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présidentielles 2012

  • CANTONALES A VANVES : CAVADA, DEBRE, GAUDUCHEAU CELEBRENT L’UNION DE LA DROITE REPUBLICAINE

    Jean Marie Cavada, député européen a passé la journée d’hier à Vanves pour rencontrer le matin, une quarantaine d'élèves en Première Bac Pro Comptabilité et Secrétariat et en Terminale BEP Carrières Sanitaires et Sociales au Lep Dardenne  - « Il y a un état d’esprit qui consiste actuelmlement à dévaloriser les filères professionnelles. C’est pourquoi il faut donner confiance à ces jeunes » a-t-il expliqué, et l’après midi au lycée Michelet une cinquantaine d'élèves de Première générale. L’objectif de ces rencontres est de présenter aux élèves le travail du parlementaire européen, les institutions européennes, et d'échanger avec eux sur les grandes priorités de l'Union européenne. A l’heure du déjeuner, il a apporté son soutien à Bernard Gauducheau pour les cantonales lors d’une rencontre en petit comité au Café de l’Avenir sur le Plateau à laquelle a participé Isabelle Débré, Sénateur UMP dans un esprit d’union. Il a expliqué avoir beaucoup d’estime pour Bernard Gauducheau « qui a apporté son soutien, avec son équipe, lors de la campagne pour les élections européennes »

     

    C’est la seconde ou troisiéme visite qu’il effectue à Vanves, après la campagne des Européennes où il était venu animer une réunion à Panopée et un dîner débat UMP/NC au restaurant chinois de la rue Ernest Laval. « A Vanves on est en campagne. On a l’ancien maire qu’on a battu en 2001 et en 2008 comme conseiller général sortant. On va essayer de reconquérir ce siége grâce à notre capacité à être sur le terrain. Et c’est notre force. Nous allons organiser des rencontres comme celle-ci avec des personnalités différentes » a expliqué Bernard Gauducheau qui entourait avec Jean Marie Cavada, Isabelle Debré, venue pour célébrer l’union de la Majorité présidentielle  et montrer son soutien et celui de l’UMP « plein et entier » au maire de Vanves. « Le plus important est de reconquérir le siége de Vanves pour le département. C’est pourquoi nous travaillons dans l’union à Vanves. On voudrait bien que cela soit le cas au niveau natonal. Et nous l’avons prouvé aux dernières Municipales grâce à un score historique dont le dernier remponte à 1959 » a-t-elle expliqué.

     

    Jean Marie Cavada a dialogué avec les quelques élus et militants présents dont Bernard Roche, Marie Anne Sorensen, Jacques Landois, Marie Françoise Goloubtzoff, Michel Dingreville, Alain Toubiana, Pascal Vertanassian…. « Nous allons être très sollicité dans les mois à venir. Il est bien de rappeler l’isage de l’ordonance : On doit être chacun chez nous. Mais on est dans la même famille. Le Nouveau Centre a deux métiers : Nous élargir grâce aux discussions avec les radicaux, élaborer un programme avec le parti frére UMP car il faut appeler à travailler ensemble »…. «  comme l’a fait la Gauche à une certain époque avec son programme commun ».  Bernard Gauducheau a pris le relais en expliquant qu’il n’avait pas voulu suivre Bayrou qui était dans une logique d’affrontement alors que « nous sommes dans une logique de complémentarité. Nous cherchons à être plus fort en nous rassemblant. Car notre appartenance et notre positionnnement est le centre droit ».

     

    Jean Marie Cavada  a ajouté que « l’alliance qui aura lieu au 2éme tour sera avec la droite républicaine ? S’il y avait péril pour la droite l’année prochaine, à pareille époque, je serais de ceux qui demanderaient l’union dés le 1er tour ». Tout en expliquant bien qu’il fait que « chacun œuvre chez soi au 1er tour, parce que seul, nous n’avons pas de réserves de voix » et en constatant que « la machine à désunion est en marche à gauche, alors qu’à droite, on a une capacité à se regrouper ».  L’objectif pour lui est de savoir comment faire reculer le FN « qui fait de la peur son fonds de commerce ». Sachant que « si l’image du président de la République reste telle quelle, ce sera périlleux et difficile. S’il l’a modifie, ainsi que son comportement, la partie sera moins difficile ». Mais à ses yeux, il a eu raison de montrer que l’on est un pays de réforme. « Et il n’est pas question d’arrêter de réformer » a conclu Isabelle Debré qui travaille maintenant sur le dossier de la dépendance, en précisant qu’elle est « admirative du courage du gouvernement et du Président de la Répiblique dans les réformes ».