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conseil général des hauts de seine - Page 28

  • CANTONALES ET ANNIVERSAIRE AU PS DE VANVES

    « Le 82 fête son anniversaire » aujourd’hui à partir de 16H. Le PS de Vanves s’est installé depuis plus d’un an au 82 de la rue Sadi Carnot qui a connu moultes réunions internes, permanence et réunions des élus municipaux et du Conseiller général Guy Janvier, et votation interne dont les dernières pour désigner les candidats aux cantonales et aux sénatoriales. Fabian Estellano, secrétaire de section, a organisé une petite fête qui commencera par un dialogue et une rencontre avec les élus socialistes à 16H et se poursuivra par un apéritif à 18H30. Il sera sûrement beaucoup question des élections cantonales de Mars 2011 qui occupent beaucoup les esprits.

     

    Occasion de revenir sur le livre de Guy Janvier « itinéraire d’un socialiste en Sarkozie » dans lequel il consacre le chapitre 5 au « département le plus riche et le plus inégalitaire de France ».

     

     

    Occasion dans la première partie de revenir sur son élection le 28 Mars 2004 avec 555 voix. « Quatre fois le chiffre porte-bonheur ! Il y avait de quoi faire la fête… J’avais battu celui qui m’avait pris la mairie trois ans plus tôt. C’était une belle revanche ! Et la preuve que les vanvéens gardaient un bon souvenir de mon mandat de Maire ». Et d’expliquer qu’il a apprit de Gaston Defferre « le porte à porte qui est un exercice bien conu de tous ceux qui font de la politique à l’ancienne…Il disait que les élections « se gagnent par les hauts » sous entendu, « les hauts d’immeubles ». Il fallait grimper jusqu’au dernier étage et redescendre ensuite, palier par palier, appartement, frapper à chaquie porte et discuter, tenter de convaincre, remercier…surtout ne pas entrer, car c’était une perte de temps…L’exercice avait ses inconvénients : on risquait de déranger ; mais aussi ses avantages : on rencontrait toutes sortes de gens, des pour et des contre, et la discussion était rarement inintéressante »… « Je suis en tous les cas persuadé que mon élection à l’arrahé (98 voix d’avance) est dûe, pour beaucoup à ce formidable « peignage » de la ville  avec mes camarades du PS et les amis non encartés… ».   Et c’est ce qu’il a fait lors des Municipales de Mars 2008, mais sans que cela lui réussisse cette fois là.

    Puis de dresser un portrait de Nicolas Sarkozy - « Pendant 3 ans, j’ai vu comment il fonctionnait. Inquiétant ! » - en racontant sa première rencontre avec ses 5 collégues : « Je garde un souvenir étrange de cette première rencontre avec celui qui allait devenir le président de la République. Un homme petit, mal fagoté dans un costume de velours côtelé marron, se voulant afable »… « Il savait, pour bien connaître ce département dont il est l’élu depuis bientôt 30 ans, qu’il fallait, s’il voulait avoir la paix, ne rien  changer à son fonctionnement ». Et en critiquant la méthode : « ce sont les mêmes ficelles qu’il utilise aujourd’hui au sommet de l’Etat : quelques discours frappés du sceau du bon sens et un décalage complet avec les actes…Vu sa côte de popularité aujourd’hui, les français semblent enfin avoir compris ». Jean Sarkozy qui a presque l’âge de ses fils ne vaut pas mieux à ses yeux, surtout après l’affaire de l’EPAD : « Totalement inexpérimenté, ce qui était normal, d’un anticommuniste primaire affligeant, ce qui l’était moins, et trop siuvent cornaqué par sa marraine Isabelle Balkany »

     

    Dans une seconde partie, rappelant qu’il s’est spécialisé dans les interventions portant sur les questions budgétaires et les problémes sociaux, il essaie de démontrer que « notre département est un des plus riches et des plus inégalitaires de France » en le comparant à d’autres. « Notre département dépense 56,8% de son budget de fonctionnement en dépense de solidarité. C’eest inférieur de trois points à la moyenne nationale qui se situe à 60,2% ». Il constate que si les dépenses de fonctionnement ont augmenté de plus de 18% entre 2005 et 2008, celles de l’action sociale (hors RMI) ne progressent que de 15,8%, celles de la prévention médico-sociale de 11,7% et  celles du RMI seulement de 4%  « alors que ces dépenses devraient aider ceux de nos concitoyens les plus touchés par la crisee ». Et de dénoncer les carences : difficulté à se faire une idée juste du « taux de pénétration » des services de PMI dans les populations qui en ont le plus besoin, l’absence d’un outil d’information sur la situation des enfants en danger et d’un schéma en faveur de l’enfance handicapée, un fonctionnement de la Maison Départementa du Handicap pas satisfaisant, l’insuffisance de l’aide départementale aux communes pour assurrer le diagnostic, l’orientation et l’accompagnement des personnes très agées souvent dépendantes etc…Et de dénoncer « le scandale que constitue l’absence totale de mesure d’évaluation des actions menées » malgré ses multiples demandes ». Dans une troisiéme partie, « Faites ce que je dis, pas ce que je fais », il dépeint dans plusieurs domaines ce qu’a dit et ce qu’a fait Nicolas Sarkozy dans le département : Education, handicap, développement durable, démocratie, Insertion des Rmistes, cimul des mandats, logement…Et de constater finalement que « sur le terrain, dans nos villes et dans nos quartiers, les inégalités, au lieu de se réduiren s’accroissent, et que le fossé ne cesse de s’agranduir entre celles et ceux qui subissent la crise de plein fouet et les autres. C’est le maintien de la cohésion sociale qui est en jeu, dans notre dépatement, comme dans notre pays ainsi que le montre le dernier rapport de l’observatoire des zones urbaines sensibles (ZUS) ».

  • CHANTIER DU COULOIR DE BUS ET MONDIAL DE L’AUTO : DOMMAGES COLLATERAUX SUR LE CD 50 A VANVES

    Avec les travaux de la rue Antoine Fratacci, les commerçants n’ont plus la place de se garer le samedi matin, jour de marché, et encore moins lorsqu’ils ne peuvent pas le faire rue Sadi Carnot entre les entrées du Marché et du cimetière municipal. D’autant plus durant un Mondial de l’Auto car les visiteurs se garent n’importe où, notamment sur ces places qui devraient être  réservées dés le vendredi à 18H.  Résultats samedi matin : les commerçants du marché étaient très mécontent car la police municipale n’avait pas trouvé un autre moment pour verbaliser tous ceux qui étaient mal garés, certains sur les trottoirs, il est vrai…alors que peut être, très occupé, la veille, ses agents n’avaient pas eu le temps ou pu relever les bitonios le long des trottoirs…toujours à cause du Mondial de l’Auto, les véhicules d’enlévement étant occupés par ailleurs. Mais voilà, les commerçants ont dû courir s’expliquer et parlementer avec les agents de police municipale lorsqu’ils mettaient leur petit PV vert. Le placier a même eu une explication avec eux. Pourquoi la Police Municipal n’a-t-elle pas fait preuve de mansuétude à un moment où il leur est difficile de se garer et de travailler entre un chantier et un mondial. D’autant plus que c’est bien la première fois qu’elle faisait preuve, là, de sévérité et de célérité. Deviendrait t-elle de surcroît un agent anti électoral à quelques mois d’échéance importante ? A moins qu’elle ait eu quelques instructions pour faire preuve de moins de mansuétudes… depuis l’arrivée de la nouvelle commissaire de police décidée  à ne plus faire de passe-droit. 

    Mais ce n’est pas tout, car les clients de ce marché, comme beaucoup de riverains, se demandent bien pourquoi les responsables du chantier du couloir de bus, ont enlevé les plaques de ciment des trottoirs, alors que les travaux concernent pour l’instant le site propre lui-même au milieu de cette rue et la chaussée. Ils ne sont pas très « fute-fute » comme on dit dans le langage populaire car ils ont rendu les trottoirs incommodes pour ceux qui ont des difficultés à marcher comme les personnes âgées gênées. Mais dans leur bêtise, ils ont de la chance, car la pluie ne s’est pas encore mis de la partie, car dans ce cas là,   ces trottoirs pourraient bien se transformer en véritable bourbier. Mais il parait qu’on ne peut rien dire ou faire comprendre à ses technocrates ou X Ponts de l’Equipement qui organisent et réalisent de tels chantiers que ce soit au conseil Général et au Conseil Régional.   

  • RETOUR SUR UN CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES (Suite et fin ) : DES JEUNES AUX SPORTIFS, LA REPUBLIQUE AU CŒUR DES DEBATS

    Vanves Au Quotidien continue de revenir  sur le conseil municipal du 28 Septembre dernier qui a étudié de très nombreux dossiers divers et variés des jeunes aux sportifs en passant par les régles de vie autant au conseil municipal qu’entre communautés.

     

    CARTE : La municipalité a décidé de mettre en place une carte d’adhérents au pôle jeunesse 16/25 ans qui donne accès à diverses activités sportives (Jiu-Jutsu brésilien, musculation et foot en salle), des ateliers (enregistrement musical, créatioon d’un clip vidéo…), des actions de citoyenneté (visite du Parlement Européen de Bruxelles), permet de bénéficier sous conditions des aides aux projets (Loisirs, formation BAFA, « Envie d’agir », humanitaire…), et de bénéficier de tarif préfentiel au cinéma Le Vanves, au théâtre, à Panopée, aux associations souhaitant particper à ce dispositif. 

     

    MEDIATION: Vanves devrait bénéficier de la mise en place de permanence de médiation civile (familial, social, commercial…) grâce à l’Association Hauts de Seine Médiation, à destination des particuliers et des entreprises dans les locaux d’Albert Gazier. « La médiation, mode alternatif de réglements des litiges vise à rechercher l’équié et à renouer le lien social. Elle accompagne les personnes en litige vers une construction par elles-même d’une solution librement acceptée et définitive, grâce à une tierce personne » explique cette association qui organisera des permanences de 3H deux fois par mois le samedi. Elles seront complétées par des permanences de médiation familiale organisées par l’UDAF 92 (Union Dépatementale des Associations Familiales) à Albert Gazier ou à Sébastien Giner.

     

    SYNTHETIQUE : La municipalité a décidé de transformer le terrain annexe de football stabilisé en gazon synthétique. En 1995, ce terrain en mélange terre-sable stabilisé avait subi des opérations lourdes de rénovation pour recevoir une surface de jeu en sable fillerisé de schiste de houille stabilisé mécaniquement. « Malgré un entretien régulier et sérieux de cette surface sportive en vue d’en ralentir l’altération liée à son utlisation, son  niveau d’usure et de déformation ne permet plus de jouer dans des conditions de sécurité satisfaisantes et pénalise fortement les utilisateurs lors des périodes d’intempéries et de gel » explique t-on au service des sports. C’est pourquoi, après avoir reportée cette décision depuis 4 ans, la ville a décidée de réaliser un revêtement en gazon synthétique dit de « dernière génération » qui devrait permettre d’augmenter sensiblement le nombre d’heures d’utilisation et permettre l’homologation par la FFF (Fédération française de Football), impossible pour un terrain en l’état actuel. Maxime Gagliardi, maire adjoint chargé des Sports a indiqué que le coût devrait se monterr à 54 000 € dont une partie devrait être financé par des subventions demandées au Conseil Général et au CNDS (Centre National du Dévelopement du Sport). Les travaux pourraient commencer à la Mi Mai pour durer 4 à 5 mois. Guy Janvier (PS) a déclaré qu’il n’était pas persuadé « que tout le monde soit satisfait par cette transformation. Beaucoup de manifestations ont lieu sur ce terrain dont des concours et des championnat de boules » en faisant référence à la section Boules Lyonnaises. Maxime Gagliardi a répliqué que « ce projet fait l’unanimité. On a travaillé sur un proje de boulodrome couvert avec la section boules lyonnaises. Et nous avons arrêté un calendrier de travaux qui ne perturbent pas les concours prévus durant cette saison 2010/11 ».

     

    RESERVE D’EAU : Le service des Sports devrait profiter de ses travaux pour implanter une cuve de stockage d’eau de pluie de 600 m3 qui serait enterrée sous le terrain annexe de football. Cette cuve sera alimentée en continu par le réseau de drainage du terrain de football dont la superficie de captage des eaux de pluie est de 7000m2, ainsi qu’une partie de la toiture de la piscine d’environ 450 m2. Le volume stocké pourra être complété ponctuelement par les eaux de baignade de la piscine traitées à l’ozone, lors des 3 opérations annuelles de vidange des bassins. Ainsi l’eau stockée alimentera le réseau d’arrossage automatique du terrain d’honneur de football, et une vanne de puisage permettra également le remplissage des citernes mobiles assurant l’arrossage des jardinières de la ville ainsi que des laveuises de voirie. Le coût des travaux se montent à 240 000 € et devrait faire l’objet de subventions du Conseil Général et de l’Agence de l’Eau SeineNormandie.

     

    PASSERELLE : la ville a actualisé sa convention avec l’association Secours Catholique pour la mise à disposition d’un logement passerelle qui marque sa volonté de participer à l’insertion sociale de familles vanvéennes en difficulté. En contrepartie, le Secours Catholique apporte sa logistique humaine et matérielle afin de les prépaeer à l’entrée ultérieure dans un logement permanent.

     

    PATRIMOINE : Le Conseil Municipal a voté la demande de subvention auprès du Conseil Général pour la restauration du tableau « Le baptême de Clovis par Saint Remy » œuvre anonyme du XIXème siécle appartenant à la ville et provenant de l’église Saint Remy. « La couche picturale présente des altérations importantes, manifestement évolutives, et la toile est déchirée. En outre, le cadre est très endommagé » indique t-on au service des Archives Municipales qui a reçu ce tableau en dépôt. Cette œuvre a été reproduite dans le « Guide des tableaux conservés dans des édifices publics et privés » publié en 2006 par le Conseil Général des Hauts de Seine. Le coût de sa restauration est estrimé à 4600 €. Le PS s’est quelque peu offusqué, par la voix de Fabian Estellano qui a fait remarquer « qu’il n’y a pas que le patrimoine religieux, mais aussi le pâtrimoine laic  » en citant pour exemle le Pavillon Mansart du lycée Michelet, le monument aux morts (tous restaurés), la Villa Dupont, le parc F.Pic, la Maison de Retraites Larmeroux « dont l’entrée, les haurs reliefs et les statues pourraient être mieux valorisés » - « C’est ce que l’on fait au quotidien » a répliqué Bernard Gauducheau.

     

    REGLEMENT : Bernard Gauducheau a jeté l’éponge lorsque le conseil municipal a abordé la proposition d’allonger le délai de 72 H avant le conseil municipal pour déposer des questions orales, en mentionnant qu’il n’intége pas les week-ends et jours feriés « afin de permettre des recherches documentaires et un travail d’instruction préalable » qui peuvent être mené en dehors de ces jours de repos : « Notre n’est pas de pénaliser l’opposition, mais de donner un maximum d’informations ». L’opposition n’a rien voulu entendre par la voix de Jean Cyril Le Goff (PS)  qui a expliqué que « le délai de 72H est limite, qu’il est généralement de 48H » et « qu’une décision du tribunal administratif a rendu un jugement dans ce sens le 24 Juiin 2009 ».  Du coup le maire tenta d’expliquer que l’opposition risque de ne pas être satisfait des réponses sur lesquelles les services n’auront pas eu le temps de travailler. « Prenez vos rezsponsabilités et nous prendrons les nôtres ! » a répliqué JC Le Goff. « Et bien, on vous fera une réponse expédiée. Et on n’ira pas jusqu’au tribunal administratif » a conclu le maire en retirant la délibération.

     

    ACCIV : L’association Cultuelle de la Communauté Israélite de Vanves (ACCIV) a finalement décidée de revoir à la baisse de façon significative son projet initial de travaux  et de se contenter d’un réaménagement intérieur des locaux actuels du square Jarrousse, situé dans l’ancienne cuisine Municipale, face à de nombreuses oppositions de riverains et de certains « laicards ». Une décision qui a été entérinée par le Conseil Municipal et qui fera l’objet d’une convention avec la ville au lieu d’un bail emphytéotique. Pierre Toulouse (Verts) a insisté sur le fait que l’on est bien dans l’attribution d’un local à une association cultuelle, en faisant remarquer « qu’une autre association ne bénéficie pas d’un tel local et d’une telle convention », en citant l’association franco-musulmane Tous Ensemble, et en parlant « de citoyens lésés ». « Tous Ensemble bénéficie d’un local avec une participation symbolique. Et c’est une association cultuelle » a répliqué Bernard Gauducheau. Du coup JC Le Goff (PS) a demandé ce qu’il en était de l’APAHJ – «Elle est relogéé » selon le maire. Du coup Lucile Schmid (Verts) a tenté de relancé le débat en parlant de « redconner une place correcte aux musulmans. Il s’agit d’égalité de traitement. Et les associations cultuelles ont un devoir de parler er d’échanger sur ce point avec nous » - « Le bien vivre ensemble est aussi de prendre le temps de s’accepter et de vivre ensemble » a-t-il répliqué.