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cogedim - Page 3

  • UN CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES TRES PEOPLE POUR LE DERNIER DU CONSEILLER GENERAL GUY JANVIER

    Quelques jours auparavant, le mercredi 9 Novembre, s’était déroulé le conseil municipal  dont le Blog  Vanves au Quotidien,  a commencé de parler, avec notamment l’installation d’une nouvelle conseillère municipale, Francine Thuillez qui remplace Sophie Bossin. Cette dernière a démissionnée pour raisons de santé après s’être occupé des ressources humaines de la mairie et de son personnel communal depuis 2008, ce qui n’est pas une mince affaire. « Elle a fait honneur aux élus de la République » a déclaré Bernard Gauducheau en saluant « son grand dévouement ». Une vingtaine de questions étaient inscrites à l’ordre du jour de ce conseil municipal sur lequel le blog reviendra, marqué évidemment par la démission de Guy Janvier de sa fonction de Conseiller Municipal (depuis 22 ans), et une participation importante du public venu assister à cette dernière séance.

    Dans les coulisses, bon nombre de collégues félicitaient David Mahé qui avait participé au Marathon de New York qu’il a effectué en 3H44 dans une ambiance sportive et de fête extraordinaire.  « Il y avait plus de spectateur dans les rues que de participants (47 000) qui aplaudissaient, nous encourageaient, tout au long du parcours, sur pratiquement dix rangées  qui nous a fait traverser toute cette ville de New York dont 20 km dans Brooklyn, comme si nous avions traversé l’Ile de France des Hauts de Seine à Marnes la Vallée» racontait il, fier de cet exploit personnel « car chaque participant à une telle épreuve, le fait pour se prouver quelque chose à soi même ! » confiait il

     

    Il n’y a pas eu d’affrontements verbaux auxquels les duettistes Gauducheau et Janvier avaient habitués les conseillers municipaux et le public durant ses deux heures d’assemblée municipale. Guy Janvier a demandé si la ville avait fait un recensement et un diagnostic du logement insalubre dans la ville. « Nous avançons beaucoup sur la résorption de l’habitat insalubre » a répondu Bernard Gauducheau en reconnaissanht qu’il reste encore « quelques endroits à faire ». A l’occasion du chantier de réhabilitatuion de la Chapelle de la Maison de Retraites Larmeroux, Guy Janvier a demandé quel était l’incidence des 3  chéques de 80 000 € dont 2 versés par Cogedim et 1 par Bouygues Immobilier pour financer ses travaux,  sur les terrains Atistide Briand ( ex-CPAM et exs-DDE). « Il n’y a pas de lien de cause à effet » lui a répondu le maire  - « Mais ce sont des entreprises qui remercient la ville de Vaanves » a insisté Guy Janvier – « C’est dans la ligne des efforts que je demande à ces sociétés dans le cadre de l’intérêt général ! »  lui a répondu le maire. Enfin à l’occasion de la subvention exceptionnelle pour les sections Tennis et Hand Ball du Stade de Vanves, il a suscité un débat en indiquant qu’il a fait une demande au Conseil Général des Hauts de Seine pour changer les critères des subventions aux clubs sportifs et aider les bénévoles qui encadrent. Il a demandé pourquoi des jeunes ne peuvent pas intégrer l’école de tennis malgré les deux courts couverts.  

  • LA CHAPELLE MECONNUE DE VANVES DEVRAIT ETRE RESTAUREE GRACE AU MECENAT D’ENTREPRISE

    2011 commence avec une bonne nouvelle pour Vanves. La ville a reçu deux chéques de 80 000 € de Cogedim pour financer les travaux de restauration de la Maison de Retraites Larmeroux. Ils lui ont été remis lors du dernier conseil d’administration de cet établissement conformément à un engagement pris par ce constructeur. D’ailleurs, juste avant les vacances de l’été 2010, des études avaient été confiés à une architecte vanvéenne,  Véronique Hazera.

     

    La maison de retraite et sa chapelle (avec la créche) furent conçues par l’architecte Paul Marme, construite à la fin des années 30 sur le style Bauhaus  et inaugurée le 14 Juillet 1939.  L’hémicycle du chevet de cette chapelle se dresse à l’angle des rues Diderot et Aristide Briand qu’il domine. De petites dimensions, le parti choisi avait été celui de la simplicité : L’ossature est constitué d’une successsion de piliers en béton.  Le décor extérieur est marqué par les nervures du ciment, avec des briques d’un jaune clair et des hautes fenêtres qui avaient fait débat, certains considérant qu’il y en une sur deux de trop, qu’elles devraient être munis de vitraux assez sombres, alors que d’autres jouaient sur la lumière, preuve qu’à l’époque de sa construction, les bâtisseurs étaient à la période des recherches et des essais.  « La sobriété du vaisseau aux lignes épurées est dûe à une structure métallique régulière qu’habille sans fioriture un béton revêtu de brique rose. L’austére espace intérieur de dimensions modestes se trouve littéralement dilaté par l’éclairage régulièrement diffusée de baies traitées en maurtrières, en une formule qui n’est pas sans rappeler les églises « en éventail » qu’Otto Bartning (1883-1959) réalise en Allemagne durant l’entre-deux guerres, notamment la « Pressa Kirhen » élevée à Rissen-Altendorf en 1928 selon les principes qu’ill développe en 1928 dans son ouvrage « Von Neeuen Kirchanbau » paru en 1919 » expliquent les auteurs du livre « Vanves » dans la collection Images du Patrimoine qui ont relevé et retenu quatre peintures murales du peintre Theureau au seuil de la chapelle sur le théme des saisons associé à celui des âges de la vie, avec une discréte allusion aux thémes eucharistiques du pain et du vin.

    Mais cette chapelle recéle (ou recélait) d’autres richesses  selon les descriptions de l’époque car vu l’aspect actuel – elle sert d’entrepôt et de stockage – cela apparait plus ou moins bien : les socles des statues (d’Emile Bachelet),  les supports des autels et tables de communion  en briques brunes avec joints blancs, les dalles et les marches en ciment pierre de couleur blanche, le sol revêtu de carreaux céramiques de teinte créme avec joints blancs dans le passage de l’allée centrale, la grande croixs s’élevant derrière  l’autel, entre le tabernacle et le mur rétable, les septs piliers à droite et à gauche de la chapelle ayant une croix marquant une station du Christ. C’est tout ce patrimoine qui devrait être restauré grâce à ce mécénat d’entreprise qu’attendaient beaucoup de bénévoles qui visitent, soutiennent les résidents de cet établissement et qui animent chaque samedi vers 16H/16H30 la messe dominicale. Elle pourrait alors se dérouler de nouveau dans cette chapelle qui serait aussi ouvert à des manifestations culturelles grâce à une porte qui la relie directement à l’extérieur.  

  • RETOUR SUR UN CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES TRES CHARGE

    Vanves Au Quotidien revient sur le conseil municipal du 28 Septembre dernier aujourd’hui seulement car l’actualité vanvéenne et régionale a été très riche ses derniers jours.

     

    SADI CARNOT : 724 912 € est le montant de la participation de la ville de Vanves à la requalification de la voirie et la rénovation de l’éclairage public des rues Sadi Carnot, Marceau et de la place du 8 Mai 1945, sur un montant total de 1 676 725 €, financé par GPSO. Rappelons que ces travaux doivent redonner à cet axe, la place aux piétons et vélos tout en permetant aux personnes de se réapproprier l’espace public, en favorisant le confort dans le déplacemernt des gens non mpotorisés, et en créant des zones de convivialité. Guy Janvier (PS) a demandé « si une concertation sera organisé avec les commerçants de la place du 8 Mai 1945….pour éviter ce qui a été fait Place de la République » -  « On refera un complément de communication » a assuré Bernard Gauducheau, maire NC.

     

    TOIT ET JOIE : 2,9 M€ est le montant de la garantie d’emprunt  octroyé par la ville de Vanves à la société d’HLM « Toit et Joie »  qui l’a siousdcrit à la CDC pour racheter à la société coopérative de production d’HLM « Maison Familiale de la Région Parisiene » un immeuble de 309 Logements situé 14 rue Auguste Comte et 5 rue Louis Vicat. En contrepartie, elle mettra à la disposition de la commune un contingent de 6 logements (20%).

     

    ARBRES : Dorénavant l’entretien des arbres plantés sur les voies départementales ne sont plus gérés par la commune de Vanves. C’est l’une des conséquences de l’accident qui s’était produit avenue du Général de Gaulle à la limite de Vanves et d’Isssy les Moulineaux durant les vacances de l’été 2009. Le Conseil Général a dû renoncer à cette délégation de compétence pour des raisons juridiques le 25 Juin dernier et assurer l’entretien dece patrimine à partir du 31 Décembre 2010.  Du coup, comme Vanves a dû confier à l’interco (GPSO) cet entretien jusqu’à la fin de l’année,  la ville ne disposant plus des moyens humains et techniques nécessaires pour le faire. Ce qui explique aussi le retard pris – d’un an - pour le réaménagement du parc F.Pic.

     

    SACRISTIE : Les travaux de rénovation de la sacristie et des vitraux de l’église Saint Remy, avaient amené l’entreprise Rossi à vérifier et à remplacer plusieurs joints et des volumes de verre endommagés suite à la découverte derrière l’habillage en bois des murs d’infiltration d’eau provenant d’un défaut d’étanchéité des vitraux situés sur la façade pignon. . Mais un fort taux d’humidité dans les murs situé en périphérie du local de la sacristie a été repéré grâce à l’apparition de tâches sur les murs. Les responsables de cette entreprise ont pensé qu’il s’agissait d’infiltrations enprovenance de l’ancienne toîture vétuste dont la couverture a été refaite. Mais de nouveaux relevés d’humidité réalisé un an après, ont révélé un taux élevé d’hulmidité s’expliquant par un phénoméne de capillarité du fait de l’ancienneté du bâti, et de son positionnement en bas du jardin du presbytére. Ainsi de nouveaux travaux ont été préconisés avec la mise en place d’un habillage simple des murs en périphérie, pour le moment traité avec un enduit ciment et chaux, afin de pouvoir terminer la remise au propre de l’ensemble de mla sacristie.  Ils ont été confié à la société Rossi pour un montant de 10 995 €  

     

    CHAPELLE : Le Conseil Municipal a lancée la réhabilitation avec ravalement de sa façade, de la chapelle de la Maison de Retraite Larmeroux en autorisant son directeur, à déposer une déclaration préalable pour ses travaux. C’était attendu depuis longtemps par de nombreux vanvéens attachés pour de multiples raisons à cet édifice construit dans les années 30 par les fréres Marme. Caractérisée par sa structure en piliers de béton revêtus de briquers et les haites baies vitrées étroites qui rythment sa façade, cette chapelle nécessite des travaux de réfection, en particulier un ravalement avec un netoyage de la brique, et une rénovation complète des vitrage en partie aujourd’hui cassés. « C’est une bonne chose de la réhabiliter. Mais comment allez-vous monter le plan de financement ?  J’ai entendu parler d’une société privée ? » a demandé Guy Janvier sans recevoir de réponses de Bernard Gauducheau qui s’est contenté de dire « qu’il est, pour nous, question d’autoriser à déposer une déclaration préalable par le directeur de la Maison de Retraite Larmeroux ». Ce qui ne l’avait empêché de laisser entendre lors de précédentes réunions de quartier que le maitre d’ouvrage de l’opération d’aménagement de l’îlot Marcheron était prêt à jouer les mécénes. N’est-ce pas un certaine société Cogedim ?

     

    TRIBUNAL : Dans le cadre de la recomposition de l’espace Cabourg (groupe scolaire, centres de loisirs, salle polyvalente, centre de jeunesse, restructuration de l’ancien commissariat, réalisation d’un parking souterrain de 80 places), il est apparu nécessaire de l’accompagner d’un ravalement du tribunal d’instance et d’un traitement de ses abords, dans le souci d’une « intégration visuelle harmonieuse ». Or le mur du nouveau parking côté Jacques Cabourg est le même que le mur de structure qui porte l’espace vert situé à gauche du tribunal, et il est physiquement impossible d’arrêter proprement le nouveau mur sans traiter sa prolongation existante. Or ce mur, derrière lequel se trouve un poste de distribution EDF fort important, est fortement dégradé à cause d’infiltrations, d’une mauvaise étancheité. Du coup, des travaux de réfection de ce mur sont nécessaires pour garantir la sécurité des installatioons électriques. Par ailleurs, comme la construction des murs de la nouvelle école élémentaire a nécessité la dépose de certaines portions du grillage existant sur les espaces verts situés de part et d’autre du tribunal, il est apparu nécessaire de les reprendre et d’en changer

     

    A SUIVRE …