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gpso - Page 49

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    SOLIDARITE : Cette période de Noël est marqué par la solidarité : Les 10 tonnes de produits de première nécessité récoltées dans certaines villes dont Vanves, viennent d’être acheminés par GPSO à Beyrouth où ils été distribués à des familles sinistrés de cette explosion survenu ans le port en Août dernier. Un cédre du Liban a été planté la semaine dernière dans le parc F.Pic. Les seniors vanvéens ont retirés leurs ballotins de chocolats distribués par le CCAS dans trois salles municipales ( La Palestre, le Square et la salle  Latapie) la semaine dernière. Mais il n’y aura pas cette année de banquet pour le nouvel an à cause bien sûr de la crise sanitaire. La Croix Rouge (sur la photo) a organisé 3 collectes pour confectionner des boites de solidarité de Noël pour être distribués aux plus démunis des villes de Vanves et de Malakoff durant cette période de fêtes. 

    BUDGET 2021 : Cette semaine a été marqué par le vote du buget 2021 de la Région ile de France au bout de 3 jours de débat. Ce budget de 5 milliards d’euros présente une hausse des investissements à 2,6 milliards d'euros (+17%), tandis que les dépenses de fonctionnement s'établissent à 1,9 milliard. Un budget  considéré comme «offensif» et «inédit», selon sa présidente Valérie Pécresse : «Ce budget est rendu possible parce que nous avons les reins solides et que depuis 2016, nous avons su dégager des marges de manœuvre financières par une gestion exemplaire» a-t-elle affirmé en annonçant un milliard d'euros pour la santé, par exemple pour «créer 500 lits de réanimation modulaires et former 3000 soignants.

    SOUTIEN AUX RESTAURANTS : Par ailleurs, la région a voté une aide aux loyers de 1000 € aux commerces, bars et restaurants confrontés à une fermeture administrative pendant le deuxième confinement. «Déjà affectés par les premières mesures de mars et d'octobre, les petits commerces, les services de proximités, les bars et les restaurants sont dans une situation préoccupante, accentuée par le second confinement et la chute brutale de leur chiffre d'affaires. De plus, les commerçants et artisans, souvent travailleurs non-salariés, ne bénéficient pas du dispositif d'activité partielle et le paiement des loyers reste notamment une charge importante (entre 6% et 12% du chiffre d'affaires des restaurants et des commerces franciliens). Le dispositif proposé vise donc les commerces de détail et de services (coiffure, soins de beauté...), les entreprises de la restauration (bars-restaurants hors restauration rapide) et l'artisanat commercial qui ont dû fermer le 30 octobre dernier, alors même que leurs charges restaient dues» indique-t-on à la Région

  • VANVES/ GPSO ET LA VIABILITE HIVERNALE: « Nous prenons des risques sur le terrain pour être au service des riverains »

    Depuis le 16 novembre 2020 et jusqu’au 15 mars 2021, les agents d’astreinte de Grand Paris Seine Ouest (GPSO) sont mobilisables pour intervenir 24h/24, 7 jours/7 sur l’ensemble des 8 villes du territoire, pour affronter l’hiver et ses éventuels épisodes neigeux. Le Site Internet de GPSO a interviewé l’ensemble des responsables de l’approvisionnement en sel pour chaque secteur, alors qu’il y avait des risques neigeux cette semaine : Il s’agit de Philippe Crépin responsable approvisionnement, au service interventions de la Direction territoriale Est (DTE), qui regroupe Issy-les-Moulineaux et Vanves.

    «Pendant la viabilité hivernale, nous sommes 44 agents mobilisés 7 jours sur 7, jour et nuit. Pour ma part, je m’occupe de charger le sel dans les véhicules : nous avons 3 saleuses et un chargeur pour réaliser cette opération. Le silo de stockage peut contenir jusqu’à 800 tonnes de sel. Il peut m’arriver d’accompagner mes collègues sur le terrain, en support, avec un petit véhicule. En parallèle, je suis chargé de former mes agents à la prévention des risques : l’utilisation du sel et des machines n’est pas anodine, nous sommes en effet constamment confrontés à des risques. Par exemple, nos véhicules sont équipés de lames, dont il faut savoir se servir, pour ne pas se blesser. La sécurité est une priorité» explique-t-il. .

    Pour une intervention «dès que nous recevons une alerte météo indiquant un épisode neigeux, nous nous préparons, mais nous ne chargeons le sel qu’au dernier moment, pour ne pas qu’il se détériore en restant stocké trop longtemps. Une fois dans les rues, nous le déversons sur la voirie : nous avons 3 types de sel, que nous répandons selon le genre de sol. Par exemple, nous dispersons le sel bio aux abords des écoles, pour qu’il ne soit pas agressif pour les enfants qui s’y rendent. Sur les espaces verts, c’est également le sel bio qui est répandu, pour préserver les sols, et l’environnement» explique cet agent territoriale qui est sur le terrain depuis 33 ans pour assurer la viabilité hivernale.

    «Avant d’être employé pour Grand Paris Seine Ouest, j’étais agent de la ville de Vanves. Depuis toutes ces années, le travail de salage a beaucoup évolué, et c’est tant mieux ! » explique-t-il en se souvenant de son passage au journal télévisé de TF1, il y a quelques années, aux côtés de Yann Texier, qui était alors le directeur des services techniques de la direction territoriale Est. «Un moins bon, en revanche, c’est lorsque l’on intervient pendant une pluie verglaçante : cela devient très dangereux pour nous, surtout avec un petit véhicule, et c’est justement pour ce genre de situation que nous suivons des formations et des stages en prévention des risques. Heureusement, nous n’avons jamais eu d’accidents. De manière générale, les riverains sont reconnaissants envers notre travail, et sont soulagés de nous voir intervenir : notre métier, c’est d’être à leur service».

  • UNE SEMAINE A VANVES SANS RENDEZ-VOUS MAIS OU POINTE UNE CERTAINE FORME D’EXASPERATION

    Le sentiment qui prévalait durant ce week-end était qu’un drame social se profile avec des dizaines de milliers de commerçants et artisans qui vont basculer dans la précarité, comme l’exprimait de nombreux professionnels, représentants des syndicats professionnels, jusqu’aux Chambres de Commerce et d’Industrie. «Plus que de la solidarité, il est temps de prendre conscience de la valeur ajoutée qu’apportent les commerçants à notre société» expliquaient ils. Beaucoup de Vanvéens déploraient la fermeture des magasins considérés comme nn essentiels. De son côté, la mairie indiquait qu’elle suit les instructions gouvernementales, et méne une campagne pour inciter à «consommez vanvéens», à commander des plats à emporter chez les restaurateus,  ou sur internet et venir retirer leur commande, comme à la librairie « le Cheval Vapeur ». Heureusement, le marché reste ouvert durant ce 2éme confinement contrairement au premier, la ville ayant ré installé les barrières et en limitant à 150 le nombre de personnes dans le marché, commerçants compris, avec l’entrée avenue Antoine Fratacci et la sortie rue Sadi Carnot.   

    Il n’empêche que beaucoup de vanvéens pensent que le gouvernement marche sur la tête. « Il ferme les petits commerces mais les grandes surfaces où il y a un grand brassage entre les clients et les employés qui déballent cartons pour remplir les rayons comme je l’ai constaté à Carrefour Market samedi matin, sont ouvert » témoignait une vanvéenne qui fait confiance aux petits commerçants pour respecter le protocole sanitaire comme le montre les files d’attente à l’extérieur de commerces alimentaires, car plus de deux personnes ne peuvent dans la boutique. Un autre constatait que le parc F.Pic est envahi le samedi matin et le dimanche matin par les joggeurs et les marcheurs qui constituent une longue file continue dans les allées,  parce que les équipements sportifs sont fermés comme le stade A.Roche. « D’autant plus que le temps est clément ! » constatait un habitué du parc ce week-end.

    D’autres encore, se sont étonnés que ce nouvel confinement ne se soit pas accompagné du stationnement gratuit comme Issy les Moulineaux l’avait de nouveau institué. Mais elle était la seule commune de GPSO jusqu’à ce week-end, puisqu’elle l’a ré-institué aujourd’hui, sous pression du président de GPSO. Les autorités municipales expliquent, par exemple, comme à  Vanves, que c’est une façon de lutter contre les automobilistes des villes riveraines qui viendraient faire ventouse, notamment Paris. D’autant plus qu’Anne Hidalgo explique carrément que c’est pour remplir les finances de la Capitale malmenées par les dépenses engendrées par cette pandémie (plus de 800 M€ en 2020) qu’elle ne l’a pas supprimée