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isabelle debrÉ - Page 23

  • A VANVES ET AILLEURS : UN TRAIN DE SENATEUR DES TRANSPORTS A LA RETRAITE

    Alors que Bernard Gauducheau tenait l’une de ses premières réunions « Tuperware » dans le quartier de la rue de Châtillon, dans le cadre de sa campagne pour les cantonales, hier soir salle Latapie, des nouvelles de notre sénateur après la longue séquence sénatoriale consacrée aux retraites sur laquelle elle revient dans le numéro de « Gardons le contact » de Novembre 2010. Elle se prépare au grand dossier qu’a lancé le président de la République sur la dépendance et sur laquelle la commission des affaires sociales du Sénat qu’elle vice-préside, sera là aussi très mobilisée.

     

    RATP : Isabelle Debré devait siéger vendredi dernier au conseil d’administration de la RAPT dont ele fait partie, et qui a voté son budget d’investissement de 1 547 ME pour 2011, soit +12,1% par rapport à 2010 (1380 ME). Des investissements qui s’ajoutent à ceux de la Région et du STIF dans différents domaines pour améliorer le quotidien des franciliens dans le métro, le RER, le tramway  et les bus : Amélioration de l’exploitation avec le  renouvellement du matériel roulant sir de nombreuses lignes, l’automatisation de la ligne 1 qui est très bien engagé, l’achévement de la rénovation des trains MF77 de la ligne 13 que beaucoup de vanvéens empuntent et la poursuite de la pose de portes palières dans les stations les plus chargées de cette ligne, la poursuite de plusieurs programmes avec le programme Renouveau du métro (250 stations déjà traitées), le déploiement du systéme image, et bien sûr l’extension des réseaux : prolongement des lignes de métro (4 jusqu’à Montrouge, 8 et 12), pôles multimodaux dont celui de Nanterre Université, sites propres comme celui du 126 à Vanves, l’extension des lignes  de tramways…Enfin des opérations comme l’amélioration de l’accessibilité et de la sécurité.

     

    RETRAITES : Isabelle Debré qui est « fier d’avoir participé à ce travail de fond qui engage l’avenir de nos enfants » revient dans l’éditorial de « Gardons le Contact » sur le débat sur les retraites au Sénat qu’avait suivi de prés le blog Vanves au Quotidien : « Les Sénateurs ont débattu dans l’hémicycle pendant 140 H, souvent en séance nocturne, examinant 1800 amendements dont 130 ont été adoptés (10 présenté par le groupe PC, 33 par le groupe PS, 22 par le groupe UMP, 13 par le groupe centriste, 44 par la commission des affaires sociales, 2 par la commission des finances et 6 par le gouvernement). La mission d’évaluation et de contrôle de la Sécuirité Sociale et la Commission des Affaires Sociales ont, quant à ellles, consacré respectivement 40 H et 30 H de leurs réunions à ce projet de loi. Ces quelques chiffres témoignent du travail en profondeur effectué par le Sénat pour voter une réforme vitale pour notre pays : comment sauver notre systéme de retraite par répartition alors que l’allongement de la durée de vie a généré des déficits dont le financement par une dette chaque jour considérable pèsera nécessairement sur nos enfants et petits enfants » écrit elle en ajoutant : « Cette réforme courageuse est caîtale. Elle ne constitue pas une solution définitive mais nous donne du temps pour réfléchir ensemble à une réforme plus pérenne, notamment systémique »

     

    SOMMAIRE : Les 8 pages de son journal de Sénateur sont consacrés à de nombreux sujets avec l’Actualité du Sénat (Les violences faîtes aux femmes, la réforme du crédit à la consommation), Les Coups de projecteur sur les Hauts de Seine avec  des nouvelles sur Antony, Levallois, Nanterre, Clamart, Bourg la Reine, Courbevoie…Et Vanves bien sûr avec la première pierre de la maison relais pour adultes handicapés Simon deCyréne. Des morceaux choisis sur son actvité dont évidemment le lancement du Chêne 92 avec Julien Gazel, conseiller municipal. Et quelques paroles d’élus altoséquanais

  • DES NOUVELLES DES ELUS DE VANVES EN TERRE SARKOZYSTE

    ISABELLE DEBRE A L’ELYSEE

    « Ce n’est pas la première fois qu’il nous réunit. Nicolas Sarkozy a la nostalgiue des réunions de groupe. Il a vraiment besoin de rencontrer les sénateurs de la majorité, et cela lui manque de ne pas nous voir plus souvent. Il a toujours été très proche des élus et des militants. Il aime être à leur rencontre, pour échanger et écouter, et c’est un vrai besoin, et un plaisir de dialoguer et de nous écouter » raconte Isabelle Debré après la rencontre des sénateurs de l’UMP et le Président de la République à l’Elysée, hier à l’heure du déjeuner, une semaine après les députés, et pendant plus de 2H de questyions-réponses. Il  les assuré vouloir continuer à réformer et à faire de ce quinquennat un mandat de réforme, reprenant finalemet les thémes développés devant le Congrés des Mairees la veille : « Une nation compte quand elle s’adapte, se modernise, change ses habitudes et a l’audace de l’innovation ». Et de rappeler que « toute majorité confondues, quand les choix étaient trop difficiles, quand les réformes étaient trop confilictuelles, quand la rue s’exprimait pour des raisons souvent bonnes, et comprégensibles, on décidait soit de reculer, soit de renvoyer à plus tard après chaque élection. Et comme il y a toujours des élections, on différe. Et le rendez-vous est plus douloureux parce qu’à force de refuser de sauter l’obstacle, il devient de plus important.  Il n'existe pas de grande réforme sans grand débat, sans grande opposition et une fois que la réforme est faite, les choses se calment comme par miracle ». Et de citer de nombreux exemples parmi les derniers : carte militaire, carte judiciaire, hopitaux, retraitres pour terminer par son nouveau projet : la grande dépendance. « 1,1 million de personnes dépendantes,. 250 000 de nos compatriotes atteints par la maladie d’Alzheimer. Dont certains dés 50 ans ». Avec de nombreux difficultés de financements. C’est pourquoi il a confirmé qu’il lancerait un vaste débat sur le sujet. Et le sénat avec sa commission sociale dans laquelle Isabelle Debré siége sera concerné, comme elle l’a déjà été sur de nombreux projets depuis qu’elle siége dans cette haute assemblée.  

     

     

    GUY JANVIER : « ITINERAIRE D’UN SOCIALISTE EN SARKOZIE » ET A VANVES

    « L’idée de ce livre est assez récente. Pendant longtemps j’ai pensé qu’agir suffisait. Je croyais dans l’efficacité de l’action politique quotidienne. « Penser globalement, agir localement. Cette phrase d’Edgar Morin, j’en avais fait en quelque sorte ma devise » écrit Guy Janvier sur son blog en annonçant ce livre dont il publie les chapitres consacrés au « virus de la politique », « son mandat de maire », à des thémes qui lui sont chers comme le logement et l’école, la solidarité et à son goût du service public, à ce département « le plus riche et le plus inégalitaire de France ». Il parle de cette politique dont il a consacré 25 ans de sa vie « dans ce département atypique que sont les Hauts-de-Seine tenus par Charles Pasqua, Nicolas Sarkozy, André Santini, Patrick Devedjian… A soixante ans passés, mon engagement est toujours le même que celui de mes trente ans. Mes convictions non seulement n’ont pas changé mais elles se sont fortement étayées. Ces certitudes, je veux les partager ». Et pourtant, on apprend au fil des pages qu’il tient ce virus de la politique de son pére, pour « défendre des petites gens comme lui que je me suis engagé et que je continuerai à me battre ». Qu’il se destinait à des études d’italien et au professorat. Qu’il a été secrétaire dela section CFDT à la Région Ile de France qui naissait. Qu’il a été un « fonctionnaire engagé » et n’a jamais cru à l’apolitisme supposé de la hauite fonction publique. Qu’il a été stagiaire de l’ENA à Chartres en même temps de Patrick Strzoda, lui à la mairie, et le préfet des Hauts de seine à la Préfecture…

    Le portrait qu’il dépeint du secrétaire de section du PS à l’époque de son engagement à Vanves en 1984 vaut « son pesant de cacahouette » lorsqu’on sait qu’il parle de Raymond Deniau lors des campagnes  - « J’ai rarement vu un militant aussi organisé que lui. Tout était prpogrammé : un pied à culisse pour mesurer le nombre de tracts à disribuer par militant, une multitude de balais, avec des manches de tailles différentes pour l’affichage sauvage – toléré à l’époque – des caddies, des clés, des codes, des adresees pour faire du porte à porte…Tout y était. On sillonnait les rues de la ville, de préférence de nuit… » - ou des réunions : « Le rite était immuable : présentation d’un sujet d’actualité ou de fond par le secrétaire, debout devant ses ouailles – on se serait cru au catéchisme -  puis liste des travaux militants à effectuer ». Comme son secrétaire de section, il avait constaté lorsqu’il s’est décidé à se présenter une première fois aux cantonales en 1994, que le sortant, Roger Aveneau, c’était plutôt « hibertanus » : « Un UDF venu du syndicalisme chrétien…. » avec lequel il a siégé au conseil d’administration du collége St Ex : « Il n’ouvrait jamais la bouche, avait l’air de s’ennuyer ».

    REGLEMENTS DE COMPTE

    Il revient bien évidemment sur son mandat de maire avec la mise en place de la démocratie participative sur laquelle Benedicte Goussault s’est beaucoup engagé en mettant en place les conseils de quartiers, mais aussi les deux catastrophes auquel il a dû faire face : la tempête de décembre 1999 et l’incendie du marché. « C’est le lot des maires que d’affronter ce type de difficultés et mon équipe fut soudée autour de moi pour sortir de ces galéres » explique t-il avec un regret pour le marché : « Nous avions décidé de l’ouvrir sur l’extérieur, en créant une placette pour les ambulants. La municipalité qui nous a succédé a choisi un autre projet. Je ne suis pas sûr qu’elle ait eu raison de le faire…Elle a aussi gaspillé les milliers d’euros que nous avions mis dans l’étude élaborée avec les commerçants, et l’un d’entre eux, en particulier, Gérard Gadras, boucher pendant 40 ans sur le marché de Vanves ». Et un autre pour le parc F.Pic dont le projet de réaménagement concerté « a été mis dans un tiroir par la municipalité ».

    Enfin, il régle ses comptes avec ses solides inimitiés : Charles Pasqua qui représente pour lui « l’archétype du magouilleur, la droite dans sa pire expresion ». André Santini : « ce type infréquentable » à propos duquel il n’a jamais compris comment « cet homme pouvait passer pour un type sympa »… « méprisant, vulgaire, mysogyne ». Et la droite ! Il a la conviction « d’avoir été piégé par la droite qui, pour récupérer la ville, n’a pas hésité à jouer sur les questions de sécurité ! ». Et il rappelle malgré tout un agréable souvenir qui est tout à fait d’actualité alors que le Congrés des Maires de France se déroule aux portes de Vanves actuellement  : « L’accueil dans un gymnase que je mettais à la disposition de la FNESR, moyennant rémuinération, de tout ce que le PS comptait de personnalités importante…pour un déjeuner à la fois de travail et convivial. Puissance invitante, j’avais le privilége de siéger à la table d’honneur et de prononcer le discours d’ouverture. J’acceuillais ainsi pour quelques heures Pierre Mauroy, Lionel Kospin, Laurent Fabius, François Hollande…Tous étaient ouverts. Cela me changeait de Santini et de Pasqua…Devant cet aéropage de grands élus, je plaidais pour un statut de l’élu local digne de ce nom ».

  • CANTONALES A VANVES : LE DUEL GAUDUCHEAU – JANVIER A COMMENCE

    Bernard Gauducheau a réussit un exploit lundi soir à l’école Marceau pour lancer sa campagne électorale pour reconquérir son siége perdu en 2004 de conseiller général. Il a réunit Patrick Devedjian président du Conseil Général et  Jean jacques Guillet député maire UMP de Chaville sans qu’ils ne disent un seul mot de leur bras de fer pour la tête de l’UMP 92 qui se décidera lundi prochain à Boulogne, avec Philippe Pemezec, Secrétaire Départemental UMP et maire du Plessis, Pierre Christophe Baguet député maire UMP de Boulogne, Isabelle Debré, sanateur UMP du 92, Hervé Marseille et Denis Laghero conseilers généraux NC. Tous étaient là pour expliquer aux militants et sympathisants UMP et NC de Vanves les enjeux de cette élection cantonale tant sur le plan local que national. Une dizaine de jours avant la réunion de Guy Janvier à l’école Larmeroux le 18 Novembre à 19H, beaucoup de vanvéens ayant reçu ses derniers un courrier d’invitation.

     

    Deux surprises ont marquée cette soirée qui a bien durée 3H. Tout d’abord le discours très vivant et plein d’humour ou de clins d’œil de la suppléante Françoise Saimpert qui a raconté 3 étapes de sa vie : Ses racines à Vanves où elle réside depuis 24 ans et où elle est née à la Maternité de la Poussiniére à côté du Lycée Michelet. « Un vrai petit poussin de Vanves devenue une poule blonde ». Sa famille qui lui a inculqué les valeurs de solidarité d’entraide de respect. La politique avec l’association « lire et faire lire » avec Alexandre Jardin, puis l’engagement dans la vie municipale entrainé par Isabelle Debré alors qu’elle n’était encarté dans aucun parti. « Sans la parité, je ne serais peut être pas là » a-t-elle constaté justement en ayant à coerur de bien remplir sa mission.

    Ensuite un candidat maire qui paraissait décalé, peut ête encore à cause du décalage horaire de son déplacement à Hanoï. « Ce sont les purs et durs qui sont présents ce soir ! Il faut remobiliser tous nos amis. C’est dans quelques mois certes, mais le temps passe vite. Et à Vanves, on trouve que l’on n’en fait pas assez ! C’est pourquoi j’ai souhaité que l’on se voit dés ce soir et que l’on s’organise pour reprendre le siége perdu en 2004 » a-t-il déclaré en expliquant qu’il a proposé à Françoise Saimpert d’être sa suppléante : « Quelqu’un de très engagée, avec beaucoup de d’idées…avec laquelle nous ferons un très beau tandem ! »

     

    VOUS N’AVEZ PAS BESOIN DE JANVIER !

    Evidemment, il s’en est pris à Guy Janvier qu’il a qualifié de « Monsieur Plus » car il demande toujours faire plus. Mais c’est « Monsieur rien ». S’il était génial cela se saurait. Durant ses 7 ans de mandat, il n’a rien fait. Il lance sa campagne par un  bilan de mandat. Mais il  n’y a rien. Je n’ai jamais vu passer une lettre de Patrick Devedjian m’indiquant que grâce à monsieur Janvier, la ville de Vanves recevrait telle aide. Il faut reconquérir ce canton pour renforcer le conseil général » . Il a d’ailleurs été relayé dans ses critiques par ses invités : « Avoir Guy Janvier à Vanves ne sert à rien. Un conseiller général d’opposition ne vote pas le budget, et n’apporte rien à la commune… Pour sortir de ce cycle, il faut reprendre le canton » a expliqué Hervé Marseille maire de Meudon (NC). « La concordance entre maire et conseiller général est fondamentale dans une ville canton. Dans  ce cas, le conseiller général est très lié à l’action de la ville. Et lorsque je siegeais à l’hôtel du département, je l’ai souvent entendu critique, mais jamais parler d’un dossier concernant Vanves. Nous exercons dans ce département une vérotable solidarité, ainsi qu’au sein de GPSO. Vanves en a bénéficié. Mais un conseiller général PS n’apportera rien à cette solidarité et à cette synergie. Le seul à être sur le banc de touche est Guy Janvier » a expliqué Jean Jacques Guillet (UMP). Enfin Parick Devedjian a répété de « Guy Janvier ne servait à rien  car il, est dans l’opposition. Lorsqu’il s’ahit de faire quelque chose pour vanves, Bernard Gauducheau décroche son téléphone ou vient me voir. Il connaît bien sa vile et sait ce qu’attendent ses habitants. Guy Janvier, énarque, hauit fonctionnaire, très imbu de sa fonction nous fait des cours à chaque sé »ancxe. Mais ce qui se passe à Vanves est trop petit, trop loin de son regard et de son esprit. Vous n’avez pas besoin de Guy Janvier ! ».  

     

    UNE CRAINTE : LA DEMOBILISATION

    Mais c’est enjeu de ces cantonales qui a préoccupé les esprits : « On sait que les cantonales vont être difficiles. La politique conduite par le président de la République a provoqué les événements que l’on sait. Et ce ne sera pas facile. Mais il fait réusir ce examen de passage » (Hervé Marseille). « On n’est pas dans une bonne saison. Le gouvernement a beaucoup réformé. On a eu des élections régionales pas très réjouissantes, mais les choses  sont différentes. Car les régionales sont anonymes, sur listes. Alors que les antonales sont uninominales avec un homme, une femme, une équipe. Et elles peuvent donner lieu à une plus forte mobilisation. Il faut que nous ayons de bons résultats en Mars 2011 aux cantonales puis en Septembte 2011 aux sénatoriales, sinon, je ne vous fait pas un dessin » (Patrick Devedjian). Il n’en reste pas moins que l’UMP compte reprendre 3 cantons : Vanves, Chatenay et Châtillon. « Et je n’ai aucun doute sur Vanves. Parce que s’il est vrai que les élections se passent sur le fil du rasoir, Bernard Gauducheau a fait un peu plus de 55% aux Municipales en 2008. 55% veut dire que la gestion de sa vile lui a permis de la garder. La seule crainte est l’abstention, le désintérêt, la démobilisation des électeurs qu’il fauitr remobiliser ! » a t-il ajouté. « Nous avons des positions dans les Hauts de Seine, avec quelques érosions, nos adversaires étant présent au sein de la Métropole. Mais il ne faut pas jouer leur jeu eb les laissant faire, car nous avons des résultats sur le terrain qui vont au-delà des paroles » a tenté d’expliquer Bernard Gauducheau. Il a annoncé qu’Isabelle Debré et André santini co-présideraitent son Comité de soutien.