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  • INAUGURATION DE LA RESIDENCE TANDEM A VANVES : L’ACCOMPLISSEMENT D’UN TRAVAIL DE LONGUE HALEINE

    Après les chantiers, voici venu le temps des inaugurations, sachant que certains travaux ont pris du retard et que d’autres vont commencer à la fin de l’année sur les terrains René Coche-A.Briand-Diderot dans cette partie du quartier des Hauts de Vanves. Le premier chantier à démarrer avait été la villa Résidence (Promoteur Martek) toujours en travaux (avec plus de 7 mois de retard,  de nombreux contentieux et différents avec les riverains de la Villa des Matraits). Le second a été la résidence de 26 logements d’Areka Proderin à l’angle Matraits/A.Briand à la place de la villa au Palmier  qui a été le premier à être conclu. Enfin, le dernier chantier lancé était  la résidence Tandem construit par Vinci qui a été le second à être terminé, ses résidents s’étant installés depuis quelques mois et inauguré Mercredi soir par le Maire Bernard Gauducheau, quelques élus de la Municipalité dont Pascal Vertanessian maire adjoint chargé de l’urbanisme,  les responsables de Vinci Immobilier Résidentiel, ses habitants et ses riverains.

    Car la particularité de ses résidences est d’avoir toutes faites l’objet de réunions d’informations et de concertation quelquefois à l’ambiance assez brûlante, pour présenter  le projet, le transformer et l’amender, puis expliquer les travaux avant  et pendant les chantiers, en nommant une « sentinelle » c’est à dire un référent servant d’interface entre les riverains et le promoteur-constructeur. « Cette résidence est l’accomplissement d’un travail de longue haleine initiée en 2008. Il était prévu une résidence hôtelière et on se retrouve avec une résidence d’habitations qui s’intégre bien à son environnement, et livrée avec un trimestre d’avance » constatait le directeur général de Vinci Immobilier Résidentiel. Il est vrai que le premier projet avait provoqué une levier de bouclier : Une résidence hôtelier de 120 studios à l’emplacement d’un ancien CAT (Centre d’Aide par le Travail), d’une usine et d’un vieux pavillon, sur un terrain qui s’étendait entre les  rues R.Marcheron et A.Briand avec une sortie de parking sur cette voie  dont ne voulaient pas  entendre parler les voisins les  plus proches.

    Il  avait été  abandonnée grâce à la mobilisation des riverains et remplacée par une résidence plus classique et acceptable,moins dense  et beaucoup mieux intégré dans le site pavillonnaire et résidentiel, en jouant sur la déclinivité du terrain sur ses 1700 m2 de surfaces constructibles : 34 logements en accession et 34 places de stationnements, répartis dans un immeuble donnant sur la rue Aristide Briand avec 25 logements répartis dans deux cages d’escaliers, porche d’entrée, et 8 duplex dans l’autre bâtiment derrière  avec des espaces verts en  terre plein, et un accès piéton par l’impasse donnant sur la rue R.Marcheron. « Ce projet montre un apport manifeste (par rapport au précédent) car les riverans se sont battus. Vous vous êtes imposé des contraintes supérieures au PLU. Nous apprécions les efforts faits » avait déclaré l’un des riverains lors d’une réunion de concertation  - Il était présent avec d’autres voisins à cette inauguration -   qui avait été à la pointe du combat contre le précédent projet, en ajoutant « n’avoir joué que son rôle de citoyen ».

    Mais Bernard Gauducheau a prévenu tous ces nouveaux habitants de cette résidence Tandem et leurs voisins, « Vous aurez de l’animation dans ce secteur bien tranquille de Vanves qui est l’objet de pression foncière, de la volonté de la municipalité de construire des logements pour répondre à la demande  tout  restant dans une dimension humaine» a-t-il expliqué en citant les terrains A.Briand avec le projet de Bouygues Immobilier confié à l’architecte Kengo Kuma notamment.

  • LA GALERE A VANVES DES RIVERAINS DES CHANTIERS ARISTIDE BRIAND : « c’est le bazar ! »

    Les riverains des cinq chantiers immobiliers de la rue Aristide Briand ont donné une idée de l’enfer qu’ils subissent à l’occasion de la réunion de suivie régulièrement organisée par la mairie avec les promoteurs ou leurs représentants, la sentinelle (Gérard Laubier) et depuis peu, le régulateur de trafic (M.Deschamps) mis en place par la ville voilà quelques mois, comme ce fut le cas, Mercredi dernier en fin d’après midi à la maison de retraites Larmeroux. Pascal Vertanassian, maire adjoint qui animait la réunion a eu face à lui, des riverains tout à fait mécontents « du ballet de camionnettes (blanches)  qui ne sont pas  mieux que les camions » lorsque le gros œuvre est terminé. D’autant plus qu’il s’agit de nombreux sous traitants moins bien maîtrisés par l’architecte ou un chef de chantier comme c’est le cas lors de la phase gros oeuvre 

    « C’est le bazar ! » selon les riverains. Malgré la présence du régulateur qui fait de son mieux « pour contraindre les récalcitrants » entre 7H et 9H et qui  a été confirmé par la mairie lors de la dernière réunion publique du quartier des Hauts de Vanves. « Il a fait pas mal d’écrémage. Mais certains passent à travers les filets et arrivent maintenant à 5H » constatait le DGST (Directeur Général des Services Techniques) qui a donné un bilan de son activité : Sur 150 matinées de présence, 90 l’ont vu intervenir pour stopper les livraisons avant 7H30, heure du démarrage des chantiers, car les nuisances se déroulent entre 7H et 9H lorsque les camions arrivent et que les riverains partent au travail. « Maintenant, ils viennent avant la mise en place du dispositif chaque matin alors que le régulateur est là dés 6H ! » Et il a donné des exemples avec l’enlèvement d’une benne utilisée sur le chantier Vinci : « Elle a été enlevée et remplacée  une première fois à 5H55. Je suis intervenu pour dire au chauffeur de ne pas venir avec 7H30. Le lendemain,  il est venu à 5H »  a raconté M.Deschamps qui a été menacé par l’un d’entre eux qu’il a repoussé. « Les chauffeurs n’en n’ont rien à foutre ! » selon un riverain qui s’est vu entendre dire par l’un d’entre eux :« J’arrive de Charleville Méziéres. J’en ai rien à foutre de vos conneries ! ». Sur le chantier d’Akera Proderim (résidence Atelier) qui est en cours de finition, 14 camionnettes sont arrivées un jour en même temps pour décharger et ont bloquée la villa des Matrais. « Les chauffeurs sont désagréables ! Il n’y en a un un qui est arrivé à 7H. Il n’a pas pu décharger la terre avant 11H. Et bien il est resté là  avec son camion qu’il a bricolé, en mettant la musique à fond. Un autre a bloqué pendant une heure la villa des Matrais à l’heure des départs à l’école et au bureau et il est allé boire un café à la gare en prenant son temps » ont raconté les riverains de la villa des Matrais. « Maintenant, j’appelle la police systématiquement » a indiqué le régulateur. « Nous examinons avec le maire comment la police municipale peut venir vous rejoindre et vous appuyer » a indiqué Pascal Vertanassian.

    Les représentants des promoteurs avaient fait le point sur l’ensemble des chantiers auparavant : Un est terminé, la Villa Coche, « les trottoirs ayant été complétement refait et la zone restituée en l’état initial » selon le DGST. Un autre est sur le point d’être livré, le 14 Juillet prochain, puisque ses habitants pourront commencer à s’installer dès le 1endemain : Il s’agit de l’Atelier (26 logements) d’Areka Proderim  à l’angle de la Villa des Matrais et de la rue Aristide Briand en cours de finition. « Les plantations seront réalisées en Novembre » a indiqué le représentant du promoteur qui a dû répondre à des riverains mécontents de l’endommagement de la chaussée provoqué par les camions lors du chantier, et un affaissement provoqué par la décompression des sols, en réfutant sa responsabilité au vu du rapport de l’expert : « On ne peut pas laisser comme cela une chaussée défoncée par vos camions ! Pourquoi ne faites-vous pas comme Vinci qui a remis en ordre entièrement  l’impasse Marcheron » a demandé Gérard Laubier à ce représentant qui chipotait sur l’état de la rue en ayant une expression malheureuse : « Ne nous prenez pas pour des vaches à lait ! » après qu’un riverain eu estimé qu’il n’en était pas à 5000 € prés pour un tel chantier. « Vous avez détérioré notre qualité de vie depuis un an. Pourtant le chantier avait bien démarré, mais il se termine mal, avec cette rue endommagée, fissurée » a surenchérit une riveraine. Le DGST a indiqué qu’il était intervenu auprés des promoteurs, des investisseurs qui se font représentés et sont très peu coopératifs dans le cadre de telles opérations. Contrairement à Vinci qui a refait entièrement l’impasse Macheron qu’il a utilisé pour son chantier en creusant une tranchée et qu’il a  remis entièrement en état. « On a un promoteur à l’écoute et un autre qui ne l’est pas en se retranchant derrière son référé préventif »

    Le chantier Vinci de 34 logements (projet Tandem)  a vu se terminer le gros œuvre. « On est hors d’eau et hors d’air. On a commencé  les cloisons, le carrelage, et les espaces intérieurs » a indiqué la représentante de ce promoteur qui a dû faire face à une levée de bouclier contre le ballet des camionnettes des sous traitants. Le Chantier Martek de 63 logements  (Villa Aristide) a pris 3 mois de retard à cause des ennuis rencontrés par l’entreprise de gros œuvre, une expertise judiciaire ayant été initié par les riverains de la villa des Matrais suite aux affaissements de terrains et fissures (très graves pour certaines) apparus dans les pavillons mitoyens. « On est très motivé pour que les choses se terminent rapidement » a indiqué son représentant. « Vous n’avez plus la main, mais vous pourriez pousser vos assureurs pour faire avancer les choses » lui a demandé un riverain. « J’ai visité les pavillons, et je ne souhaite pas que cela vous arrive » a ajouté Pascal Vertanassian. « On se heurte à l’inertie du système » selon un autre habitant qui demandait une intervention de la mairie. « Elle ne peut pas intervenir dans un contentieux entre deux personnes privées » a indiqué le DGST - « mais vous pouvez bloquer le chantier ! » - « Il faudrait prendre un arrêté motivé ! Mais les moyens légaux sont activés et l’expert judiciaire prend du temps pour trouver un accord ». L’expérience de ces chantiers dans ce quartier des Hauts de Seine devrait servir à mettre au point une meilleure stratégie et un plan de circulation et de stationnement drastique vis-à-vis des chauffeurs de camions et camionnettes de toutes sortes qui ne respectent rien à l’occasion du chantier Niwa 

  • RETOUR SUR UNE SEMAINE A VANVES TRES AGITEE AVANT LES VACANCES D’ETE ( ?)

    Les événements n’ont pas manqué durant cette dernière semaine de la saison 2012-13 avant cette grande coupure des vacances d’été.

     

    STADE DE VANVES : Le Stade de Vanves a réuni son dernier Comité Directeur Vendredi soir, les vanvéens découvriront à la Rentrée lors du Forum et de sa journée Porte Ouverte le 8 Septembre son nouveau logo révolutionnaire et sa nouvelle plaquette présentant l’ensemble de ses sections sur lequel Benjamin Recoura a planché. Ce joueur de l’équipe Première de Basket qui suit un master de communication, fait actuellement un stage au secrétariat jusqu’au mois d’Août, pour travailler sur la communication du Stade de Vanves. Il devrait être appelé à remplir d’autres fonctions au Stade de Vanves à la Rentrée, après la démission très très surprenante de Logan Ropero, une semaine après son arrivée et qui devait renforcer l’équipe administrative et comptable du Stade de Vanves.

     

    EXPOGRAPH VANVES : Quelques jours plus tôt, Mercredi, Expograph-Vanves recevait ses partenaires et sponsorts pour sa soirée annuelle : « On part pour une grande aventure avec Expograph et le Stade de Vanves. Je compte sur toi pour qu’on arrive à quelque chose » a déclaré Jean Royer son président à l’adresse de Jean Vignal, président de la section Football qui était présent avec Isabelle Debré, sénateur et 1ére maire adjointe et Maxime Gagliardi, adjoint aux sports : « Avec l’arrivée de David, l’équipe féminine, et l’ouverture à la ville des équipements sportifs du lycée Michelet, vous ferez une belle saison en 2013/14 » a-t-il déclaré. « Les choses avancent un peu vite. C’est un honneur pour la Ligue. Vos prestations sont toujours exceptionnelles » a déclaré le président du District 92 et Vice Président de la Ligue de Football de Paris qui a salué ce rapprochement entre Expograph-Vanves et la section football du Stade de Vanves : « La ville de Vanves a la chance d’avoir de tels dirigeants sportifs. J’espére que cela arrivera à se faire en bonne harmonie. On est là pour aider les choses au niveau technique et administratif »

     

    COMMERCES : Cette fin de saison est aussi le temps de certains changements : La pharmacie de l’église dans le Centre Ancien a changé de patron, la rumeur coure dans la ville et surtout dans le centre ancien, que son seul marchand de journaux pourrait fermer boutique,  ce qui en ferait le second à fermer après celui du Plateau, pour être remplacer par une sandwicherie. Deux quartiers de Vanves se retrouveraient sans vendeurs de journaux, et il n’en resterait que 3 à Vanves !

     

    POLICE NATIONALE : Et des récompenses : 4 fonctionnaires de police du Commissariat de Vanves, ont reçu des décorations lors de la cérémonie d’hommage de la Police nationale qui s’est déroulé Vendredi dernier à la préfecture des Hauts de Seine, pour le sauvetage d’un jeune accusé de cambriolage qui menaçait de se jeter du 7éme étage d’un immeuble : « C’était un jeune que l’on connait bien dans le quarrtier à cause de ses problémes familiaux. Il s’est avéré qu’il n’était pas le cambrioleur recherché. Il avait eu une mauvause nouvelle le matin, ce qui l’a poussé à tenter de suicider » racontait l’un d’entre eux dans le Parisien de Samedi dernier, Nicolas Privat  qui avait essayer de le calmer, et à force de patience et de pédagogie, à le ramener à la raison : « Je suis fier de moi ! Mais cela fait partie du boulot ». Dans les faits divers de Vanves, il est à déplorer la disparition malheureuse d’un fonctionnaire de l’interco  affecté au service des sports, victime d’un malaise cardiaque à 51 ans, alors qu’il était au travail.

     

    MARTEK : Dans le feuilleton de la villa Aristide construire rue Aristide Briand, le promoteur Martek en a rajouté dans le cynisme : Deux jours après la réunion publique, il organisait la pose de la première pierre, avec tentes, traiteur de renom, concert et cancatrice, mercredi à l’heure du déjeuner, comme si de rien n’était. Les riverains étaient offusqués, d’autant plus celui qui attend toujours sa bâche pour protéger de la pluie son pavillon étayé et fissuré. « Des méthodes et une attitude de salopard » réagissaient certains riverains. Heureusement que la ville de Vanves n’a pas envoyé de représentants à cette manifestation honteuse