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ENVIRONNEMENT - Page 25

  • DEPOTS SAUVAGES AUX PORTES DE VANVES ET DE PARIS : AGIR POUR LE PLATEAU SE PLAINT DIRECTEMENT A HIDALGO

    Comme  ses responsables l’avaient annoncé lors de l’assemblée générale de l’association Agir Pour le Plateau, ils ont écris fin Juin,  tant à  la Maire de Paris, qu’aux maires du 14éme et du 15éme arrondissements pour se plaindre  de l'état de désaffection de la rue Louis Vicat, et des Portes de Brancion et de La Plaine : « dépôts de mobiliers urbains (porte de La Plaine au bord de la piscine avenue Guillaumat ainsi que Porte de Brancion côté Ouest en couverture du périphérique), dépôts sauvages de toutes natures au long de la rue Louis Vicat et mauvais état de la chaussée ; depuis quelques mois, la situation s’est détériorée rue Louis Vicat ; elle est maintenant digne des abords des bidonvilles qui fleurissent le long des voies rapides autour de Paris ; inondations après une forte pluie empêchant les piétons de traverser la bretelle d’entrée du périphérique intérieur côté 15ème ; véritable décharge publique au-dessus du périphérique côté Est sous le pont de chemin de fer » ont ils relevé et décris dans leurs courriers. 

    « La mairie de Vanves, lasse de voir les contrevenants déposer leurs déchets, encombrants sous le porche de la rue Sadi Carnot à sa jonction avec la rue Louis Vicat, a pris des mesures pour interdire ces dépôts, mesures pour l’instant couronnées de succès. Des travaux de rénovation aux abords de la station de métro Malakoff-Plateau de Vanves sont entrepris aux frais pour partie des contribuables Vanvéens pour améliorer le cheminement des usagers et des visiteurs du parc des Expos.Les récents travaux entrepris pour la couverture du périphérique côté 14ème ont permis d'améliorer l'environnement (jardins, promenades vertes, terrains de jeux) ; mais l’interruption des travaux (ou leur abandon...)  a eu pour conséquence la création d'une zone de dépôts de gravats et terre de déblaiement sur la partie couverte du périphérique côté Est sous le pont du chemin de fer ! Les grillages de cette zone ont été détruits et cette zone sert maintenant de décharge publique... ouverte à tous vents et à toutes sortes de dépôts d'encombrants (vieil électroménager, sac de gravats, etc.) » indiquent ils en ajoutant : « Dois-je vous rappeler que le parc des Expos a vocation à attirer chaque année plus de public, plus d’entreprises, plus de touristes… que Paris est candidate à accueillir l’Exposition Universelle, les JO… que chaque matin ce sont des milliers de véhicules qui passent Porte de Brancion…Quel beau spectacle, quelle image, Paris, ville lumière, ville Expo, ville Olympique, donne-t-elle à voir à ses visiteurs, aux touristes, mais surtout à ses habitants et voisins». Et de demander « de mettre tous les moyens en œuvre pour remédier à cet état de choses, et en premier lieu, de faire intervenir les services de la voirie pour dégager ces immondices et les services de police pour verbaliser les contrevenants ».

    Le Maire de Vanves, de son côté, a indiqué à Patrick Lauverjat, Président d’Agir Pour le Plateau que « depuis deux ans, nous avons adressé de très nombreux lettres à  madame Hidalgo accompagnés de photos mais malheureusement sans réaction de la part des services parisiens. Il semble même que la situation se soit aggravée puisque le site est passé d’un état de dépôt sauvage de gravats à celui de décharge publique. Les récents contacts que nous avons eu avec les membres du cabinet d’Anne Hidalgo semblent montrer que la Ville de Paris s’intéresse enfin  à ce secteur et qu’un nettoyage définitifs serait menée à la Rentrée prochaine » indique t-il. En attendant il a demandé à la police municipale « de renforcer ses patrouilles ainsi qu’à l’ensemble des agents assermentés susceptibles de constater et de verbaliser les dépôts sauvages sur la voie publique ».

  • VANVES REFUSE DE SURSEOIR AUX COMPTEURS COMMUNICANTS DEMANDE PAR LE FRONT DE GAUCHE/PC

    Le combat contre les compteurs de gaz et d’électricité intelligent dont l’installation chez les particuliers fait débat est relayé à Vanves  par Boris Amoroz (FG/PC) depuis longtemps. Il a d’ailleurs présenté deux vœux au dernier conseil municipal du 28 Juin demandant à la ville de surseoir à leur installation. Ce qu’elle a refusé  bien sûr.

    « Comme vous le savez, des centaines de villes en France, comme Melun, Yerres, Bagnolet, Saint-Macaire, de tout bord politique, ont voté des délibérations similaires. L’Allemagne a décidé de surseoir au déploiement de ces systèmes. En effet, l'installation des compteurs communiquant, que GRDF et ENEDIS veulent imposer à tous les abonnées, sans avoir demandé leur avis ni obtenu leur assentiment, contient de nombreux risques. La principale est le souci de protection de la santé des habitants. En effet, s'ils sont installés, les compteurs communicants émettront ondes et rayonnements dont la prétendue innocuité est fortement contestée par diverses associations comme Robin des Toits, PRIARTEM, le CRIIREM, et même l’agence sanitaire européenne. Qui plus est, pour exploiter les fonctions des compteurs communicants LINKY, ENEDIS injecte des signaux dans le circuit électrique des habitations, par la technologie Courant Porteur en Ligne (CPL). Or, les câbles des habitations n'ont pas été prévus pour cela, ils ne sont pas blindés, et de fait le CPL génère des rayonnements nocifs pour la santé des habitants. Enfin, l’effet cocktail joue à plein, avec les ondes déjà présentes dans notre environnement » a-t-il expliqué en relevant que « par ailleurs, toutes les compagnies de réassurance excluent la prise en charge en Responsabilité Civile des dommages liés aux ondes électromagnétiques. Les compteurs communicants, bien que prétendus « intelligents », sont aisément piratables. Les économies d’énergie promises sont avant tout fictives. Les compteurs communicants, s'ils sont installés, permettront aux opérateurs de recueillir d'innombrables données sur notre vie privée, utilisables à des fins commerciales mais aussi de surveillance et de remise en cause des libertés publique. Le coût énorme de ce grand remplacement, alors que l’existant est robuste et fiable, sera en fin de compte payé par les usagers .Il apparaît que, contrairement à ce que prétendent les opérateurs, les programmes de compteurs communicants ne bénéficieront aucunement aux usagers mais bien aux sociétés commerciales qui préparent déjà leurs « offres » ainsi que des projets fort contestables comme « l'Internet des objets ». Les communes sont des organismes de service public dont l'objet est de servir la population et de la protéger, elles ne sauraient être instrumentalisées au profit d'intérêts commerciaux ».

    La majorité comme l’opposition socialiste n’ont pas du tout partagé cet avis : « Les communes n’ont aucune compétence pour interdire ces compteurs, pour intervenir dans le comptage. Leur installation répond à des objectifs économiques et écologiques pour mieux maîtriser sa consommation, pour payer au juste prix. Ces compteurs n’émettent pas plus d’ondes que les autres appareils » a répondu Pascal Vertanassian (UDI) maire adjoint chargé de l’urbanisme. Jean Cyril Le Goff (PS) a même cité l’étude de l’ANFR selon laquelle « les niveaux des champs électromagnétiques émis par les nouveaux compteurs électriques Linky ne seraient pas plus importants que ceux des compteurs actuels ou de n'importe quel appareil électrique classique », en expliquant que c’est dans le cadre de la loi pour la transition énergétique que projet de remplacement des compteurs a été lancé. « Et cela aura un impact sur l’emploi » a-t-il précisé. « Ce débat sur les compteurs intelligents prend une vraie ampleur, car beaucoup de choses dérangent. On décide pour le bien de la population trop vite. Mais qui va payer cet investissement ? Le consommateur ou le contribuable » s’interrogeait Lucile Schmid (EELV). « Beaucoup de voisins nous inerpellent sur ece sujet. Il faut leur expliquer. Ils permettront de facturer leur consommation au prix  réel et chacun pourra faire des efforts en voyant où il en est de sa consommation pour la réduire » a ajouté Gabriel Attal (PS) qui ajoutait : « Je ne vois pas  pourquoi, il faudrait les interdire ! »

  • PLATEAU DE VANVES EXCLU DE LA REDUCTION DE 3 A 2 COLLECTES ORCHESTRE PAR GPSO

    « Plusieurs Vanvéens du quartier du Plateau nous ont interpellé sur un soi-disant projet visant à diminuer de trois à deux tournées le ramassage des ordures ménagères dans les zones d'habitat collectif à l'identique de ce qui existe déjà dans les zones pavillonnaires. Cette diminution d'une tournée mettrait en difficulté un certain nombre d'immeubles collectifs (règles d'hygiène pour les gardiens et risques sanitaires, encombrement des locaux poubelles et vide-ordures...). Cette compétence relève de notre E.P.T. GPSO » indiquait Valérie Matthey (PS) qui n’a pu obtenir à ce jour confirmation de la part des services de GPSO que ce projet ne verrait pas jour : « Pouvez-vous nous confirmer Monsieur Gauducheau qu'aucun projet ne vise à changer le rythme et le nombre de tournées de ramassage d'ordures ménagères dans notre ville et que le plan des collectes restera identique à celui mis en œuvre actuellement » a t-elle demandée mardi dernier lors du Conseil Municipal. Bernard Roche l’a rassuré puisqu’il n’en est rien : « Afin d’étudier les marges de manœuvre possibles pour rationaliser le coût du service de collecte GPSO vient de lancer une étude qui intègre notamment l’hypothèse d’une diminution du nombre de collectes des ordures ménagères.L’hypothèse étudiée est un service de deux collectes par semaine au lieu de trois actuellement sur toutes la Commune. Cette étude a toutefois exclu la zone du Plateau, quartier de grands immeubles collectifs, qui resterait en collecte d’ordures ménagères trois fois par semaine.Afin d’avoir une information complète sur ce sujet il convient de préciser que la ville d’Issy-les-Moulineaux applique depuis 15 ans et sans difficulté une fréquence de deux collectes par semaine sauf dans les secteurs très denses (quartier des Epinettes) ».