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cogedim - Page 4

  • RETOUR SUR UN CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES TRES CHARGE

    Vanves Au Quotidien revient sur le conseil municipal du 28 Septembre dernier aujourd’hui seulement car l’actualité vanvéenne et régionale a été très riche ses derniers jours.

     

    SADI CARNOT : 724 912 € est le montant de la participation de la ville de Vanves à la requalification de la voirie et la rénovation de l’éclairage public des rues Sadi Carnot, Marceau et de la place du 8 Mai 1945, sur un montant total de 1 676 725 €, financé par GPSO. Rappelons que ces travaux doivent redonner à cet axe, la place aux piétons et vélos tout en permetant aux personnes de se réapproprier l’espace public, en favorisant le confort dans le déplacemernt des gens non mpotorisés, et en créant des zones de convivialité. Guy Janvier (PS) a demandé « si une concertation sera organisé avec les commerçants de la place du 8 Mai 1945….pour éviter ce qui a été fait Place de la République » -  « On refera un complément de communication » a assuré Bernard Gauducheau, maire NC.

     

    TOIT ET JOIE : 2,9 M€ est le montant de la garantie d’emprunt  octroyé par la ville de Vanves à la société d’HLM « Toit et Joie »  qui l’a siousdcrit à la CDC pour racheter à la société coopérative de production d’HLM « Maison Familiale de la Région Parisiene » un immeuble de 309 Logements situé 14 rue Auguste Comte et 5 rue Louis Vicat. En contrepartie, elle mettra à la disposition de la commune un contingent de 6 logements (20%).

     

    ARBRES : Dorénavant l’entretien des arbres plantés sur les voies départementales ne sont plus gérés par la commune de Vanves. C’est l’une des conséquences de l’accident qui s’était produit avenue du Général de Gaulle à la limite de Vanves et d’Isssy les Moulineaux durant les vacances de l’été 2009. Le Conseil Général a dû renoncer à cette délégation de compétence pour des raisons juridiques le 25 Juin dernier et assurer l’entretien dece patrimine à partir du 31 Décembre 2010.  Du coup, comme Vanves a dû confier à l’interco (GPSO) cet entretien jusqu’à la fin de l’année,  la ville ne disposant plus des moyens humains et techniques nécessaires pour le faire. Ce qui explique aussi le retard pris – d’un an - pour le réaménagement du parc F.Pic.

     

    SACRISTIE : Les travaux de rénovation de la sacristie et des vitraux de l’église Saint Remy, avaient amené l’entreprise Rossi à vérifier et à remplacer plusieurs joints et des volumes de verre endommagés suite à la découverte derrière l’habillage en bois des murs d’infiltration d’eau provenant d’un défaut d’étanchéité des vitraux situés sur la façade pignon. . Mais un fort taux d’humidité dans les murs situé en périphérie du local de la sacristie a été repéré grâce à l’apparition de tâches sur les murs. Les responsables de cette entreprise ont pensé qu’il s’agissait d’infiltrations enprovenance de l’ancienne toîture vétuste dont la couverture a été refaite. Mais de nouveaux relevés d’humidité réalisé un an après, ont révélé un taux élevé d’hulmidité s’expliquant par un phénoméne de capillarité du fait de l’ancienneté du bâti, et de son positionnement en bas du jardin du presbytére. Ainsi de nouveaux travaux ont été préconisés avec la mise en place d’un habillage simple des murs en périphérie, pour le moment traité avec un enduit ciment et chaux, afin de pouvoir terminer la remise au propre de l’ensemble de mla sacristie.  Ils ont été confié à la société Rossi pour un montant de 10 995 €  

     

    CHAPELLE : Le Conseil Municipal a lancée la réhabilitation avec ravalement de sa façade, de la chapelle de la Maison de Retraite Larmeroux en autorisant son directeur, à déposer une déclaration préalable pour ses travaux. C’était attendu depuis longtemps par de nombreux vanvéens attachés pour de multiples raisons à cet édifice construit dans les années 30 par les fréres Marme. Caractérisée par sa structure en piliers de béton revêtus de briquers et les haites baies vitrées étroites qui rythment sa façade, cette chapelle nécessite des travaux de réfection, en particulier un ravalement avec un netoyage de la brique, et une rénovation complète des vitrage en partie aujourd’hui cassés. « C’est une bonne chose de la réhabiliter. Mais comment allez-vous monter le plan de financement ?  J’ai entendu parler d’une société privée ? » a demandé Guy Janvier sans recevoir de réponses de Bernard Gauducheau qui s’est contenté de dire « qu’il est, pour nous, question d’autoriser à déposer une déclaration préalable par le directeur de la Maison de Retraite Larmeroux ». Ce qui ne l’avait empêché de laisser entendre lors de précédentes réunions de quartier que le maitre d’ouvrage de l’opération d’aménagement de l’îlot Marcheron était prêt à jouer les mécénes. N’est-ce pas un certaine société Cogedim ?

     

    TRIBUNAL : Dans le cadre de la recomposition de l’espace Cabourg (groupe scolaire, centres de loisirs, salle polyvalente, centre de jeunesse, restructuration de l’ancien commissariat, réalisation d’un parking souterrain de 80 places), il est apparu nécessaire de l’accompagner d’un ravalement du tribunal d’instance et d’un traitement de ses abords, dans le souci d’une « intégration visuelle harmonieuse ». Or le mur du nouveau parking côté Jacques Cabourg est le même que le mur de structure qui porte l’espace vert situé à gauche du tribunal, et il est physiquement impossible d’arrêter proprement le nouveau mur sans traiter sa prolongation existante. Or ce mur, derrière lequel se trouve un poste de distribution EDF fort important, est fortement dégradé à cause d’infiltrations, d’une mauvaise étancheité. Du coup, des travaux de réfection de ce mur sont nécessaires pour garantir la sécurité des installatioons électriques. Par ailleurs, comme la construction des murs de la nouvelle école élémentaire a nécessité la dépose de certaines portions du grillage existant sur les espaces verts situés de part et d’autre du tribunal, il est apparu nécessaire de les reprendre et d’en changer

     

    A SUIVRE …

  • VANVES EN 2010 : L’ANNEE DES CHANTIERS

    Il devrait avoir, proportionnellement, autant de grues à Vanves qu’à Isssy les Moulineaux durant l’année 2010 comme l’a indiqué Bernard Gauducheau dans ses réunions publiques de quartier fin novembre/début Décembre Tout simplement par le fait du hasard, car beaucoup de projets se sont débloqués ou peuvent démarrer en même temps avec les opérations 36/42Marcheron, le Clos Saint Remy à l’emplacement du bâtiment utilisé pour le tournage de la série Julie Lescaut, place de la République, le projet de l’association Simon Cyréne de maison d’habitation pour adultes handicapés sur une partie des terrains du prieuré Saint Balthilde rue d’Issy, sans compter l’ilôt Cabourg dont les travaux de démolition des écoles sont presque terminés.  

     

    Mais il a tenu à rassurer ses administrés sur les conditions de réalisation de ces chantiers à l’instar de ce qui se déroule actuellement dans l’ilôt Cabourg : « Nous avons la chance d’avoir une entreprise très sérieuse sur ce chantier. Ils sont très bien organisés. Ils savent faire » a-t-il expliqué en laissant entendre que ce sera le cas pour les autres chantiers, avec si c’est nécessaire,  un plan de circulation provisoire sur l’axe Raymond Marcheron lorsque le chantier du 36/42 commencera. Beaucoup de vanvéens ont constaté d’ailleurs que systématiquement à la sortie du chantier, les roues des camions étaient lavées notamment. D’autres sont en cours comme c’est le cas dans la rue Mary Beyssere,  ou à l’angle des rues Sadi Carnot/Danton : Il s’agit d’un immeuble de 43 logements sociaux réservés aux militaires.  Ces habitations à vocation sociale seront attribuées à des agents de l'Etat appartenant au Ministère de la Défense.  Les travaux qui viennent de débuter devraient se terminer vers fin 2010 début 2011. Enfin, deux sont en  stand by : les projets de résidence hôtelière rue Aristide Briand, car le promoteur modifie son projet,  et étudiante à côté du commissariat, à l’angle Raymond Marcheron/Diderot, à cause d’un recours. 

     

    MARY BEYSSERE (EDDI)

    Ce nouvel immeuble au 50 de la rue Mary Besseyre est en cours de construction. Son architecte et son promoteur (EDDI) ont prévu de laisser une grande place à la végétation. Ils ont déjà œuvré à Vanves au 18 de la même rue et surtout rue d’Issy avec une maison (toute blanche) primée par le Palmarés de l’Habitat dans les années 80. Ils construisent actuellement sur le terrain occupé auparavant par une maison à l’abandon avec un jardin magnifique, un  édifice qui jouera sur la différenciation des différents étages – 5 sont prévus – avec  duplex et jardin au rez-de-chaussé, 3 pièces au second étage, 5 au dernier étage avec  terrasse… et beaucoup de végétations.

     

    LA CAVERNE DES PARTICULIERS (COGEDIM)

    Cette opération va entrer dans sa phase opérationnelle, avec une démolition des bâtiments qui accueillaient la Caverne des Particuliers jusqu’en Mars 2010 puis démarrage du gros oeuvre. Il s’agit de deux bâtiments à l’angle des rues Jean Bleuzen et Barbés : Une résidence de services de 198 appartements exploités par le groupe ICADE destinés à des étudiants ou des cadres en mobilité, avec des services (petit déjeuner, ménage, blanchisserie…) et deux commerces de 300 m2 en rez-de-chaussée, peut être une brasserie, avec une salle de sports ( ?). Un immeuble de 29 Logements du studio aux 5 piéces avec terrasses dont 27 ont déjà trouvés preneurs. La livraison de la résidence service est prévue pour la Rentrée 2011. 

     

    LE CLOS SAINT REMY (OGIC)

    Le « Clos Saint Rémy » dont on ne peut pas rater le bureau de vente place de la République sera édifié par le promoteur OGIC à l’emplacement de la société DEF Incendie et de l’ex-commissariat (fictif) de Julie Lescaut. Un petit immeuble de 26 appartements du studio au 4 pièces, dont l’architecture est  respectueuse du passé avec de la pierre meulière pour rappeler les anciens bâtiments que l’on peut voir encore et qui explique la différence de traitement des façades à l’angle de la place et de la rue de la République. Le maire a expliqué lors de réunions de quartiers, qu’après quelques difficultés, un accord a pu être trouvé entre le promoteur (OGIC) et les propriétaires du terrain (SCI) sur les conditions de vente. Ce qui a été long parce que la SCI rassemble par moins de 7 co-propriétaires. Les travaux seront entreprises après démolition, puis fouilles archéologiques prévues entre Février et Septembre 2010 qui devrait durer 6 mois et  construction ne commence réellement, avec livraison prévue en 2012

     

    LE 36/42 MARCHERON (COGEDIM) 

    Beaucoup de retard avait été pris à cause d’une entreprise installée sur ce site quii avait fait monter les enchères, alors que l’agence bancaire et les commerces étaient déjà partis depuis 2 à 3 ans. Ce projet Cogedim est constitué d’une résidence étudiante de 200 chambres  avec 3 commerces au rez-de-chaussée d’un immeuble à l’angle des rues René Coche et Raymond Marcheron, avec conservation du porche qui remonterait à Henri IV et Gabrielle d’Estrée, une entrée de parkings souterrains sur un seul niveau de 70 places rue René Coche, et 2 bâtiments de 4 étages (30 logements) villa de la Gare. Les travaux de démolition devaient débuter en Décembre et durer 3 mois, suivi par les travaux de terrassement entre Mars et Mai, le gros oeuvre, avec livraison de la résidence étudiante pour la Rentrée 2011, les logements à la fin 2011.

     

    LA MAISON RELAIS SIMON CYRENE (LOGIREP)

    Il s’agit d’une Maison Relais spécialement dédié pour des gens qui ont basculés dans l’handicap en cours de vie (après un anévrisme, trouble neurologique, accident de voiture…), selon un concept développé par l’association Simon Cyréne – personne qui a aidé le Christ à porter sa croix -  dont l’idée est d’apporter, de porter les handicapés sur leur chemin. Le bâtiment sera le long de la rue d’Issy à la place d’un  vieux bâtiment qui cache quelque peu le Monastère construit dans les années 30 selon les plans du moine architecte Don Bello, inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. Sa conception a été faîte en étroite relation avec l’Architecte des Bâtiments de France. Il s’agira d’un bâtiment R+3 avec certaines spécificités permettant de toujours de voir de loin le prieuré, conservation du parement de briques dans les matériaux pour rappeler celui de Don Bello, avec des induits de ton clair. Le front bâti sera recrée avec le porche pour accéder à l’entrée de l’église qui est juste derrière. De grands logements (3) sont prévus dans lequel il y aura 6 chambres handicapés dont une aménagée pour les handicapés très lourds et 4 chambres pour les assistants, avec un appartement pour une maîtresse de maison ; ainsi que des petits T1 et T2 pour des handicapés vraiment autonomes qui seront au rez-de-chaussée. Ce bâtiment comportera de la domotique pour les handicapés, des portes qui s’ouvrent tout seul, des volets électriques, deux ascenseurs et des toitures végétalisées.