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politique - Page 131

  • INTERVIEW D’ANTONIO DOS SANTOS, SECRETAIRE DE LA SECTION PS DE VANVES : Tout ne va pas mal, mais tout ne va pas bien ! »

    Si l’UDI a finalement choisi son président en la personne de Jean Christophe Lagarde  et tient congrès aujourd’hui à la Mutualité où seront présents de nombreux élus centristes de Vanves avec le maire Bernard Gauducheau, si l’UMP est encore en pleine campagne pour l’élection de son président – les élus et militants UMP devraient participer le 25 Novembre prochain à une réunion publique de Nicolas Sarkozy à l’île de Puteaux – le PS est en train de se mettre en ordre de bataille pour les prochaines échéances électorales, notamment les cantonales en ayant engagé le processus de désignation de ses candidats dans le canton de Vanves/Clamart prévu le 3 décembre avec un vote sur la charte d‘identité du PS sur laquelle les militants de Vanves ont planché depuis la Rentrée dans le cadre d’Etats Généraux. Occasion de faire le point avec son secrétaire de section : Antonio Dos santos

    VAQ – Quel est le ressenti chez les militants socialistes de tous ces événements qui ont marqué cette période entre le remaniement ministérielle avec les départs de Montebourg, Hamon, Fillippetit et  l’affaire Jouyet ?

    Antonio Dos Santos : « Avec l’université d’été de la Rochelle, l’épisode des frondeurs, un terme que je n’aime pas beaucoup, même s’il veut bien dire ce qu’il en est, et que je prends plutôt comme un espace de débat plus ou moins approprié, ce ressenti est plutôt à l’image des citoyens : une sorte de désespérance, d’impatiences face à des réformes qui ont du mal à aboutir même s’ils espèrent toujours, peut être plus que les citoyens moyens, que les mesures prises aboutiront. Mais un certain nombre d’orientations politiques, notamment en matière économique, sont lourdes à mettre à place, avec des acteurs multiples.

    VAQ – N’y a-t-il un essoufflement du militantisme, des militants qui s’effilochent ?

    A.D.S. : « Les adhésions nouvelles, les renouvellements traînent un peu à Vanves comme ailleurs. On estime qu’en France ces renouvellements de cartes trainent de l’ordre de 30 à 40% sous réserve du phénomène de mobilisation qui accompagnera le vote sur notre charte d’identité, la désignation de nos candidats aux cantonales qui sont toujours des périodes précédées de débats et de re-mobilisations. La présence  et la mobilisation sur le terrain s’est ralentie puisque nous avons perdu les municipales, qu’ensuite, rien n’a suivi comme on le souhaitait, un doute salutaire s’est alors installé, une certaine forme aussi d’essoufflement qui permet de se poser  car il y a eu un très gros investissement militant, car  nous avons beaucoup donné entre les présidentielles, les législatives, les municipales, les européennes… avec des succés et des échecs. D’autant plus que nous sommes tournés vers des débats internes depuis quelques semaines.

    VAQ – Avec les Etats Généraux du PS ?

    A.D.S. : « C’est un gros chantier qui manque pas d’intérêt du fait qu’il n’y pas d’échéances très prégnantes, ni renouvellement de nos instances. C’est un moment idéal pour prendre un peu de recul et réfléchir, notamment à la charte d’identité du PS, pour l’actualiser parce que dans le contexte national et international actuel, nous avons connu une évolution dans nos positions. Certains s’interrogent même sur le nom, mais c’est le contenu qui est important. On ne se pose  même  pas la question de sa suppression à Vanves. Mais en même temps, le fait qu’elle soit posée, à un moment donné, sous une forme interrogatrice par le premier Ministre, peut être salutaire. D’autant plus qu’elle intervient à un moment où on est train de redéfinir notre charte. Est-ce que c’est plus de socialisme au sens où nous l’avons connu dans les pays de l’Est dont certains aspirent à ce retour en arrière, est-ce plus de social démocratie ou social libéralisme ?  Faut il encore l’installer, l’adapter et le partager

    VAQ – Sur quels thèmes avez-vous travaillé ?

    A.D.S. : « Sur 12 thèmes proposés, même si les contributions pouvaient se faire sur d’autres sujets, qui semblaient balayer tous les sujets, Vanves a choisi de travailler sérieusement sur 2 d’entre eux : « Démocratie et représentativité » parce qu’effectivement les institutions nous interrogent par moment, étant passé du septennat au quinquennat qui ne résout pas les problèmes, avec les questions sur les limitations de mandat dans le temps et la durée avec le souci de garder le lien avec la vraie vie, la défense de nos valeurs  notamment à la suite de l’affaire Cahuzac. « République et laïcité » qui a été le thème le plus coopté au départ, parce que la République est très important au déjà d’un régime, car elle représente des choix d’orientation, d’organisation citoyenne auxquels nous sommes attachés. Et que la laïcité ne doit pas devenir une religion d’Etat, mais bien une co-existence et le respect de toutes les religions avec les valeurs qui s’inscrivent dans celles de la République. Sachant que ces valeurs ne pourraient pas perdurer et vivre sainement si la laîcité n’était pas à sa juste place. Nous avons travaillé au travers de 3 réunions générales, de 2 groupes travail qui se sont réunis plusieurs fois depuis la Rentrée pour proposer un texte sur lequel la section a travaillé, amendé avant de les approuver et lers transmettre au siége du PS.

    VAQ – Comment se présente les cantonales pour le PS à Vanves

    A.D.S. : « Les candidatures (à la candidature) sont ouvertes depuis le 10 Novembre jusqu’au 17, les militants ayant été informés des régles et les critères à remplir en terme de stratégie. Et nous voterons le 3 décembre sur le ticket qui représentera le canton de Vanves-Clamart.

    VAQ – N’y a-t-il pas une prime au sortant ?

    A.D.S. : « Il faut d’abord qu’il en ait envie et  qu’effectivement, il arrive à constituer un ticket. Nous avons un conseiller général sortant qui a envie d’y aller. Et il présentera un ticket pour ses élections internes. La prime n’est pas automatique. Elle est le résultat d’une analyse du travail fait et du contexte politique local et cantonal. Je n’ai pas l’intention d’y aller car j’avais dit lors des minicipales car je n’avais pas vocation à me présenter à toutes les élections. D’autant plus que Guy Janvier veut y aller et qu’il est sortant. Cela dépaysera moins les citoyens au moment où on change de territoire. Nous avons travaillé avec nos camarades de Clamart, avec deux vanvéens et deux clamartoises

    VAQ – En tous les cas, les jeunes socialistes de Vanves ne se sont pas essoufflés après les municipales ?

    A.D.S. : « C’est vrai que la combatitivité, l’enthousiasme sont l’apanage de la jeunesse. Et nos gens en ont dans la tête et les bras, en restant très actifs pour l’essentiel. C’est une richesse pour la section, après la campagne des municipales qui a été un moment pour les faire éclore, car ils restent très enthousiastes pour l’action politique avec leurs interrogations, et un sens du devoir très important.  Il y a un moment où on s’exprime et le moment où on décidé et on agit ! Ils savent faire la part des choses. Et j’en suis très fier

    VAQ – Ne regrettez-vous pas d’avoir laissé votre place (légitime ) au conseil Municipal à l’un de ses jeunes  avec le recul ?

    A.D.S. : « Comment ne pas regretter de ne pas avoir garder une fonction auquel vous avez été élue. Et en démissionnant d’avoir forcément l’impression d’avoir abandonné le combat ? C’est un regret de ce point de vue là. En même temps, c’est une décision à laquelle je ne m’étais pas préparé puisque jusqu’au bout je voulais gagner, même si j’étais lucide, mais c’est une décision qui s’est imposé à moi très vite, parce que c’est ma façon de concevoir la politique que de faciliter le renouvellement, les énergies jeune. Et cela me satisfait d’être auprès d’eux, un peu l’ancien qui rappelle, qui écoute ...

    VAQ- Qu’est-ce que vous pensez des 8 premliers de ce 3éme mandat du maire ?

    A.D.S. : « Je ne vais pas dire que tout va mal parce que ce n’est pas dans ma nature ! N’attendez pas de moi que je vous dise que tout va bien ! Il y a notamment des choses qui sont me semblent important et qui n’ont pas changés. C’est à dire que, malgré toutes ces qualités et le respect que l’on doit à l’homme, nous avons un maire qui a tendance à décider beaucoup tout seul, à ne pas écouter véritablement. Il est vrai qu’il a pris tout de suite quelques mesures qui étaient dans notre programme qu’il a mis en œuvre : le quotient familial alors qu’il n’en était pas question à chaque fois qu’on le proposait, il a déclenché tout de suite l’analyse des besoins sociaux alors qu’il s’y refusait parce que cela coûtait cher. Mais il a été moins adroit alors que nous défendions l’accès au numérique, c’est à dire  à l’information des vanvéens, en diminuant la fracture numérique, en nous sortant les tablettes numériques pour les élus. Cet argent serait mieux utilisé pour remplacer les bornes Internet de la ville qui renvoie sur le blog de Bernard Gauducheau ou de la ville et de GPSO, et permettre l’accès plus facile au WI-FI des citoyens vanvéens.

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    LUCILE SCHMID : Le drame malheureux du barrage de Sirvens a resseré les rangs des écologistes à lire la presse et notamment Le Monde de Vendredi dernier où la conseillère municipale EELV s’exprimait : « Les conflits locaux contre les grands projets inutiles, c’est ce qui a construit ce parti. Cet épisode souligne la différence de culture entre nous et le PS : Nous venons du terrain, quand eux ont une culture d’Etat » notait elle en tant de représentante de l’aile gauche d’EELV qui reconnaissait que « l’épisode a ressoudé les liens ».

    JACQUES HERZOG : L’un des deux architectes de la Tour Triangle explique dans Le Point de cette semaine que « Triangle créera un lien majeur entre Paris et Issy les Moulineaux et Vanves. Il ne s’agit pas de faire une tour qu’on insère en plein milieu d’un quartier, comme avec la tour Montparnasse, mais en bordure. Triangle a le potentiel d’un bâtiment transformateur qui attirera les gens et deviendra le symbole d’une ville qui veut vivre et ne pas devenir un musée. Il n’enlèvera rien au quartier, au contraire, il faut regarder Triangle dans son environnement, comme l’un des moteurs d’un morceau de Paris en plein changement »

    ISABELLE DEBRE : La vice présidente du Sénat du vanvéenne a pris de l’assurance sur Le Plateau (et non le perchoir) du Sénat lorsqu’elle préside les séances de la Haute Assemblée. Ses collègues considèrent qu’elle préside leurs séances avec « autorité et bienveillance ». Généralement, elle préfère le matin et l’après midi aux soirées contrairement à son collége socialiste, le sénateur adjoint au Maire de Paris Gaffet avec lequel ils se rendent service en échangeant leurs heures de présidence. 

    BASKET : Les Aviators ont remporté samedi soir leur première victoire à l'extérieur face à Notre Dame de Gravenchon. « Rien n'était joué d'avance. Malgré le fait que nos adversaires soient promus cette saison en NM2, c'est une équipe constituée de potes qui ne lâche jamais, adroite à 3 points et qui avait déjà donné du fil à retordre à ses adversaires depuis le début du championnat. Mais samedi soir, ce sont les Aviators qui ont eu cette adresse et surtout une cohésion d'équipe qui, bien que menés au score à la fin du 3ème quart temps (54-53), a permis à nos protégés de dominer le dernier quart-temps. Score final 66/77 » raconte Laurent Delseaux, président de la section Basket. « Le week end prochain c'est à Renne (équipe ayant le même palmarès avec 4 victoires pour 4 défaites) que les Aviators vont tenter de remporter un second succès à l'extérieur ».

    FOOTBALL : Résultat seniors "A" St Cloud 3 Vanves 1. « Les journées de championnat se suivent et se ressemblent. 1ere mi-temps à notre avantage, sans pouvoir faire la différence 1/1, la seconde à l'actif de St Cloud qui a fait preuve de plus de réalisme » indique Jean Claude Vignal Président de la Section Football.

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    ISABELLE DEBRE :Isabelle Debré présidera une cérémonie toute simple le dimanche 9 Novembre 2014 à 11H30 devant la stéle du Général du Général de Gaulle du square Marceau qui porte depuis maintenant 24 ans le nom du fondateur de la Véme République disparu un 9 Novembre 1970. C’est l’hommage des fidèles, pas des derniers convertis qui se précipitent ce jour là à Colombey du PS au FN comme la maire de Paris ou la niéce de JM Le Pen. D’ailleurs c’est un certain Charles Pasqua,  président du Conseil Général des Hauts de seine, qui avait présidé cette cérémonie dans ce square  avec Didier Morin  (UMP) qui était alors Maire de Vanves. Les cérémonies se sont succédées pour la vice présidente du Sénat qui présidait le 6 Novembre  un  dépôt de gerbe sur la dalle des fusillés au  Jardin du Luxembourg (érigée à la mémoire des 7 combattants de la Libération fusillés par les Allemands le 19 août 1944) en présence du ministre délégué aux anciens combattants Kader Arif, et le 7 Novembre, elle participait au ravivage de la flamme  avec l’association rassemblant les ex-invisibles présidée par Mchel Judde

    JEAN MARC VALENTIN : Le président de l’Association des généalogistes de Vanves donne, aujourd’hui à 17H à l’hôtel de ville une conférence sur « René Viviani, acteur politique de la Grande guerre » dans le cadre des célébrations du centenaire de la « der des der ». Il a écrit un livre « René Viviani (1863-1925) un orateur du silence à l’oubli »  sur ce président du Conseil lors de la déclaration de la guerre 1914-18 qui a signé l’acte de mobilisation du 1er Août 1914 affiché dans toutes les communes de France dont Vanves. « Un homme politique de la IIIéme République oublié des historiens, qui a été pendant 30 ans député notamment de Paris, premier ministre du travail et premier président du Conseil à ne pas être attaché à un ministère comme c’était le cas auparavant »  expliquera t-il en retraçant toute sa carrière politique. Le Conseil Municipal de Vanves présidé par le maire Aristide Duru, avait adressé à André Viviani président du Conseil, une lettre de condoléance à l’occasion du décès de son beau-fils à la guerre, au tout début de ce conflit.

    MARC LIPINSKI : L’ARENE (Agence Régionale de l’Environnement et des Nouvelles Energies) que préside cet élu régional écologiste vanvéen a quitté l’avenue Siffren pour un bâtiment- à Energie positive à Pantin. Marc Lipinski a pris maintenant l’habitude de relier Vanves et Pantin à scooter pour venir travailler dans cette cité régionale de l’environnement qui regroupe d’autres organismes spécialisées dans le développement durable comme NatureParif, BruitParif, l’agence des Espaces Verts… Pour arriver à ce regroupement, il a fallu pas moins de 10 ans car c’était un objectif que cétait fixé la majorité régionale en 2004 en l’inscrivant dans l’accord PS-EELV. «  Beaucoup doutaient qu’on soit capable de le faire. IL faudra le faire savoir, le dire, l’expliquer… car ce n’est pas du pipot ! Il a fallut le faire pour des raisons d’exemplarité, pour faire des économies, mais pas seulement » déclarait JP Huchon aux côtés de Marc Lipînski et des autres présidents d’agences régionales Jeudi soir. Cette cité régionale est installé dans un très bel immeuble en façade Corian, matériau très résistant aux intempéries et à l’usure quotidienne, utilisé pour la seconde fois en France après Bordeaux, donnant une façade très lisse. Peut être est-ce l’une des explications pour lesquelles il fait partie des 20 nominés pour un Equerre d’argent par le groupe Moniteur.  Il est certifié HQE et Breem (Niveau very Good), dispose de4 40 panneaux photovoltaïques permettant de produite de l’énergie, le chauffage et le rafraîchissement sans climatisation du bâtiment sont assurés par une pompe à chaleur qui puise l’eau de la nappe phréatique, et sa consommation énergétique a été divisée par puisqqu’elle est évaluée à 43 kWhEp par m2 et par an. « C’est quand mieux que l’avenue de Suffren » confiait Marc Lipinski. Il est vrai que les bureaux de l’ARENE était dans une sorte de demi-sous sol obscure.

    ANNE HIDALGO : La maire de Paris a entamé un véritable chemin de croix pour arriver à avoir lors du prochain Conseil de Paris, une majorité pour réviser le PLU et permettre la construction de la tour Triangle à la porte de Versailles, malgré l’opposition annoncée des élus EELV, UMP, UDI. Après avoir organisé une exposition au pavillon  de l’Arsenal avec les architectes, elle a lacée cette semaine un appel : « Triangle est une formidable occasion d’accompagner le développement du quartier de la porte de Versailles. Il s’inscrit dans la rénovation complète du Parc des expositions de la porte de Versailles, un investissement nécessaire pour que Paris continue à être une des villes internationales qui comptent dans le marché des salons et des congrès, une activité qui contribue au développement économique, notamment via le tourisme d’affaires. Dès 2018, le Parc des expositions, ouvert sur la ville,  accueillera ainsi un nouveau centre de congrès, un hôtel, et sera entièrement repensé grâce aux contributions des plus grands architectes. En offrant 85.000 m2 de bureaux adaptés aux exigences de l’économie du 21e siècle » explique t-elle en ajoutant : « Dans cette période de difficultés économique, financière et budgétaire que connait notre pays, il serait d’ailleurs curieux de refuser un investissement de plus de 500 millions d’euros porté par des fonds privés. Sans aucun financement public, cette réalisation permettra de créer  plus de 5.000 emplois directs et indirects pendant la période de construction et cela pour tous les corps de métiers (bâtiment, bureaux d’études, conseil, légal, services, etc). Une fois construite, Triangle accueillera plus de 5.000 salariés avec des retombées évidentes de plusieurs milliers d’emplois pour l’économie parisienne et métropolitaine, mais aussi pour le quartier. Refuser cet investissement reviendrait donc à porter un préjudice majeur à nos entrepreneurs et à nos professionnels du bâtiment. Ce serait aussi un signal dévastateur envoyé aux investisseurs internationaux et un argument pour ceux qui dénigrent Paris ». Elle a même été relatée par la Chambre de Commerce et d’industrie (CCI) de Paris Ile de France qui considère que « le blocage du projet serait un mauvais signal envoyé aux investisseurs étrangers. L’image du pays en pâtirait inévitablement »... « Par ailleurs, en cette période de crise, peut on se passer d’un projet créateur de nombreux emplois, permettant de renforcer la place de Paris dans la compétition internationale ? ».