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ville de vanves

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES EN ECHOS

    COLLEGES : Dans le cadre d’un partenariat entre la Ville et les collèges de Vanves pour suivre les situations d’élèves qui rencontrent des difficultés, et afin de prévenir le décrochage scolaire et les conduites à risque, le conseil municipal a voté la mise en place d’un dispositif d’accueil des collégiens exclus temporairement au sein des services de la Ville et plus particulièrement du service de Prévention spécialisée. «Une mesure forte en faveur de la réussite de nos jeunes qui permettra d’éviter l’oisiveté et l’errance des élèves pendant leur période d’exclusion, tout en assurant la continuité des apprentissages. L’accueil des élèves exclus permettrait également de proposer une sensibilisation et une éducation à la citoyenneté à ces jeunes qui rencontrent des difficultés et qui risquent potentiellement de basculer vers des comportements plus graves. À ce titre, il s’inscrit également dans la stratégie territoriale de prévention de la délinquance» indiquait la délibération

    ECOLE DU PARC : Les 31 salles de l’école complétement rénovée, porteront désormais le nom de personnalités historiques, artistiques ou locales, incarnant des valeurs universelles : un choix symbolique pour inspirer les élèves et marquer l’ancrage culturel de l’établissement. Leur dénomination sera proposée par l’équipe éducative pour les salles de classe et par les équipes d’animation pour les salles d’accueil de loisirs, en lien avec les enfants, et transmise au service Education avant le 31 mars 2026 indique la délibération  qui précise que chaque salle sera ensuite identifiée par un affichage apposé dans la plaque de porte à insert présente à l’entrée des salles. Occasion de rappeler  rappelle le conseil municipal précédent, en Octobre, avait décidé  que le Pavillon Arnaud conserve sa dénomination qu’il avait officialisé en hommage au docteur Léon François Arnaud (1858-1927) qui avait créé la Maison de Santé de Vanves, et de la dénomination de 8 autres salles : Les docteurs Félix Voisin et Jean Pierre Falret co-fondateur de la maison de Santé, deux illustres pensionnaires dont  Annet Morio de l’Isle, aide camp de Louis Bonaparte et  Jacques Grandville, célébre illustrateur  du XIXéme siécle, et des personnages que ce dernier a illustré  les aventures (Gulliver, Robinson Crusoé, Don Guichotte)…avec une salle polyvalente Marianne qui a retrouvé le buste de la République. 

    PASSERELLES ET COMPTENCES : Afin de dynamiser et accompagner le tissu associatif local en renforçant les compétences des responsables des associations ou en leur permettant de disposer de compétences spécifiques nécessaires à leurs fonctionnement, la ville a passé un partenariat avec l’association passerelles et compétences qui accompagne plus de 600 associations locales et réalise plus de 70 missions par an. Elle a déjà contribué à la réalisation de plusieurs missions pour les associations vanvéennes, dont certaines en cours en promouvant le bénévolat, en les aidant à mieux fonctionner, à se structurer et à pérenniser leur activité pour mieux servir leurs bénéficiaires finaux, recruter des bénévoles locaux et leur donner l’opportunité de concrétiser leur envie d’engagement. Ce partenariat devrait se traduire par une meilleure visibilité de cette association, de ses actions, avec la création d’ateliers collectifs destinés en priorité aux associations de solidarité ou de transition écologique, mais ouverts également aux autres associations vanvéennes. Il est d’ailleurs intéressant de noter que, dans ce cadre, la ville accompagne les associations au travers de l’organisation de cafés associatifs, comme ce fut le cas le 6 Décembre dernier (sur la photo) à l’espace Giner, pour échanger sur des projets communs, partager expériences et renforcer la coopération entre acteurs associatifs. «Ces rencontres contribuent à renforcer le lien entre les associations et tous les Vanvéens»

  • VANVES DEVRA ATTENDRE ENCORE POUR LE GRAND PARIS EXPRESS JUSQU’EN 2027

    Quand on pense que cette ligne 15 Sud qui reliera Noisy-Champs à Pont-de-Sèvres en desservant notre ville par la Gare Fort d’Issy/Vanves/Clamart (sur la photo en chantier) devait être la première ligne du Grand Paris Express à entrer en service en décembre 2025, elle vient d’être, de nouveau retardée en Avril 2027, après avoir été annoncée pour la fin 2026. Et elle ne sera plus la première à entrer en service, puisque la ligne 18, qui reliera les gares de Massy-Palaiseau et Christ de Saclay (Essonne), devrait être lancée avant, en  octobre 2026. Il parait que c’est plus simple pour cette ligne du sud francilien qui ne comporte que 4 gares contre 16 pour la 15 Sud

    «Un travail intense de plusieurs mois avec l’ensemble de partenaires et entreprises sur le planning de réalisation de la ligne nous permet de stabiliser un objectif de mise en service début 2027 (avec avril 2027 comme date butoir)» annonçait ces jours-ci la société des Grands Projets (SGP). Pour le moment, on sait que «la phase d’essais du matériel roulant et des équipements en gare se poursuit, s’intensifie et va s’étendre progressivement à l’ensemble de la ligne 15 Sud dans le courant de l’année 2026».

    «Deux sujets majeurs nous mobilisent aujourd’hui : l’installation et la connexion des systèmes en gare d’une part, et les essais des automatismes de transport d’autre part » expliquait Jean-François Monteils qui préside le directoire de la SGP sur le site de Mobily-cités : «  Pour les systèmes en gare, il faut vérifier un par un tous les équipements des lignes et des gares, les caméras, les escalators etc…, et s’assurer qu’ils sont correctement reliés au centre de commandement centralisé de la ligne, que le système fonctionne comme attendu. L’autre sujet, concerne les automatismes de transport. Pour les lignes 15, 16 et 17, nous utilisons un système unique et original développé par Siemens-Hitachi. Il faut tout tester. Pour la 18, c’est différent, nous avons adopté le système d’Alstom, déjà utilisé par ailleurs, mais dont nous connaissons les complexités de déploiement. Une autre difficulté vient des différentes autorisations et homologations nécessaires à l’engagement des essais, à la mise en service, etc. Sur ces aspects, on ne maîtrise pas toujours le calendrier. Leur instruction, qui devrait théoriquement prendre une ou deux journées, peut finalement demander un mois. Il faut pouvoir anticiper les choses, et que chacun prenne ses responsabilités sans mettre les délais de réalisation du projet en danger » expliquait il .

    En attendant, pour se rassurer, SNCF Voyageurs a annoncé renforcer la desserte de la gare de Clamart (ligne N), avec 8 trains par heure contre 4 en direction de Paris. Ce sont les trains venant de Rambouillet qui s'arrêteront à Clamart. « Cela permettra aux usagers de la ligne d'avoir prochainement la correspondance avec la ligne 15 sud, pour un temps de parcours quasi identique (+2 minutes). Un train semi-direct, avec un arrêt à Versailles-Chantiers, est également ajouté de Paris vers Saint-Quentin-en-Yvelines les matins (départ 7h50 et arrivée 8h10). Le train suivant sera décalé de 20 minutes pour mieux répartir l'offre ».

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES DU 9 DECEMBRE : GPSO ET LE DEVELOPPEMENT DURABLE

    Le rapport d’activité de GPSO  examiné par le dernier conseil municipal de l’année 2025, le 9 Décembre dernier, a donné lieu à un échange assez vif entre le groupe écologiste et Pascal vertanessian qui, manifestement, n’avait pas apprécié leur tribune dans le dernier Vanves le Mag où il expliquait que « que le maire n’a pas compris les enjeux, ni le vocabulaire » en affirmant que « le développement durable n’est pas une compétence de la mairie ». Et d’ajouter que « certes GPSO gére les déchets la voirie, les espaces verts, des compétences à fort impact environnemental » mais que « le développement durable, c’est bien plus !C’est penser les équipements, mener une politique énergétique, des actions éducatives et surtout s’assurer que la collectivité est elle-même sobre » - « Mais la ville travaille en ce sens. Et la ville accompagne le développement durable ! » a répliqué le maire adjoint chargé de du développement urbain, et de l’environnement du patrimoine

    Il avait auparavant donné les grands lignes du rapport d’activité 2024 de Grand Paris Seine Ouest (GPSO) qui  «dresse le bilan d’une année marquée par la consolidation d’un modèle territorial durable et innovant au service de ses 320 000 habitants » en rappelant plusieurs éléments :

    -L’adoption du Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi), première démarche de ce type dans les Hauts-de-Seine, qui fixe les orientations du développement urbain pour les quinze prochaines années, conciliant transition écologique, qualité du cadre de vie et cohésion entre les huit villes du territoire.

    -La mise en oeuvre du Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) qui se poursuit avec 62 % d’actions déjà réalisées, visant la réduction de 30 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. Des investissements importants ont permis la désimperméabilisation d’espaces publics (10 245 m2), la gestion écologique de plus de 100 hectares d’espaces verts et la labellisation de plusieurs parcs en « Écojardin » (85 parcelles),  l’installation de 578 composteurs, l’aménagement de 258 places de recharges électrique en voirie.

    -Le développement des mobilités douces qui reste une priorité : 272 km de voies apaisées, plus de 5 000 places vélo et 256 bornes de recharge électrique favorisent une mobilité durable. GPSO déploie aussi son territoire intelligent, fondé sur la gestion connectée des services publics (déchets, stationnement, mobilités) et sur un futur hyperviseur centralisant les données territoriales.

    -En matière d’habitat, 1 500 ménages ont été accompagnés dans la rénovation énergétique ou l’adaptation de leur logement, et plus de 200 logements sociaux ont été créés, tandis que la lutte contre l’habitat indigne se poursuit..

    -Sur le plan économique et social, Seine Ouest Entreprise et Emploi a accompagné jeunes, demandeurs d’emploi et entrepreneurs, renforçant l’attractivité d’un territoire qui compte près de 200 000 emplois.

    CE qui a amené ce commentaire de Thibault Lejeune (Les écologistes) : "GPSO est bien géré, mais on pourrait faire mieux!"