Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

département des hauts de seine - Page 42

  • ELECTIONS CANTONALES A VANVES : GUY JANVIER (PS) OPTIMISTE : « C’EST JOUABLE ! »

    « On peut être optimiste. Bernard Delanoë nous l’a dit aux vœux du PS 92 : C’est jouable en ce sens que l’on ne peut pas dire que le président de la République fasse l’unanimité » a déclaré Guy Janvier conseiller général (PS) sortant devant les militants socialistes réunis à l’école Max Fourestier samedi après midi pour leur galette des Rois organisé par Fabian Estellano, secrétaire de section. « Cela fait 25 ans que le milite à Vanves et 30 ans au PS. C’est un combat de fonds pour défendre les idées ded justice, de cohésion sociale, de progrés, de laicité. Il n’y a aucuine raison pour que je ne continue pas à être conseiller général. On se bat depuis un bon mois enn faisant du porte à porte, dans une ambiance sympathique. Et on entend beaucoup de choses : « On a du mal à payer les fournitures scolaires, à partir en vacances etc… ». Les français se sont fait berner par Nicolas Sarkozy. On est au centre des inégalités dans ce département. De 2004 à 2007, il a été présidé par Nicolas Sarkozy qui disait : « Je veux en faire le laboratoire de ce je ferais si je suis élu président de la République. Et il a fait le contraire de ce qu’il a dit » a-t-il expliqué en donnant quelques exemples.

    Il s’est plaint de ne pas avoir été associé au chantier du couloir de bus de la rue Antoine Fratacci menée pâr le département alors qu’il est conseiller général de Vanves. « La pluparty des leviers du pouvoir appartient à un clan qui n’accepte pas de discuter. Ces gens là n’ont aucune moralité » a-t-il ajouté en visant surtout le couple Balkany. « Notre campagne, c’est celui du PS. Je suis fier d’être dans un parti dans lequel on peut s’exprimer, dans lequel il y a de la démocratie. Même s’il y a quelquefois de la cacophonie. Mais il faut refaire le coup de 2004 » a-t-il expliqué en répondant aux critiques : « Certains disent que je n’ai rien fait. C’est résumé dans la plaquette que je distribue, tiré à 15 000 exemplaires. J’ai cru comprendre que cela agace certains. Comme les 6 M€ pour l’ESS (Econmie Sociale et Solidaire) que le Conseil Général a voté et qui sont à mon actif ». A une question, GuyJanvier a précisé que « Vanves n’a jamais eu autat de subventions que depuis je suis conseiller général »

    Pascal Buchet, conseiller général/Maire de fontenay aux Roses est venu passer un moment avec les socialistes de Vanves entre deux galettes à Montrouge et à Nanterre. « Guy Janvier est un conseiller général qui travaille beaucoup sur les solidarités. Il y a 24 campagnes qui sont lancées dans les Hauts de Seine. Nous vivons un moment essentiel : Les français en ont marre de Sarkozy, les altoséquanais en ont marre des élus UMP qui gérent ce département » a-t-il déclaré en parlant des grands rendez-vous pour les socialistes qui auront à s’exprimer le 19 Mai sur le projet PS, avec les primaires en Novembre. Entretemps, il y aura les sénatoriales : « Il manque 12 sénateurs pour faire tomber le Sénat à gauche. Nous en avons 2 sénateurs de gauche dans les Hauts de Seine. Nous pouvons en avoir trois » a  expliqué le candfidat tête liste PS aux sénatoriales dans le département. Les militants ont ensuite partagé la galette et un verre de cidre avec leurs élus dont Jean Cyril Le Goff, Anne Laure Mondon, Fabian Estellano, Guy Janvier….

  • LES DERNIERS VŒUX A VANVES CE WEEK-END : TRES POLITIQUE ET CHALEUREUX

    Le dernier week-end de Janvier sera marqué par la « galette des rois » organisés par le PS,  les « Vœux du Cœur et du Soleil » de l’Amicale des Pieds Noirs qui réunit ses adhérent comme c’est la coutume depuis longtemps,  et les Conseils de Quartier de Vanves pour des Vœux qui ne sont plus décentralisés. Ainsi la section PS de Vanves et son secrétaire de section Fabian Estallano organisent les voeux des socialistes ce samedi à l'école Max Fourestier à partir de 16H autout des élus, Guy Janvier (conseiller général), Anne-Laure Mondon, Jean-Cyril Le Goff et Fabian Estellano. Occasion d’ aborder les grandes échéances de l'année 2011 : Cantonales, Sénatoriales en présence de Pascal Buchet, secrétaire fédéral et candidat au Sénat,  et primaires ouvertes pour les présidentielles. Le lendemain  ce sera au tour de la Fête des trois quartiers pour le nouvel an. La ville a décidé de regrouper en une seule fois la fête qui se déroulait dans trois lieux différents jusqu’à  l’année dernière. C’est une façon de célébrer les vœux depuis que la Mairie a décidé de ne plus en organiser pour les personnalités et les forces vives, pour des raisons d’économies. C’est l’occasion de rappeler l’histoire des ces fêtes de quartier pour le nouvel an  et des vœux organisés par la municipalité depuis de nombreuses années. 

     

    Cette tradition  a été lancée par Guy Janvier (PS), alors maire de Vanves qui avait souhaité remplacer la traditionnelle réception des personnalités et forces vives de Vanves  « qui ne correspondait à l’attente des vanvéens » par ces fêtes décentralisées dans les quartiers dés le 1er Janvier 1996, sept mois après son élection surprise à 2 voix, qui ont attirées beaucoup de vanvéens.  L’idée a été retenue et poursuivi par son successeur Bernard Gauducheau (NC) lorsqu’il a été élu en 2001. Mais celui-ci lorsqu’il était dans l’opposition municipale avait instituée une fête semblable mais de l’Opposition dés 1997. Elle a été organisée un certain 18 Janvier 1997 par l’association « Vivre Vanves »,  mais dans le préau de l’école Larmeroux. Premier acte de résistance de l’opposition municipale avec 300 vanvéens qui s’étaient déplacés dont Guy Janvier avec 8 co-listiers. Mais Bernard Gauducheau avait refusé de céder le micro au maire qui était alors reparti courroucé. En 1998, il l’avait organisé avec 28 associations et il avait laissé le maire s’exprimer au micro, celui-ci se faisant copieusement siffler par l’assistance à cause de propos très partisans…. Et il avait changé d’école pour Marceau en 2000, cette fête de l’opposition municipale pour le nouvel an étant devenue une tradition…que n’a pas perpétué Guy Janvier lorsqu’il s’est retrouvé dans l’opposition municipale, ni même lorsqu’il a été élu conseiller général. A moins que cela devienne une habitude à partir de maintenant, à l’occasion de ses cantonales 2011.  

    Guy Janvier avait donc supprimé les Vœux de la Municipalité que Bernard Gauducheau a ré-institué mais vite abandonné avec la crise contrairement à d’autres. Au début de son mandat, pour 2002,  il en avait organisé trois pour les personnnalités avec les présidents d’associations, les commerçants et chefs d’entreprises avec les enseignants, et les nouveaux vanvéens qui est la seule à avoir subsister avec la mise en avant des citoyens d’honneur à partir de 2002. Il n’en a plus organisé que deux à partir de 2006 où il a  regroupé tout le monde sauf pour les nouveaux vanvéens bien sûr.  2007 est a marqué une pierre blanche puisque c’est que lors de ses Vœux que Bernard Gauducheau s’est vu remettre sa légion d’honneur par Nicolas Sarkozy alors  ministre de l’Intérieur, en présence de très nombreuses personnalités départementales et locales. La dernière a été organisée en 2008 à la veille des élections municipales de Mars et vit se dérouler un numéro assez comique : Alors que Bernard Gauducheau accueillait ses invités à l’entrée de la salle des fêtes,  Guy Janvier (PS), conseiller général s’était placé au niveau des vestiaires  au rez-de-chausssée et saluait tous les invités. Isabelle Debré (UMP) s’étant aperçu de la manip ou la supercherie, s’était finalement installé entre les deux au niveau du premier palier de l’escalier d’honneur pour saluer les invités avec Bernard Roche.

    Mais cette tradition des vœux de la municipalité remonte très loin. En regardant dans les archives de la mairie, on s’aperçoit que du temps de Frédéric Pic, les vœux se déroulaient à la mairie mais d’une autre façon : Les vanvéens étaient invités à venir présenter leurs voeux à la municipalité le 1er Janvier, et le maire avec son équipe municipale les recevaient dans son bureau ou dans la salle des fêtes. Plus prés de nous,  du temps d’André Roche (1965-1980), ils se déroulaient sous forme de réception au gymnsase qui porte aujourd’hui son nom. Puis ils se sont déplacés au théâtre le Vanves en Janvier 1983, quelques semaines après son inauguration à l’automne 1982, puis au gymnase du plateau Maurice Magne du temps de Gérard Orillard (1980-90) et de Didier Morin (1990-95). Ils ont vu au fil des années défiler de nombreuses personnalités surtout à la veille d’élections importantes avec des personnalités comme Jacques Baumel, Charles Pasqua même lorsqu’il était ministre de l’intérieur etc…

  • VANVES AU FIL DU QUOTIDIEN : DU GRAND PARIS AUX CANTONALES AVEC « JOJO » LE TITI VANVEENS

     

    Bernard Gauducheau a assisté hier matin au clash entre Europe Ecologie-Les Verts et Jean Paul Huchon avec le reste de la majorité municipale de Gauche après l’accord Etat-Région Ile de France sur les transports en Ile de France, avant d’aller inaugurer le foyer de 43 logements construit à l’emplacement d’un entrepôt et d’un bâtiment d’habitation, à l’angle des rues Sadi Carnot/Danton. Ces studios sont réservés à des agents de l’Etat (du ministère de la Défense)  en formation ou détachés provisoirement en région parisienne. Un peu plus tard dans la journée, il présidait la cérémonie devant la stéle des victimes vanvéennes du Nazisme Square de l’Insurrection pour la journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’holocauste. Alors qu’Isabelle Debré était présente aux Vœux de l’OPH92 qui gére 37 000 logements dans les Hauts de Seine dont de très nombreux sites à Vanves (JP Potin, Rue de Châtillon…). Occasion de faire du lyobbing auprés du ministre Maurice Leroy en charge du dossier du Grand Paris pour défendre la station de Vanves de la ligne du futur métro Grand Paris Express

     

     

    GRAND PARIS EXPRESS : GAUDUCHEAU DEFEND LA GARE EN OPTION DE VANVES

    « Je reste mobilisé pour que ce futur métro contribue à améliorer les déplacements des franciliens et des Vanvéens en IDF.  Il impulsera une nouvelle dynamique renforçant l’attractivité économique métropolitaine, tout en créant des emplois, des logements dans une région Capitale synonyme de qualité de vie. Vivant dans la zone dense de la métropole et à la croisée de territoires d’avenir, les habitants de Vanves et de ses communes voisines ont légitimement le droit d’accéder à ce nouveau transport public ». Il est vrai que sa ville bénéficie dans le nouveau tracé d’une gare en option (Vanves/Malakoff) en correspondance avec la ligne Montparnasse sur laquelle il s’est battu.

     

    LE DERNIER VOYAGE DE « JOJO » LE COMMUNARD

    Quelques vanvéens le maire s’étaient déplacés pour accompagner à sa dernière demeure, Georges Munier dit « Jojo » au cimetière de Billancourt. Ils ont été étonnés par la foule des amis présents et surtout de tous ces drapeaux rouges des Amis de la Commune (de Paris), une association créée voilà plus d‘un siécle au lendemain du retour d’exil de ceux qui avaient vécu ce soulévement. Et plusieurs témoignages ont rappelé lors de ces obséques son action et son engagement au sein de cette amicale, s’occupant surtout des activités fêtes et banquets, car tous ont célébré sa bonne humeur, ses histoires (drôles), surtout son refus de l’injustice, ce regard « droit dans les yeux » lorsqu’il s’adressait à ces interlocuteurs, ses expressions « garde tes pieds au sec » lorsqu’il quittait un lieu etc…Même le maire y allé de son petit hommage à ce titi parisien que le provincial qu’il était, a découvert avec son accent, et qu’il rencontrait souvent dans son quartier et qu’il a aidé. Quelques chants communards, et « Jojo » rejoignait sa dernière demeure dans le cimetière d’un quartier, alors ouvrier et industriel, où il est né.  

     

    CANTONALES :

    GAUDUCHEAU S’EN PREND A L’OPPOSITION  

    Bernard Gauducheau a réuni Jeudi soir ses troupes UMP et NC à l’école Larmeroux, avec Françoise Saimpert, sa suppléante-maire adjoint, pour entretenir la campagne et « remuer le cocotier » grâce à cette seconde réunion. Frédéric Lefebvre est même venu faire passer le message de la mobilisation devat près d’une centaine de vanvéens. Il a évidemment expliqué qu’un maire, conseiller général qui fait parti de la majorité départementale, est le mieux placé pour accélérer les dossiers : « C’est un peu fort de café de se dire qu’on fait le travail, qu’on obtient ces aides alors qu’on a un conseiller général qui est l’opposition départementale, qui vote contre tout. N’avez-vous pas remarqué que tout ce qu’il a inscrit dans son bilan c’est : « J’ai obtenu… » ! C’est une imposture qu’il faut dénoncer » a expliqué Bernard Gauducheau en reconnaissant que « certains peuvent penser que c’est de bonne guerre ! Mais il faut voir les choses avec sérénité et objectivité : Elu en 2001 avecd 256 voix d’avance, on a perdu en 2004 de 90 voix dans un contexte difficile avec la vague rose, parce que tout se joue sur 400 voix à Vanves. C’est pourquoi avec l’UMP et le NC, on n’a pas attendu le dernier moment pour se positionner, mener un travail de pédagogie et de fonds. Car l’un de nos handicaps est l’abstention ». 

    Il a rassuré ses troupes : « Janvier traîne. On a un coup d’avance ! Il coure derrière nous. On va présenter notre programme alors qu’il défend encore son  bilan. D’ailleurs qu’est-ce qu’il a fait lorsqu’il a été maire ? Et ce qu’il a fait, n’a pas marqué les mémoires. Alors que nous en avons fait beaucoup plus en 6 ans que lui lors du premier mandat. D’ailleurs les vanvéens ,e se rendent pas compte de ce que l’on a fait. On s’en aperçoit à l’extérieur lorsqu’on nous dit que Vanves a changé. Alors qu’à l’intérieur de notre ville, on nous dit que tout va mal ! ». Et de poser la question : «  Et les autres  (candidats) ! On ne les voit pas ! Ne parlons pas des verts ! Ily a pourtant un élu régional que l’on ne voit jamais ! ». Isabelle Debré, sénateur, est venu le rejoindre à la fin de la réunion, pour rappeler à tous qu’il faut lui faire confiance car « il connait bien sa ville et il ailme bien sa commune ».