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gpso - Page 49

  • ABATTAGES D’ARBRES CET ETE A VANVES : LES CERISIERS NE SONT PLUS BLANCS !

    Comme d’habitude l’abattage d’arbres suscite l’émoi des riverains que ce soit à Vanves ou ailleurs, d’autant lorsqu’il est effectué pendant les vacances, dans la torpeur de l’été, alors qu’ils sont absents. Et cela n’a pas manqué puisque les riverains  de la rue Jean Jaurés entre le carrefour Albert Legris et le parc des expositions (rues du Moulin et Marcel Yol) ont protesté à la suite de l’abattage de  quatre cerisiers du Japon.  Ils ne pourront plus chantonnés « les cerisiers sont blanc »  de Gilbert Bécaud. Auraient ils été victime de la canicule en n’ayant pas résisté au 42.9° comme ce fut le cas pour les cerisiers du quartier d’affaire de la défense ? C’est sûrement le cas.

    C’est ce que laisse entendre la mairie de Vanves avec GPSO en parlant des conséquences des derniers phénoménes météorologiques de début Juin et Fin Juillet, avec la chute d’arbres et de branches qui «ont démontré, une nouvelle fois, la nécessité de conduire une gestion attentive de ce patrimoine pour la sécurité du public».Ce qui fut la cas pour d’autres arbres abattus, 22 pour être exact,  sur le Plateau, 2 rue Pasteur, endommagés par un véhicule, 1 au Skate parck , 1 rue J.BLeuzen devant le Maine Anjou… 1% du patrimoine de 2300 arbres que compte Vanves

    En tous les cas, des riverains, individuellement ou  par l’intermédiaire de leur conseil syndical ont protesté auprés de la ville car ces arbress donnaient des fleurs mangnifiques au printemps depuis maintenant 30 ans. «Beaucoup de riverains pensent que la principale raison à cette coupe en catimini pendant les vacances, est d’éviter le travail de balayage les quinze jours que dure la chute des fleurs» a écrit l’un d’entre eux au maire, tout en constatant « que le coût des changements de fleurs dans les bacs et les jardiniéres et leur entretien, doit certainement dépasser celui d’un balayage ponctuel de fleurs dans notre rue, une fois par an» expliquait-il « Je me suis laissé dire qu’ils étaient dangereux, ce que je trouve très surprenant car je les regarde quotidiennement et ils ne m’ont pas paru plus fragiles que les cerisiers qui ont été laissés sur place et qui semblent, eux, bien vigoureux» ajoutait un autre

    Face à ces critiques et ces « on dit », La ville et GPSO qui gérent ce patrimoine arboré, expliquent «qu’il est étroitement surveillé avec un diagnostic phytosanitaire réalisé par un arboriste expert missionné par GPSO, ainsi que la réalisation de eux contrôles visuels par an : L’un en période hivernale pour apprécier la structure de l’arbre, et l’autre en période estivale pour apprécier sa vitalité pendant la feuillaison».  Tout en précisant que «la beauté apparente d’un arbre n’est pas gage de bonne santé : les signes de dépérissement sont bien souvent invisibles. Les arbres vieillissants sont également plus vulnérables aux attaques d’insectes, aux champignons et aux maladies qui peuvent se proprager à travers les blessures. Les arbres fragilisés sont bien souvent plus sensibles à certaines conditions météorologiques extrêmes (vent violent, orage, canicule…) et peuivent représenter un danger pour les passants»

    Mais ses riverains de la rue Jean Jaurés  craignent que « ces cerisiers  soient remplacés par des arbres «peupliers d’Italie» qui sont très vilains comme on peut le constater avec un exemplaire qui a été planté récemment dans la rue. Des arbres à croissance très lente, qui ne fleurissent pas ou très peu, et qui n’embellissent vraiment pas le cadre de vie» expliquait l’un d’entre eux. «Les remplacements de chaque arbre constituent alors l’opportunité de redéfinir bien souvent les conditions de plantations avec une nouvelle essence plus adaptée, ainsi qu’une nouvelle fosse de plantation pour assurer le développement à long terme de l’arbre et couvrir ainsi ses besoins nutritifs» indiquent la ville et GPSO.  

    «Il est dommage qu’aucune explication, aucune communication n’ait été faite sur cet abattage, et que vous n’ayez pas profité de la réunion de quartier du 3 juin pour nous en parler» s’étonnait un président de conseil Syndical.  La ville et GPSO Font alors remarquer que « qu’au préalable, un avis information avait été affiché sur chaque arbre concerné. Cet avis mentionnait également que chaque arbre sera remplacé par un autre sujet lors de la prochaine saison de plantation de Novembre 2019 à Janvier 2020, période plus propice aux plantations». Mais  rien sur son site Internet ou son compte facebook

  • FACE AUX CHANTIERS DE L’ETE 2019 A VANVES ET SUR LE TERRITOIRE DE GPSO, DES CITOYENS LANCENT UN MANIFESTE POUR LE PRESERVATION DES PAYSAGES URBAINS DU GRAND PARIS

    Sur le plan des Travaux à Vanves, les chantiers des immeubles avenue Guy Moquet ont bien avancés : les premiers occupants se sont installés depuis quelques mois dans la résidence du groupe Arcueil Immobilier,  alors que l’immeuble de Legrand Immobilier touche à sa fin, et qu’OGIC a entamé les fondations de son immeuble à l’angle Marcel Martinie/René Sahors bientôt suivi par Care Promotion.   La mairie a demandé à ses deux promoteurs de bien clôturer leur chantier, ce qui est le cas depuis quelques jours, car les grillages mis en place lors du chantier de démolition des pavillons,  laisser à désirer. La tour d’habitation au dessus du centre adminisration a vu ses façades aveugles rénovées… sans parler des autres chantiers, nombreux cet été à Vanves surtout du côté du Clos Montholon avec Franco Suisse et Bouygues Immobilier

    Enfin à  l’occasion de la première édition des Trophées de l’UNTEC 2019, PAREXLANKO, marque leader de la façade en France, Boyugues a reçu le Trophée Or dans la catégorie « Projets innovants constructions neuves », pour le projet NIWA. Les architectes souhaitaient jouer sur le contraste des matériaux naturels, entre le bois des brise-soleil et des panneaux de façade, rappelant l’aspect de la roche reconstituée. Pour cette réalisation, Parexlanko a mis en œuvre une solution ITE sur-mesure pour les 6000 m2 de façades, avec trois aspects de finition différents délimités par un joint creux.

    Mais, dans le même temps, sur le Plateau, des responsables de copropriétés auraient protesté contre l’abattage d’arbres, alors que circule depuis le début de l’été, sur les réseaux sociaux, un «Manifeste pour la préservation de la qualité des paysages urbains de la couronne parisienne. Nous sommes inséparables, nous les aimons. Ils ne seront pas abandonnés au bord d’une route, comme d’autres y oublient leurs promesses. Un  Manifeste, soutenu par 50 associations, qui aurait recueillit ses premiers encouragements :  Un Président de Conseil Départemental, un Vice-Président de la Métropole du Grand Paris, un Secrétaire général de la Fédération française du Paysage selon leurs instigateurs. «Faire de la métropole de demain une métropole plus verte, autrement dit un territoire plus respirable, plus vivable, plus agréable, selon les mots de M. Ollier, est difficilement compatible avec une ville toujours plus bétonnée. Vanves a encore ratée l’occasion d’être à la page. Il faut maintenant se mettre au vert, c’est ce que devrait pouvoir comprendre un politique, quel qu’il soit. La présence d’espaces verts n’est pas une excuse pour ne rien faire, alors qu’il faut renaturer une ville qui se densifie avec ces nouvelles constructions face aux canicules qui vont se multiplier comme nous l’avons vécu durant ces vacances, et qui seront de plus en plus fréquentes et longues afin qu’elles soient mieux supportés pas vos administrés» explique l’un des relais à Vanves de ce Manifeste

  • VANVES ET GPSO : JCDECAUX REMPORTE LE CONTRAT DE MOBILIER URBAIN PUBLICITAIRE

    JCDecaux SA (Euronext Paris : DEC) a  annoncé début Juillet,  avoir remporté, dans le cadre d’un appel d’offres, le contrat de mobilier urbain publicitaire de 6 villes du Grand Paris Seine Ouest (GPSO) sur 8. Avec ce contrat, JCDecaux fait son retour dans la ville de Vanves et renouvelle son offre dans les 5 autres villes (Chaville, Issy-les-Moulineaux, Marnes-la-Coquette, Meudon et Ville d’Avray).

    Ce contrat de 15 ans, qui prendra effet le 1er janvier 2020, s’inscrit dans le cadre de la réglementation locale de la publicité adoptée par l’intercommunalité (RLPI) au cours du 1er trimestre 2019. Il porte sur le design, l’installation, l’entretien, l’exploitation et la maintenance d’une offre complète de plus de 950 mobiliers urbains serviciels (abribus, sanitaires, mobiliers urbains d’information et d’affichage libre, journaux électroniques d’informations, colonnes d’affichage culturel, mâts porte-affiches, horloges …) et de 19 mobiliers urbains digitaux, le tout représentant près de 1000 faces publicitaires.

    Vanves, comme Issy les Moulineaux et Chaville, bénéficiera de mobiliers urbains digitaux de dernière génération, offrant une visibilité optimale tant à l’information municipale qu’aux campagnes publicitaires, grâce à leurs écrans LCD 86 pouces full HD. Positionnés à des emplacements stratégiques, L'un d'entre eux a été installé à l'angle Bd du Lycée et la rue Pruvot (sur la photo), ils permettront une communication en temps réel, contextualisée et géolocalisée avec des contenus dynamiques permettant une créativité sans limite, pour le plus grand bénéfice de la ville, des marques, des citoyens et des touristes. Des ports USB sont aussi proposés sur les abribus, dont certains seront également équipés de panneaux photovoltaïques. Avec des designs signés Sir Norman Foster, Philip Cox, Ora-Ïto, Martin Szekely ou JCDecaux selon les équipements, ces mobiliers sobres, élégants et personnalisés aux couleurs de chaque ville, s’intégreront harmonieusement au paysage urbain.

    Ainsi le Groupe Decaux  a proposé ses solutions les plus innovantes pour maîtriser l’impact environnemental des mobiliers, notamment en les reconditionnant à neuf, selon les principes de l’économie circulaire. Leurs performances énergétiques sont optimisées, notamment grâce à l’utilisation de la technologie LED et la modulation de l’intensité lumineuse, permettant de réduire les consommations électriques jusqu’à 60%. Le choix de matériaux nobles et recyclables tels que l’acier, l’aluminium, ou le verre garantit une qualité optimale de service durant toute la durée du contrat. Enfin, l’entretien des abribus sera toujours réalisé à l’eau de pluie, avec des produits respectueux de l’environnement. «Ce contrat vient renforcer notre offre publicitaire en Ile-de-France et contribue à l’accélération du déploiement du digital urbain, au bénéfice des marques, des collectivités et de l’information des citoyens» indiquait Jean-Charles Decaux, Codirecteur Général de JCDecaux, courant Juillet