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ville de vanves - Page 331

  • A VANVES, UN PROFESSEUR DE POLYTECHNIQUE SE PENCHE SUR LA JUNGLE DE L’INNOVATION

    Un vanvéen, professeur à Polytechnique et chercheur au centre de recherche en gestion (L3(CRG) qui enseigne la stratégie et le pilotage de l’innovation, Rémi Maniak, a coécrit (avec Nicolas Mottis) un livre sur «la jungle de l’innovation – comment survivre et prospérer» (Edt Dunod).

    Un sujet tout à fait d’actualité, dans un contexte où il n’est question que de cela à travers les politiques développées par nos collectivités locales pour venir en soutien aux start-ups, TPE, PME…  Ils mettent en évidence quelques grandes lois de la jungle de l’innovation, pour permette non seulement d’y survivre, mais aussi de prospérer. Avec un aspect très pédagogique, même s’il fait s’accrocher pour les non-spécialistes, pour expliquer des méthodes des concepts comme Désign thinking, business model cauivas, océan bleu, lean. agilité…

    Avec une petite perle : le chapitre 2 consacré aux espéces qui peuvent survivre dans cette jungle de l’innovation : le lion, roi  en érigeant des barrières à l’entrée conbre les éventuels concurrents de la jungle qui se positionne sur un marché, montre les crocs comme Ferrero, Coca-Cola. La gazelle qui coure plus vite que la concurrence pour survivre, n’attendant pas que leurs produits soient en danger pour renouveler leutr gamme comme dans l’industrie automobile. Le papillon qui utilise la mutation comme stratégie. De la même manière qu’une chenille devient papillon, les entreprises peuvent muter en passant d’un marché à l’autre comme Gentrex, leader américain des systèmes de détection d’incendie passé à la fabrication des rétroviseurs intérieurs auto-dimming qui s’adaptent à l luminosité arrière et a ainsi fourni de nombreux constructeurs (BMW, Audi, Chrysler, GM…), mais ausssi Kodak, Fuji, Amazon… L’écureuil dont la stratégie consiste à investir et alimenter continuellement une avance comme Toyota avec les véhicules hybrides, Renault avec le marché des monoespaces puis le marché de la famille « Global Entry », les véhicules petit budget pour les pays de l’Est, l’inde… , l’hippopotame qui impose le monopole, évolue paisiblement dans la jungle, comme les grandes plateformes numériques (Fcebook, Linkedin, Amazon, AirBnB) impossible à déloger une fois installée. Le boa qui s’enroule progressivement autour de ses proies, en profitant d’un nouveau mécanisme, les offres «systémes» comme les fournisseurs d’accés internet avec les offres Triple pay ou Double-pay. Enfin,  le crabe qui se décale e la concurrence, refusant de l’aboder frontalement, en décalant ses offres par rapport aux standards du marché, comme ce fut le cas sur le marché des disques durs.

  • 62 CLASSES IMPACTEES PAR LA GREVE DANS LES ECOLES DE VANVES

    62 classes seraient impactés sur 81 dans les écoles primaireset maternelles de Vanves auourd’hui. Le maire dans un courriel aux parents d’éléves  les a informé que vul’ampleur de la gréve, un service minimum est impossible car il mobiliserait 62 agents municipaux dont il ne dispose pas. Dans les collèges et lycées de Vanves, beaucoup de professeurs ont informés leurs élves qu’ils pouvaient rester chez eux. Selon le ministére de l’éducation nationale, et certains syndicats, cette gréve devrait être d’un ampleur historique avec 75% de grévistes. Enfin selon une enquête Ifop, 66% des Français estiment que le gouvernement a eu raison de maintenir le plus possible les écoles ouvertes depuis le début de la pandémie

  • A COTE DE VANVES, LES TRAVAUX DE LA TOUR TRIANGLE SONT LANCES

    Unibail-Rodamco-Westfield vient de commencer le chantier de la tour Triangle à Paris, après des mois de contestations et de critiques. Des palissades blanches ont été installés avenue Ernest Renan séparant les deux parties du parc des expositions, entre cette avenue et le hall n°1. Les camions et engins sont à l'œuvre, en train de préparer le terrain avant les premiers coups de pioche pour construire cette immense tour.

    Cette tour,  signée de l'agence d'architecture suisse Herzog et de Meuron,  comptera 42 étages sur 180 mètres de haut qui hébergera notamment un hôtel quatre étoiles, plus de 2.000 m2 d'espace de travail partagé ("coworking"), un centre de santé et un espace culturel. Pour les architectes c'est un projet qui limite l'emprise au sol, et donc l'artificialisation de sols pour accueillir un nouveau bâtiment. Son emprise au sol est trois fois inférieure à un bâtiment habituel de même surface. Il comportera 2600 mètres carré de terrasses végétalisées. Le promoteur, le groupe Unibail-Rodamco-Westfield vante la construction vertueuse de cette tour avec des façades bioclimatiques du béton bas carbone. La ville de Paris assure de son coté, que des bureaux pourront être transformés en logements si besoin. Les opposants ont dénoncé «un mastodonte énergivore de 15.000 tonnes de béton, imposé par Anne Hidalgo, qui ne répond à aucun besoin» comme l'avait déclaré en décembre dernier  le maire (LR) du XVe arrondissement Philippe Goujon.  Les élus écologistes de Paris avaient également avancé que ce projet «héritier de l'urbanisme des années 60, est économiquement anachronique et hors sol à un moment où le développement du télétravail et du co-working a bouleversé l'immobilier tertiaire et où plus de 4 millions de m2 de bureaux sont vacants sur le territoire francilien».  Pour ces élus, «c'est une tour au bilan carbone catastrophique pour sa construction comme son fonctionnement.  Il faut 3 à 4 fois plus de béton et d'acier pour construire la tour que pour construire un bâtiment très basse consommation respectant les plafonnements parisiens», ont ajoutaient les membres du Collectif contre la Tour Triangle, association d'opposants.  Le projet qui coûtera 700 M€ doit voir le jour en 2026.