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bernard gauducheau - Page 23

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    PRETRE ET CURE

    A l’occasion de l’Ascension, les paroisses de Vanves organisent un pèlerinage à Saint Cloud sur le thème « la place du prêtre dans ma vie ». Du coup, « afin de préparer ce temps inter-générationel », Sel et Lumière, petite feuille interparoissiale hebdomadaire publie les témoignages des prêtres vanvéens d’ici le 13 Mai,  en  ayant commencé Dimanche dernier par le pére curé, Vincent Hauttecoeur : « Il me semble que le prêtre ait le contact simple avec ses paroissiens. Depuis le début de mon ministère (8 ans), j’ai essayé de mettre en œuvre cette simplicité du contact, de la relation, d’aller à la rencontre des gens, à la sortie de la messe ou dans la rue, de privilégier le sens de l’accueil pastoral dans l’église lors d’une demande de sacrement ou à l’occasion d’une célébration sacramentelle tout cela avec ce que je suis mais aussi avec mes limites » témoigne ce savoyard dont « le visage de la famille très unie » a été « un élément important dans cette réponse à l’appel du Seigneur », ainsi que le scoutisme « qui a été un élément fondamental de la personne que je suis. Il n’y a rien aujourd’hui de moi qui ne se relise à travers mes activités scoutes (promesses, services, départ routier… ». Il mert en avant « cet esprit de simplicité et d’abandon que j’ai reçu dans le scoutisme » si on lui demande qu’est-ce qui le pousse dans son ministère.

     

    JOURNALISTE ET SARKO

    Bruno Jeudy sort un nouveau livre consacré à Nicolas Sarkozy le 27 Mai à la veille du lancement du Mondial (en Afrique du Sud), après le Grand Parix de Monaco et pendant le tournoi de Roland Garros, à un mois du Tour de France. Et pour cause  « Sarko côté vestiaire » signé avec Karim Nedjari. Une occasion de parler pour ce vanvéen du président et du sports,  après le président et les femmes, après un premier chapitre consacré à ses prédécesseurs où l’on apprend des tas de choses : Nicolas Sarkozy n’est pas le seul président à avoir suivi une étape du  tour de France, mais il y a eu aussi Giscard qui l’a fait sur une partie d’étape à moto et sans casque.  Sans parler de Colombey les deux Eglises où les cyclistes se sont arrêtés pour saluer le Général de Gaulle. Un  tour très suivi par Bernadette Chirac en treillis (Saint Laurent) avec la fameuse soirée au Château de Bity où  le staff de la Grande boucle était reçu par Jacques Chirac alors que soufflait la tempête du dopage.  Par contre aucun président de la République n’a mis les pieds à Roland Garros. Mais beaucoup se sont préoccupés du football. Et Bruno Jeudy a recueilli de nombreux témoignages de Raymond Domenech, de Lilian Turan, de Guy Roux, de Michel Platini, mais pas de Nicolas Sarkozy lui-même, qui se refuse à collaborer à un livre qui parle de lui, encore que là, il parait qu’il aurait été tenté. Il consacre même un chapitre à ses ministres des sports et surtout à Rama Yade  qui s’en tire pas trop mal pour l’instant.

     

    REGION :

    Bernard Gauducheau a encore passé une bonne partie de sa journée de Vendredi dernier au Conseil Régional qui procédait à la composition de ses commissions thématiques et à l’élection de ses représentants dans pas moins de 1500 organismes. Le maire de Vanves siége comme titulaire à la commission de l’aménagement du territoire, de la coopération interrégionale et des contrats ruraux présidée par François Labroille (FdeG), sachant qu’il est aussi membre de la Commission Permanente. 

  • BAPTEME DU FEU POUR LE MAIRE DE VANVES AU CONSEIL REGIONAL

    Pour sa première véritable séance plénière au conseil régional où des décisions ont été prises, Bernard Gauducheau, maire de Vanves Nouveau Centre, a pu s’apercevoir de ce qui l’attendait ses 4 prochaines années lorsque des questions brûlantes sont abordés. Il est arrivé pour 9H30 et il en est repartit à 00H30  

     

    Hier, pendant toute la journée, majorité et opposition régionale, se sont affrontées sur deux grands sujets d’inégales valeurs après une déclaration de politique régionale générale de Jean Paul Huchon (PS) donnant le calendrier des chantiers ouvert dés maintenant.

    Tout d’abord le Règlement Intérieur de cette assemblée comme c’est toujours le cas après un renouvellement. Mais voilà UMP et NC ont déposés 59 amendements sur un texte qui « n’est pourtant pas foudroyant, mais plutôt banal » selon les termes de JP Huchon. Mais l’opposition souhaitait qu’elle soit mieux respectée, alors que « ce R.I. organise un verrouillage au profit de l’exécutif ». Le masure emblématique dont la presse avait parlé était bien sûr la disposition dénommée « Lefebvre » par les socialistes : L’institution d’un système de pénalité à l'encontre des élus qui seraient trop souvent absents, sans que cette réduction puisse dépasser, pour chacun d’entre eux, la moitié  de l’indemnité maximale pouvant lui être alloué. Ils ont désormais une retenue de 30 à 50% sur leurs indemnités, en fonction du nombre de leurs absences non justifiées (40 à 60% et au-delà de 60%).

    Bernard Gauducheau a eu l’occasion de faire sa première intervention dans l’hémicycle, de son siége au tout dernier rang presque au centre, derrière son président de groupe, Laurent Lafon, maire de Vincennes. Il s’agissait de défendre l’amendement  visant à indiquer l’heure d’ouverture et l’heure de clôture de la séance : « Convoqué à 9H30, on a commencé à 10H,  ce matin » a-t-il fait remarqué - « c’est la demi heure Huchon ! » lui a répondu un socialiste – après s’en être pris à cette campagne de presse sur l’assuidité qui contribue à la vindicte populaire des élus. Il est vrai que notre maire s’était fait surprendre à la séance inaugurale, car personne ne lui avait dit de prévoir de rester l’après-midi, d’où son absence à cause de rendez-vous. « C’est à la conférence des présidents de fixer les heures de convocations. Cela semble plus intéressant de faire comme cela que de l’inscrire dans le R.I. Et on a toujours fait ainsi » lui a répondu la 1ére Vice Présidente. Il a même l’occasion d’intervenir une seconde fois, à un moment où le ton montait, pour défendre son président de groupe dont JP Huchon avait dénoncé « les propos mielleux ».

     

    Mais il n’était pas au bout de sa peine après 6H30 de débat sur le R.I., puisque l’assemblée régionale entamait à 17H30 le débat sur le Grand Paris et le vote d’une motion demandant le renvoi du projet de loi en cours de débat au Sénat. Il a assisté à 7H de débat qui se sont terminés à minuit et demi, à une véritable travail d’obstruction de l’UMP qui avait déposé 67 amendements soutenu un par un par l’un des 57 conseillers régionaux UMP, avec à chaque fois, réponse de l’exécutif, entrecoupé d’échanges très vifs, rappels au Règlement, entre Valérié Pécresse et ses troupes, JP Huchon et ses groupes de gauche. « Mon dieu ! mon dieu ! » entendait on du côté Huchon. « S’ils veulent nous faire voter n’importe quoi, il faut qu’ils sachent que cela leur prendra du temps » confiait un élu UMP. « C’était mieux du temps de Karoutchi » regrettaient les Verts ! ». Ainsi, pour sa première soirée à la Région, Bernard Gauducheau a pu se rendre compte que s’il y avait blocage sur le Grand Paris, il y avait désormais glaciation des relations entre l’exécutif, sa majorité, et les groupes de l’opposition, alors qu’auparavant était toujours cherché la voie de passage.

    De son côté le groupe NC avait décidé de ne pas déposer d’amendements « parce que ce n’est pas la bonne méthode » selon Laurent Lafon qui a expliqué que « cette délibération venait à contretemps » en constatant tout de même « qu’ils y avaient des éléments de dialogue, à négocier et de rapprochements ». A la coupure du dîner, Bernard Gauducheau donnait ses premières impressions : « On a passé beaucoup de temps sur la question de l’absentéisme. Un débat enfantilisant ! C’est donner du grain à moudre à tous ceux qui disent que les élus sont fainéants et dépensiers. La qualité de leur travail ne se mesure pas aux heures passées dans une assemblée ». Et sur le Grand Paris : « Ce qu’a dit le président de Région, c’est de la poudre aux yeux ! Il ne pourra pas durer longtemps ! On a un projet avec une véritable ambition. On ne voit pas ce qu’apportait ce débat ! C’est une véritable déclaration de guerre ».

     

    Le maire de Vanves sera de retour ce matin, après un passage très tôt à la mairie, pour la mise en place des commissions, l’élection  des représentants de la région dans 1500 organismes. Et il a apporté quelques dossiers, comme il l’a fait hier, pour travailler pendant les longues heures de scrutin et de débats.

  • 2 ELUS DE VANVES A L’INSTALLATION DU CONSEIL REGIONAL

    Les 209 conseillers régionaux dont deux vanvéens, Bernard Gauducheau (NC), notre maire, et Marc Lipinski (verts), se retrouvent aujourd’hui à 10H30 dans l’hémicycle du Conseil Régional, rue de Babylone à côté du célébre cinéma La Pagode dans le 7éme arrondissement de Paris, proche de l’église Saint François de Xavier et du lycée Victor Duruy,  pour l’installation de la nouvelle assemblée sortie des urnes le 21 Mars dernier. Ils procéderont à l’élection du président, Jean Paul Huchon, sous la présidence de Robert Lion (EE), doyen d’âge,  puis des 15 vices présidents - le PS s’en réserve 8, les Verts devraient en avoir 5 dont les transports, le Front de Gauche 2, sachant que Jean Paul Huchon ne veut pas entendre parler d’Antonin Legrand – et la Commission Permanente. Par contre, il se pourrait que le vice président des Transports soit Jean Vincent Placé, président du groupe Verts sous la précédente mandature qui a laissé sa place à Cecile Duflot.  Tout comme à l’UMP Valérie Pécresse a été élue présidente du groupe UMP, Roger Karoutchi son prédécesseur à ce poste, devrait se retrouver président de la commission des Finances.

    Bernard Gauducheau a eu l’occasion de faire connaissance avec l’hémicycle et les bureaux des groupes politiques installés rue de Babylone, qu’il connaissait déjà, à l’occasion de l’élection du président du groupe NC,  Laurent Lafon, son collègue de Vincennes. Au PS, ce n’est ni Philippe Kaltenbach, maire de Clamart, ni Christophe Borgel, secrétaire national du PS aux élections, élu du 9.3, mais Guillaume Balas (Paris),  élu de Paris qui a été élu président du groupe et faisait parti de ces jeunes prometteurs durant la précédente mandature.  Il faut savoir que les groupes se répartissent ainsi : 62 PS, 50 EE, 18 FG (Front de Gauche), 7 MRC, 4 PRG,  1 MUP (parti de Robert Hue), 58 UMP et 9 MC.