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ville de vanves - Page 304

  • DE LA NEIGE A VANVES LE 1er AVRIL, UN POISSON D’AVRIL ?

    De la neige à Vanves et sur la Région parisienne,  à l’orée du mois d’avril, ce n’est pas un poisson. Les vanvéens l’ont senti dés hier avec cette journée qui s’est obscurci par moment. Jusqu’à 5 cm de neige  étaient attendus vendredi à Paris selon Météo France qui  annonçait le déplacement d’une masse de froid venu du nord, en progression des Hauts de France jusqu’au Massif central, pour ensuite gagner les Pyrénées. 

    «Concernant Paris intra-muros, la neige aura beaucoup de mal à tenir au sol, compte tenu des températures de surface plus élevées» Pour le reste des prévisions, des rafales de vent pouvant atteindre les 60 km/h, dans l’après-midi du 1er avril sont prévus. Ainsi Vanves pourrait se recouvrir de blanc (comme sur la photo)

  • VANVES ET LESPRESIDENTIELLES : UN WEEK END DE MEETING

    La campagne officielle est ouvert depuis lundi dernier. Les vanvéens s’en sont aperçus avec les clips de campagne diffusés sur les radios et télévisions sont diffusés, les professions de foi commencent à être distribuées dans les boîtes aux lettres, les panneaux électoraux aec les premières affiches. Les sondages d’intentions de vote, qui ne sont qu’un instantané avec des marges d’erreur, se succèdent et placent le président sortant (28,5%) loin devant Marine Le Pen (20%), qui est talonnée par  Jean Luc Mélenchon (14%), Eric Zemmour et Valérie Pécresse se disputant les quatriéme et cinquiéme place avec 11,5% chacun)… Près de quatre électeurs sur dix sûrs d’aller voter n’ont cependant pas encore fait leur choix et sont « dans l’hésitation ». Et l’abstention plane ostensiblement sur cette présidentielle atypique. La crise sanitaire liée au Covid-19 et la guerre en Ukraine ont écrasé une campagne qui a tardé à vraiment décoller, malgré des candidats faisant feu de tout bois.

    Les deux meetings du week-end prochain seront scrutés de prés : l’Arena La Défense, dans les Hauts de Seine avec ses 40 000 places, pour Macron samedi, qui pour l’instant, a délégué sa campagne aux « doublures » avec élu altoséquanais  en premiére ligne : Gabriel Attal, porte parole du gouvernement, conseiller municipal de Vanves et candidat à sa succession dans la 10e circonscription des Hauts de Seine qui avait été interrogé sur le mélange des genres : «Je suis porte-parole du gouvernement mais je suis aussi un soutien politique du candidat Macron à sa réélection Mais les choses sont très bien organisées » pendant ces deux semaines de campagne électorale officielle. Valérie Pécresse sera le lendemain, dimanche au parc des expositions de la porte de Versailles où elle tentera de «laver l’affront » selon les mots de Geoffroy Didier, son directeur de la communication, « du Zénith raté à partir duquel tout s’est enrayé. En attendant, les militants LREM comme LR devraient être présent au Métro ce soir et demain autour du marché pour inciter les vanvens à venir participer à ces deux grands rassemblements parisiens 

  • UN PROJET D’EIFFAGE IMMOBILIER A VANVES A DU PLOMB DANS L’AILE

    Le projet d’Effiage Immobilier rue Antoine Fratacci, à l’emplacement de deux pavillons face à l’hôtel de Ville et son square François Mitterrand ferait il l’unanimité contre lui. ? A L’occasion du dernier conseil municipaldu 23 Mars, le groupe LREM a de nouveau évoqué la demande de permis de construire qui fait l’objet d’une pétition du collectif DAPNE (Des Arbres  Pour Nos Enfants) .

    «La première demande n’a pas abouti mais une seconde demande aurait été déposée pour la construction d’un immeuble de 21 mètres de haut (6 étages et 70 logements) en lieu et place des 2 maisons avec jardins arborés. En effet, nous avons été alertés par des riverains regroupés au sein du collectif DAPNE (Des Arbres Pour Nos Enfants) qui ont lancé une pétition en ligne à ce jour plus de 800 signataires. Ce collectif dénonce le fait que la construction d'un tel immeuble provoquerait des nuisances intenses et continues (bruit, poussières, …) impactant directement la qualité de vie des écoliers et du personnel scolaire pendant au moins 2 années scolaires, augmenterait la température de la cour de l’école en supprimant de grands arbres qui constituent un îlot de fraîcheur et une source de biodiversité, aujourd'hui plus que jamais, indispensable, mais aussi dans les classes du bâtiment de maternelle dans lesquelles les températures atteignent déjà les 40°c en période de forte chaleur, et mettrait en danger nos enfants par la présence d’un bâtiment de grande hauteur donnant directement sur la cour de récréation de l’école maternelle !» indiquait Jean Cyril Le Goff

    «Après un premier refus de permis de construire prononcé le 3 mars 2021 et confirmé le 3 août 2021, malgré la décision du Préfet de région sanctionnant le refus d’accord exprimé par l’Architecte des Bâtiments de France, la commune est en effet saisie d’une nouvelle demande de permis de construire portant sur les terrains sis 40 et 42 rue Antoine Fratacci. Cette nouvelle demande, déposée le 22 décembre 2021 par la Société Eiffage Immobilier, est aujourd’hui en cours d’instruction. La commune ne peut donc pas communiquer sur ce projet, dont l’initiative incombe aux propriétaires de ces terrains. Les seules informations susceptibles d’être données sur la consistance du projet et déjà portées à la connaissance du public par les listes affichées sur les panneaux devant le Centre Administratif sont les suivantes : La demande porte sur la construction d’un ensemble immobilier de 74 logements collectifs (49 logements en accession libre et 25 logements locatifs sociaux), développant une surface de plancher de 4 185m² et d’une hauteur maximale de 21 mètres, après démolition totale des constructions existantes» a indiqué Pascal Vertanessian, maire adjoint à l’urbanisme  qui a précisé que les restrictions sur la possibilité pour la commune de communiquer sur ce projet ont déjà été portées à la connaissance des représentants du Collectif Des Arbres pour nos Enfants en février dernier. 

    Il a indiqué, comme il l’a fait lors de ces échanges, que «la commune n’est toujours pas favorable au projet, qui va à l’encontre des choix faits par la ville lors du réaménagement de l’Espace Cabourg, avec notamment la conservation du pavillon ayant abrité le commissariat de police. Le secteur où l’opération est envisagée présente en effet plusieurs caractéristiques, qui appellent la plus extrême vigilance. Le site est d’abord situé à proximité d’un équipement scolaire important. De plus, compte tenu de sa topographie, de l’échelle du bâti existant et de ses qualités paysagères, ce site constitue une séquence urbaine qualitative et un espace de respiration dans le paysage de la commune» a-t-il indiqué. Le collectif a recensé sur les 1700 m2 de jardin de ces deux pavillons, 42 arbres dont une dizaine serait centenaires.