en propriété » indique l’étude. A Vanves, le prix du m2 atteint les 8500 € si ce n’est les 9000€ dans les nombreuses nouvelles constructions que n’arrête pas de développer la municipalité réélue

    DES RATES POUR LE MUR ANTI-BRUIT

    Le Parisien du 21 septembre dernier que les riverains de deux artéres proches de la voie SNCF Paris-Montparnasse ne pouvaient  bénéficier de cette isolation phonique du fait de contraintes techniques, et notamment ceux des Villa d’Arcueil entre René Coche et Diderot et Villa Eugéne Drouet entre Georges Clemenceau et Docteur Lafosse. Il ne serait pas techniquement possible de réaliser les deux pans de mur prévus devant chez eux, alors que quelques 220 trains circulent devant leurs fenêtres, chaque jour, Transilien (ligne N), TER Intercités et TGV Atlantique confondus. Une affaire qui dure depuis longtemps, avec des études d'avant-projet e 2013, de Projets en 2017, des travaux qui ont débuté voilà un an, retardé à cause du Covid-19 pour finalement  à ce constat fait par l’entreprise en charge des travaux : « Les études techniques finales de l'entreprise et des tests techniques ont montré que la configuration du site ne permettait plus de réaliser les fondations nécessaires », indique la SNCF, sans autre détail. Selon le Parisien, l’opérateur, dans un document remis à la municipalité, il est fait état côté Villa-Eugène-Drouet, que  le mur de soutènement déjà présent ne pourrait pas supporter une charge supplémentaire, et côté Villa-d'Arcueil, de la découverte de sols durs liée à l'exiguïté des lieux, qui rendrait impossible la manœuvre. Les riverains sont très mécontents :  «Il fallait attendre le début des travaux pour s'en rendre compte !. Je trouve qu'on se moque un peu du monde en découvrant cela que maintenant » réagissait l’un d’entre eux dans le Parisien, qui s’est vu proposer, comme ses voisins, du double vitrage et isolation des façades