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ville de vanves - Page 109

  • SECURITE A VANVES : « ET QU’EN EST IL DU COMMERCE PLACE DES PROVINCES ?"

    Le Plateau, a lancé à l’école Marceau, mardi soir, les réunions publiques de quartier de l’automne qui se dérouleront le 10 Octobre à Larmeroux pour les Hauts de Vanves et le 18 Octobre à l’hôtel de Ville pour le Centre-Ancien Saint Remy. Occasion pour la ville de présenter le projet de requalification de la rue Auguste Comte et de la partie vanvéenne de la rue Louis Vicat, avec bientôt l’expérimentation de la suppression du réseau cuivre remplacé par la fibre dans la ville, et un point sur la situation des commerces sur lesquels le Blog reviendra

    Mais alors que la réunion ronronnait quelques peu, notamment avec les paroles apaisantes de Christiane Vlavianos, maire ajointe au commerce, ne voilà t-il pas, vers 21H30,  qu’un adhérent  d’Agir Pour le Plateau lui a demandé ce qu’il en était du commerce place des Provinces. Alors que le maire assistait comme les vanvéens présents à cette réunion aux présentations des projets par les maires adjoints et d'autres intervenants, et aux échanges avec les participants, il s’est levé tout d’un coup pour prendre la parole : «Je vois bien à quoi vous faîtes allusion ! Cette question est importante ! Mais qu’on arrête de dire  «que fait la mairie ?» lorsque cela ne va pas. Le maire n’a qu’un pouvoir limité en la matière, et là, face aux troubles du voisinage. Cela ne veut pas dire que l’on ne fait rien ! » a insisté Bernard Gauducheau en rappelant qu’il y a eu des réunions, qu’on a installé des caméras de vidéoprotection,  des  bacs, des barrières… «La mairie fait ! Sauf qu’il y a des limites à son action ! » a-t-il  souligné en expliquant que le rôle du maire n’est pas d’être un policier, en rappelant que «nous avons un rôle de prévention et d’éducation », notamment en proposant aux jeunes de rejoindre les activités (organisées par l’ESCAL, le pôle Jeunesse) pour éviter qu’ils restent oisifs. « On est là pour signaler et faire intervenir… et à Vanves, ce qui  se passe, est moins compliqué qu’ailleurs !.. On reste vigilant ! S’il faut mettre  encore des moyens pour éviter les nuisances, on le fera . A  ces yeux, c’est une responsabilité collective, « car chacun d’entre nous à sa part à apporter ! »  a-t-il conclu en rappelant trois choses : Tout d’abord que si des villes ont une police municipale comme à Vanves, elle n’est pas là pour remplacer la police nationale. Ensuite qu’il est à l’origine de la construction du nouveau commissariat de police inauguré par Michéle Alliot Marie : « Prévu pour 120 fonctionnaires de police, il n’en accueille que 60 actuellement ». Enfin, cela ne devrait pas s’arranger, parce que la police dépend maintenant du préfet de police de Paris qui est compétent sur l’ensemble de la capitale et de la petite couronne. Et à l’entendre, il aurait tendance à privilégier Paris notamment avec les manifs, et bientôt les JO

  • VANVES APPELLE A LA VIGILANCE CONTRE LE MOUSTIQUE TIGRE

    « Depuis quelques années, la saison estivale et les périodes de fortes chaleurs sont marquées par la présence du moustique tigre dont la propagation doit être limitée afin de réduire les risques de maladies » indiquait la mairie de Vanves sur son site Internet voilà quelques jours en invitant à adopter les bons gestes. Des vanvéens durant l’été s’étaient alarmés de sa propagation dans notre commune comme dans la région   

    Pour limiter les risques de propagation de la dengue, l’agence régionale de Santé (ARS) avait autorisé 6 opérations de démoustication sur le territoire francilien,  au cours de l’été dont deux dans l’Essonne (Draveil, Verrières-le-Buisson), deux dans le Val-de-Marne (Saint Mandé, Maisons-Alfort),  une à Paris dans le 13e à Paris et  une autre dans les Hauts de Seine à Colombes.  Mais plusieurs communes franciliennes avaient appelé à l’aide comme Châtillon où la maire Nadége Azzaz avait envoyé un courrier à l’ARS et les habitants d’Antony qui avaient signé une pétition recueillant prés de 2000 signatures pour que la mairie fasse intervenir l’ARS.

    Il faut savoir que dans les cas les plus grave, l’Agence régionale de démoustication (ARD), opérateur privé spécialisé dans la détection et l’élimination de moustiques en Ile de France intervient avec un traitement à base d’insecticide qui vise les lieux de repos du moustique tigre (buissons, bosquets, feuillages etc.) dans un périmètre de 150 mètres de rayon du site localisé (sur la photo à Courbevoie). Elle ne vise pas à éliminer toute trace du moustique tigre mais à réduire le risque de propagation de la dengue, maladie infectieuse dont certaines complications peuvent être sévères. Des agents revêtus de combinaisons et de masques ont ainsi pulvérisé à pied et depuis un camion un insecticide homologué et qui présente l’intérêt de se dégrader rapidement, sur tous les espaces verts, buissons et arbres, dans les endroits où se reposent les moustiques. Les rues ont été interdites au trafic dans les villes où elles sont été réalisées. Ces opérations ont été précédée d’une information auprès des habitants (porte-à-porte et distribution de dépliants dans les boites aux lettres) des zones concernées qui ont été invités à rentrer leurs plantes d’extérieur, à bien fermer leurs fenêtres, à garder à l’intérieur leurs animaux domestiques.

    Ces opérations sont menées pour réduire le risque de transmission de la dengue suite à un cas avéré, donc sous la responsabilité de l’ARS qui n’intervient que dans ce type de situation. En effet, les ARS ne déclenchent les opérations de démoustication que lorsqu'un malade est identifié et que le moustique a été présent à proximité pendant sa période de virémie. Par ailleurs, les collectivités locales ont un rôle majeur à jouer dans la lutte contre les moustiques vecteurs de maladies, que ce soit par la sensibilisation des populations ou la mise en œuvre d’actions pour éliminer les gîtes de développement des moustiques.

    Depuis le 1er janvier 2020, l’ensemble des départements du territoire métropolitain est considéré comme à risque d’implantation et de développement du moustique tigre. Et il est présent et actif dans tous les départements franciliens. Les autorités surveillent l'implantation de ce moustique en raison de sa capacité de transmettre des maladies tropicales (Zika, dengue ou chikungunya) après avoir piqué des personnes malades. Les actions de lutte anti-vectorielle sont menées par l’Agence pour empêcher la survenue d’un cas autochtone, ce qui ne s’est jamais produit dans la région. D’ailleurs, une surveillance dite « renforcée » est mise en œuvre du 1er mai au 30 novembre correspondant à la période d’activité du moustique tigre.

  • SENATORIALES : LE MAIRE DE VANVES A UN SIEGE D’ETRE SENATEUR

    Les centristes ne s’en sortent pas trop mal dans les Hauts de Seine : la liste UDI conduite par Hervé Marseille gagne un siége supplémentaire par rapport à 2017 puisqu’il n’en avait qu’un, avec l’élection d’Isabelle Florennes, fille du doyen du sénat, Jean Marie Vanlerenberger (UDI), 84 ans, sénateur du Pasde Calais, compagnon de route de François Bayrou avec qui, il a créé le MODEM. Elle a récupéré le siége de Philippe Pemezec (LR), sortant malheureux, ex-maire du Plessis Robinson,  alors que les sortants LR Roger Karoutchi et Christine Lavarde sont reconduits. Bernard Gauducheau, troisiéme sur la liste UDI n’a pas été élu, mais d’ici 2029, il se pourrait bien qu’il accéde à un siége de la chambre haute s’il advenait que Hervé Marseille entre au gouvernement.  D’autant plus qu’au niveau national, le rééquilibrage est favorable au groupe de l'Union centriste qu’il préside qui espère «enrichir ses troupes et atteindre la soixantaine de membres», les Républicains qui ont perdu 5 siéges, lui reprochant de chercher de négocier davantage avec le gouvernement. Il se retrouve dans la position d’Isabelle Debré qui n’avait pu ête élue à cause des 4 listes LR dont une conduite par Philippe Pemezec qui n’a pas été réélu à cause des centristes et de la dissidente Marie-Do Aeschlimann qui a été élue sur une liste divers droite. Deux autres sortants sont reconduits : Pierre Ouzoulias PC) et Xavier Iacovolli (Renaissance)

    Les résultats des élections sénatoriales ont confirmé dimanche la stabilité de la Chambre haute, dominée par la droite et le centre, et les difficultés des macronistes, dans un scrutin marqué par le retour du Rassemblement national au Palais du Luxembourg, avec trois élus. «Ce renouvellement sénatorial conforte la majorité sénatoriale de la droite et du centre», s'est réjoui Gérard Larcher (LR), réélu à 74 ans pour un sixième mandat dans les Yvelines, avant une reconduction plus que probable à son poste de président du Sénat le 2 octobre. «Le Sénat continuera à être ce contre-pouvoir indispensable à la démocratie »  a-t-il ajouté.

    L’Ile de France a réservée quelques surprises :  Pari gagné dans la capitale où le rassemblement de la gauche (avec 54n,88%) envoie au palais du Luxembourg huit des douze sénateurs parisiens, pendant que la droite divisée obtient quatre sièges. L'ancien candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot fait ainsi son entrée au Sénat tout comme le communiste Ian Brossat, avec la socialiste Colombe Brossel et l’écologiste Anne Souyris, tous les trois maires adjointsd’Anne Hidalgo qui devra modifier son exécutif. Le macroniste Julien Bargeton est battu, ainsi que le sarkozyste Pierre Charon. Dans le Val de Marne les LR n’ont pas obtenu un 3éme siége espéré après avoir remporté 4 villes communistes aux dernières municipales et un département tombé à droite aux dernières cantonales, un dissident PS ayant été élu. Ni dans les Yvelines avec un cinquiéme siége, où Gérard Larcher (LR) rempile pour un sixième mandat. Par contre la Seine et Marne a vu l’élection de l’un des 3 sénateurs RN avec Aymeric Durox