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métropole du grand paris - Page 7

  • LA NAVETTE DE VANVES TOUJOURS SUR LA SELLETTE

    Comme l’expliquent les élus de la majorité et leurs soutiens, la navette coûte trop chére, c’est pour cela qu’elle est supprimée. La décision est déjà prise…par GPSO, façon de se dédouaner, et de faire croire qu’ils ne sont pas responsables. Mais un tel service public, même s’il est déficitaire n’a-t-il pas été crée pour rendre service aux vanvéens par Gérard Orillard. Notamment à nos seniors dont certains ont du mal à se déplacer. D’autant plus qu’il a été rendu payant alors qu’il était gratuit auparavant. Ce qui est une erreur psychologique.

    Mais là, où on atteint l’absurde, c’esr que maintenant, les habitants des zones grises non desservies par les transports en commun vont devoir prendre leur voiture, s’ils ont une, pour accompagner leur enfant à proximité comme l’école Max Forestier pour un jeune couple habitant Gabriel d’Estrée. Et contribuer à la pollution de l’air dans l’agglomération parisienne alors que les autorités cherchent à privilégier l’usage des transports en commun. La métropole du Grand Paris où siége le maire de Vanves  n’a-t-elle pas créé une ZFE pour éviter cela et lutter contre les véhicules très polluants !  Des retraités âgées qui peine à monter la côte de cette rue qui comptent sur la navette pour aller au marché ou prendre le bus 58, comment vont ils faire ? Rester chez eux, passer commande sur Internet au lieu d’aller chez leurs commerçants habituels et faire vivre le commerce de proximité défendu parait il par la municipalité de Vanves.  Des exemples comme cela, Mme Brenier qui a lancé cette pétition qui atteint les mille signatures, en a des centaines

    Mais ces vanvéens qui défendent la navette municipale ne sont malheureusement pas entendus, en regrettant une nouvelle fois de plus, l’absence de concertation sur cette question sur laquelle, elle aurait pu demander leur avis aux vanvéens. Car ,ne vous y trompez pas, c’est bien une suppression, car Vanves Express sera réservée en priorité aux seniors devant se déplacer pour des raisons médicales. Pour les autres, débrouillez-vous ! Beaucoup de vanvéens devraient s’en souvenir lors des prochaines élections législatives où la maire adjoint de la solidarité de Vanves se présente et n’aurait pas levée le petit doigt pour défendre cette navette bien utile aux seniors de Vanves, s’en tenant aux éléments de langages de la majorité municipales  : «Il faut faire des économies !».

    Et à Vanves, il y en d’autres à faire plutôt que supprimer la navette. Et beaucoup de vanvéens peuvent lui donner des idées avec la suppression du festival Art Danthé réservée à une  élite non vanvéenne, la version papier du bulletin municipal remplacé par une version numérique comme c'est le cas à Meudon, par exemple, certaines dépenses de communication, le feu d’artifice et les frais de réception comme c'est le cas depuis le début de la crise sanitaire…sans compte ces indemnités versées aux maires adjoints dont ils pourraient se passer  pour certains qui n’en ont vraiment pas besoin pour vivre, vu que leurs responsabilités sont théoriquement remplies bénévolement ..  ce qui permettrait de la maintenir et la rendre gratuite.

  • VANVES AU CŒUR DE L’HISTOIRE DU GRAND PARIS QUE PIERRE MANSAT A COMMENCE A ECRIRE

    «6 juillet 2006. Dans la salle des mariages de la mairie de Vanves, sous le buste de Marianne, le maire Bernard Gauducheau ouvre la séance constitutive de la Conférence métropolitaine. Cinquante‑trois maires et présidents de collectivités, installes autour de grandes tables couvertes de feutre vert, ont repondu a l’invitation de Bertrand et de vingt‑six autres maires. L’initiative m’en revient. Je jubile. Le climat est excellent ; tous les participants souhaitent travailler ensemble. Daniel Guiraud, maire PS des Lilas, met les points sur les i : Nous ne sommes pas le syndicat des voisins de Paris, c’est notre avenir commun qui est en jeu». Cet événement historique pour la Métropole du grand Paris est rappelé dans un ouvrage fort intéressant pour ceux qui s’intéressent au Grand Paris vient de paraître à point nommé alors que la métropole du Grand Paris est en panne et la réforme de la gouvernance de la région métropole se fait attendre : «Ma vie en rouge» est signé de Pierre Mansat, adjoint communiste au maire de Paris, entre 2001 et 2014,  aux éditions Presse Universitaires de Grenoble 

    «Ce pourrait n’être que le récit  politique engagé de l’un des porteurs de la vision métropolitaine du Grand Paris. Ce pourrait n’être qu’un roman de genre, polar noir politico‑financier avec suspens et meurtre à la clé. C’est les deux à la fois. Tissant habilement réel et fiction, il nous invite, sur les traces de Pierre Mansat à plonger au cœur de l’invention métropolitaine du projet du grand Paris, aux côtés de Bertrand Delanoë. En parallèle du récit sincère et enlevé de Pierre Mansat, une autre partition se joue, en intermèdes : celle d’un roman noir de pure fiction, signé Christian Lefèvre» indique l’éditeur dans sa présentation.

    Mais le socle, la colonne vertébrale du livre  est son récit personnel, détaillé et : «très politique de l'émergence de la question métropolitaine / grand Paris dans le débat public». Il s'efforce de décrypter comment se fabriquent les politiques publiques, les espoirs, les avancées, les obstacles. Ce texte écrit avec ses tripes est un récit de l'engagement, et peut être le seul récut de l’histoire tout récente du Grand Paris qui manque. «J’ai pensé intéressant d’écrire ce libre, parce qu’il y a une curiosité sur ses années 2001- 2014  qui ont été importantes pour la capitale – aprés on peut avoir un jugement sur ce qui a été fait -  du point de vue démocratique, de politique du vélo, des transports, du logement social, des politiques écologiques… qui n’a pas été raconté. Il n’y a aucuns ouvrages, ni d’articles qui fassent un bilan de ces 13 années. J’ai pensé que cela pourrait interésser d’avoir un regard de l’intérieur, sous un angle particulier certes, que l’on raconte ces années Delanoë qui me semblent être extrêmement intéressantes pour l’histoire de Paris et du Grand Paris. Je voulais, alors qu’il y a beaucoup de commentateurs et d’analystes qui ont réduit l’affaire en «Delanoë veut s’entendre mieux avec les communes voisines», montrer que certes cela a existé, mais qu’il y avait bien la volonté de modifier fondamentalement la gouvernance de cette partie métropolitaine» confiait il ces jours-ci à l’auteur du Blog

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    FUITE DE GAZ : Vers 11H/11H15 lundi matin, une suspicion de fuite de gaz, a provoqué une intervention de la BSPP  a au niveau du boulevard du Lycée et de la rue Victor Hugo, suscitant un certain émoi, car l’ensemble des salariés présent dans les locaux d’Arte ont été évacué,  le chantier d’installation du nouvel abri bus a été arrêté , et la circulation coupée Bd du Lycée et rue Victor Hgo, dérouté vers les rues de la République, Gaudray…. les services de GDRF et les services d'astreinte de la ville étaient sur place pour assurer la sécurité, avec la police et la BSPP. Le gaz a été coupé sur l’ensemble du boulevard (de la place du maréchal de Lattre de Tassigny à celle du général de Gaulle).  GRDF est resté sur place afin de réparer la canalisation, ce qui a été le cas dans l’après-midi.

    CANTONALES : Adeline Beving (EELV) qui était sur la liste Vanves demain conduit par Pierre Toulouse sera candidate aux élections départementales sur le canton de Vanves/Clamart avec le clamartois David Huynh Génération S

    SARAH HALIMI : Quelques vanvéens étaien présent au rassemblement de la place Trocadéro Dimanche après-midi pour protester contre la décision de la Cour de cassation de confirmer l'irresponsabilité pénale du meurtrier de Sarah Halimi, pris d'une bouffée délirante après la consommation de cannabis. Rappelant la volonté d'Emmanuel Macron d'un changement de la loi, le porte-parole du gouvernement a estimé lundi matin sur Europe 1 que «la loi doit effectivement changer..La décision rendue par la cour dit le droit» rappelle Gabriel Attal. «Mais le sens de cette décision dit que le droit permet qu'une bouffée délirante liée à la consommation de stupéfiants entraîne une irresponsabilité pénale. Or, ce n'est pas possible. La drogue ne peut pas être un permis de tuer. Si vous commettez un crime odieux après avoir pris des stupéfiants, et qu'après on vous dit que parce que vous avez pris des stupéfiants, vous ne serez pas jugé, c'est totalement inacceptable pour les Français» a martelé le conseiller municipal LREM de Vanves pour qui «cette affaire provoque légitimement une émotion extrêmement forte chez tous les Français». 

    EXODE : Comme d’habitude lors des vacanecs, les rues de Vanves se vident comme l’ont constaté ceux qui sont restés. Mais peut être que les circonstances, le 3e confinement, ont renforcé cet exode de l’ensemble de la Métropole du Grand Paris, le week-end de Pâques, avec la tolérance qui l'a accompagné, ainsi que la météo clémente ayant fortement contribué aux migrations. Cet exode s'est traduit par un recul du chiffre d'affaires alimentaires dans la métropole : -7%. C'est d'ailleurs le recul le plus important enregistré en métropole par rapport à la moyenne enregistrée sur le début de l'année 2021. A l'inverse, les stations balnéaires ont enregistré de fortes hausses : +34% pour les Sables-d'Olonne, +39% pour le bassin d'Arcachon ou encore +72% pour l'Île de Ré et l'Île d'Oléron. Lors de la première semaine de confinement, au printemps 2020,  du 16 au 22 mars 2020, les stations balnéaires avaient ainsi connu une hausse moyenne de 60% des ventes alimentaires (par rapport à la même semaine en 2019)