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DEMOCRATIE LOCALE - Page 10

  • REUNION PUBLIQUE A VANVES : « LE PLATEAU SERA LE CHANTIER DE L’AVENIR »

    La seconde des trois dernières réunions publiques de quartier de la mandature se tiend ce soir à la mairie pour Saint Remy-Le Centre ancien. Jeudi dernier, c’était à Marceau où le maire a fait le plein des chaises et répondu de bout en bout aux questions des participants, en donnant la parole à Yann Texier sur les travaux de GPSO. Aucun élu présent n’a finalement pris la parole, même ceux qui l’entouraient à la tribune. « Ce n’est pas sans une certaine émotion que j’ouvre cette réunion de quartier. C’est la dernière pour le Plateau qui clôturera le cycle : 36 réunions ont ététenus sans en manquer une seule pour informer, consulter, échanger avec les vanvéens. Votre présence montre l’intérêt de cette rencontre. Certains se forcent (pour venir) car ils savent que c’est important. Même si on n’est pas nombreux au regard du nombre d’habitants, ces réunions rassemblent beaucoup de vanvéens. Les gens se mobilisent et se rassemblent lorsqu’il y a des problèmes » a-t-il expliqué en saluant son équipe qui  fait son boulot avec l’intérêt général chevillé au corps. « Un sondage important réalisé par l’AMF (Association des Maires de France), à l’occasion de son congrés la semaine dernière, a montré que c’est la commune qui prime pour les français, l’écoute du maire et de son équipe. Le maire est un référent, la personne à qui s’adresser et être entendu. Et on fera tout pour que l’on ne touche pas à la commune. On peut les regrouper pour réaliser un certain nombre de missions. Mais la relation directe, c’est la commune. Elle est la garantie d’une bonne démocratie pour notre pays ».

     

    En quelques mots Bernard Gauducheau avait dressé le tableau de la situation en cette fin d’année 2013 à quelques mois des élections municipales, avec notamment un sujet inscrit à l’ordre du jour des 3 réunions : le projet de Métropole du Grand Paris  que le Blog suit de très prés - il  doit repasser devant l’Asemblée Nationale, le 10 Décembre. - et sur lequel il  reviendra un peu plus tard et notamment sur les questions posées par les vanvéens. Il a présenté le projet de rénovation du parc des expositions qui devrait s’étaler sur 10 ans, déjà présenté sur le Blog. « On sera vigilant sur les effets collatéraux » a-t-il indiqué en ne cachant pas que Vanves, lors de l’élaboration de son PLU,  comme Issy les Moulineraux,  avait eu l’occasion de dire que « cet espace au cœur de l’agglomération devait être consacré aux congrés, aux séminaires, plutôt qu’aux gros salons nuisants, comme Bâtimat qui a déménagé à Villepinte. Il faut commencer à penser à ce qu’un tel parc des expositions puisse évoluer vers autre chose » avec cet hôtel prévu à l’emplacement du hall 8, ce centre de congrés prévu à l’emplacement du parking sur le toit du hall 7 qui supprimera les places de stationnements.

    Le maire a présenté le schéma de requalification du square Jarrousse qui avait fait l’objet d’une réunion publique voilà un an à cette époque : Un état des lieux qui n’est pas brillant, a été réalisé, où il apparait que « la conception architecturale est contestée, avec ses canaux, sa fontaine et sa cascade usées dont l’alimentation en eau a été arrêté. Les riverains ont été consultés ». Et comme il l’avait déjà annoncé, lors de la précédente réunion publique de quartier, que « la période délicate que nous traversons au niveau des finances (locales), nous améne à être modéré ». Ainsi les canaux seraient supprimés et remplacés par des allées, seul le bassin au pied du kiosque étant gardé, avec la cascade car la détruire aurait coûté très cher, les entrées et le mobilier étant réhabilités. Le coût prévisionnel des travaux étalé sur 2 ans est de 500 000 €  

    Beaucoup de questions ont été posées sur des sujets très divers après l’intervention de Yann Texier sur les travaux réalisés par GPSO dans ce quartier qui ont notamment concernés la réfection de trottoirs, de chaussées, de l’éclairage et le marquage de nombreuses voies publiques, avec l’installation de chaînes téléscopiques rue Auguste Compte pour éviter le stationement sauvage et abusif sur cette voie piétonne :   

    - La Couverture du Bd Périphérique : « Il y a une volonté de le faire. Mais c’est un coût énorme. Et ce n’est pas possible partout ». Tout le monde, au premier rang, s’est regardé lorsqu’ils ont entendu dire, de la part d’une élue, que « le kilométre coûtait 1 M€ ! ». C’est 10 et même 100 fois plus.

    - La Porte Brançion qui donne le sentiment de n’être pas terminé : « Elle devait faire partie de l’aménagement de la couverture du Périph. On nous a demandé d’attendre car laville de Paris avait des priorités. Cela a faillit se faire, mais la ville avait prévu d’installer un entrepôt d’engins de voirie (sur un espace compris entre les deux bretelles du Périph côté Ouest). On a préféré rien du tout ! ».

    - Le stationnement et les manœuvres des cars devant l’hôtel Mercure rue du Moulin qui s’avérent dangereux : « On sensibilise régulièrement la direction de l’hôtel. La police municipale intervient sans résultats satisfaisants. On ne peut pas couper la rue ».

    - Le projet de coupure de l’éclairage public, la nuit, dans certains quartiers : « Nous avons choisi une autre option grâce à la mise en place d’un systéme de télégestion permettant de régler et varier l’intensité lumineuse selon la présence ou non de personnes » a indiqué le Maire en annonçant que « les décorations de Noël consommeront beaucoup moins que voilà 5/4 ans » 

    L’entretien de la place des Provinces au niveau des dalles et de l’éclairage dont se plaignent beaucoup de riverains a donné l’occasion au maire d’expliquer qu’il faut envisager « une réfection de l’ensemble des places et des espaces publics du Plateau qui a 40 ans. Mais la ville ne peut pas le faite toute seule, sans les copropriétés. Ce qui sera très complexe à monter. Il faudra le faire tronçon par tronçon. Ce sera un chantier pour l’avenir ». Il a indiqué qu’une première étape avait été franchie avec l’étude de domanialité, réalisé par des géomètres qui ont établis une carte consultable, pour un coût de  80 000 € financé avec l’aide de GPSO. « On sait qui est chez qui à 2 ou 3 exceptions prés ». 

  • LES HAUTS DE VANVES FACE AUX CHANTIERS, AU BRUIT, AU STATIONNEMENT ANARCHIQUE ET AUX NUISANCES DE TOUTES SORTES

    « Cette réunion de quartier est toujours la moins fréquentée, parce que le quartier est moins dense » constatait Bernard Gauducheau, maire de Vanves, en accueillant dans ce préau de l’école Larmeroux baigné par le soleil couchant, les vanvéens venus moins nombreux Lundi soir que la semaine dernière à l’école Marceau. Pourtant dans ce quartier, les points chauds n’ont pas manqué, et ne manquent pas entre la sécurité (rue de Chatillon) qui devrait faire l’objet d’une nouvelle réunion publique le 6 Juin prochain à l’école Lemel,  les chantiers, nombreux, de la rue Aristide Briand, la lutte contre le bruit de la voie ferrée Paris Montparnasse,  les travaux des rues du Docteur Arnaud, Gresset et Mansard pour lutter contre les inondations, améliorer l’assainissement etc…Mais là, est-ce que la température un peu élevé qui régnait dans ce préau a rendu le public plus amorphe. Heureusement qu’il y avait une conseillére de quartier qui a quelque peu réveillé l’assistance par ces questions pertinentes.

     

    Il est vrai que commencer par la présentation du budget 2013 a renforcé l’assoupissement du public malgré une présentation didactique de Bertrand Voisine, maire adjoint chargé des finances,  avec ses tableaux et ses fromages, et quelques commentaires du maire sur le théme : « Nous traversons une période économique difficile qui a des répercussions sur les ménages et les collectivités territoriales. On la subit plus q’on ne la conduit. On doit faire preuve de vigilance pour ne pas fragiliser nos finances ». Yann Texier, le représentant de GPSO a réveillé l’assistance en présentant les nombreux travaux – chronophages – réalisés dans ce secteur avec les plus marquants : Réfection de la rue Larmeroux avec le Conseil Général, travaux de revêtement des chaussées des rues Gressset et Mansart – « cette dernière en a bien besoin car sa chaussée est chaotique » reconnaissait le maire -  prévu cet été qui deviendront une « zone 30 », rénovation de l’éclairage rue Falret, interventions sur les nids de poule après le gel pour 35 000 €.

     

    Ce qui a amené le maire à parler de cet accident survenu dimanche soir à 21H30 rue de la République où un chauffard, sans permis, alcoolisé,  qui roulait à 150 km/h, est venu s’encastrer dans les poubelles de la résidence des chariots au carrefour Vieille Forge/République/Louis Dardenne. « Nous avons beaucoup travaillé sur cette volonté de rendre la ville aux habitants, la voiture devenant secondaire. Ce qui n’était pas évident au départ. Mais on reconquiert notre espace » a-t-il expliqué en revenant sur cette zone de rencontre constitué par le Mail Sadi Carnot « qui est une expérience réussie, qu’on  nous demande de présenter et de parler pour s’en inspirer. Mais on n’est pas encore arrivé à ce que tout le monde la respecte ».   

     

    Rue de L’avenir : Le devenir de la rue de l’Avenir est revenu sur le tapis alors que le conseil municipal de ce soir doit intégrer l’impasse de l’Avenir et l’allée Vernes dans le classement dans le domaine public de cette voie : « Le Conseil Municipal en Septembre 2011 avait lancé cette procédure pour la rue de l’Avenir. On a demandé d’y inclure cette impasse et cette allée, ce qui a prolongé la procédure. On ne s’est pas précipité parce qu’on n’avait pas les budgets  pour faire les travaux. Une enquête publique devrait se dérouler cet automne pour un classement qui interviendra en 2014. Seuls des recours pourraient prolonger cette procédure. Il nous faudra ensuite arbitrer pour financer des travaux d’aménagements qui privilégieront la sécurité ».

     

    Stationnement : Il a annoncé que le stationnement réglementé pourrait être étendue rues du Docteur Lafosse et Clemenceau dés cet été à la demandedes riverains qui se plaignent de ne plus pouvoir se garer. Ce quartier subit la pression, comme d’autres autour du PMS A.Roche et du Clos Montholon, des voisins qui viennent se garer là car ce n’est pas encore payant. Mais dans ce quartier, le problème est devenu crucial à cause des 4 chantiers de constructions rue Aristide Briand  qui ont supprimés des places de stationnement comme l’a fait remarqué une riveraine en se plaignant « des ouvriers qui se garent sur nos bateaux ». Bernard Gauducheau a d’ailleurs indiqué à propos d’un des projets de constructions prévus dans ce quarter à l’emplacement du garage de la rue Raymond Marcheron, qu’il avait refusé le permis de construire du promoteur Sofiane, qui n’était pas conforme. Rappelons qu’il avait fait l’objet de réunions publiques particulièrement houleuses avec les riverains, surtout avec la gestion déplorable du chantier de la résidence étudiante à l’angle Diderot/Marcheron.

     

    Mur Anti Bruit : Enfin, il a été question du mur anti-bruit : « L’étude initiale de 2007 a été refaite et fait apparaître 63 points et non plus 27 comme en 2009, dont les 2/3 sont à Vanves (49)  et 1/3 à Malakoff, la plupart étant des pavillons  et 6 logements collectifs » a-t-il indiqué en parlant d’une nouvelle étude de RFF. « C’est un dossier complexe à cause de la multitude des acteurs, des problèmes de gros sous et d’une mauvaise volonté de RFF, nous obligeant à relancer contiuellement ». Les solutions proposées seront, selon les lieux, de l’isolation phonique, du double vitrage, du mur anti-bruit mais pas sur toute la longueur de la voie ferrée. Sans parler des nouvelles constructions qui doivent être prises en compte notamment l’immeuble Martek à l’emplacement de l’ancienne imprimerie.

  • LES HAUTS DE VANVES : BEAUCOUP DE SUJETS BRULANTS… SANS VERITABLES REPONSES IMMEDIATES

    Pour sa 3éme et dernière réunion publique de quartier du dernier semestre 2012 à l’école Larmeroux, lundi soir, Bernard Gauducheau était bien entouré, avec plusieurs adjoints :  Daniel barois président du Comité de quartier des Hauts de Vanves dont tous les membres n’étaient pas présent, Laurent Lacomére, chargé de la sécurité, Gérard Laubier des travaux publics, et Valérie Vignaud de la culture pour l’un des deux exercices obligés de cette session sur la politique culturelle avec  l’Agenda 21, le Directeur Général des Services, le DGS chargé des services technique, le représentant de GPSO, et bien sûr le photographe-reporter aux commandes du Power Point.

     

    Le premier (théme) n’a guére suscité de questions, Valérie Vignaud ayant abordée cette fois-ci d’autres actions non traitées lors des précédentes réunions comme la restauration de l’orgue de l’église Saint Remy : « Cette reconstruction permettra d’ouvrir une classe d’orgue qui sera assez représentative, permettant d’organiser des concerts, et de rendre acccessible à tout public cet instrument » a-t-elle expliqué. L’un des assistants de José Alfarroba, directeur du Théâtre  qui est intervenu sur la programmation de la saison culturelle, a cette fois-ci, beaucoup insisté sur le cinéma  qui bénéficie d’un projecteur numérique depuis la Rentrée, avec une programmation intéressant adultes et enfants durant la trêve des confisseurs. Seule question posée : « Pourquoi la bibliothéque est-elle fermée pendant les vacances ? » - « C’est pour des raisons logistiques. 3 à 4 personnes s’occupent de la bibliothéque. Il faut qu’elles puissent prendre des vacances ! ». Pas très satisfaisante comme réponse par rapport à la continuité de service (public).  Guére plus de succés pour l’Agenda 21. Bernard Gauducheau a expliqué qu’il regroupe un certain nombre de dispositifs environnementaux, économiques et sociaux  pour améliorer notre cadre de vie, mis en œuvre par GPSO et décliné au niverau local, qui « permettent de remettre en cause nos habitdes et nos pratiques ». Il a parlé de cet énergiticien recruté voilà 3 ans pour ré-étudier tous les contrats d’eau, d’électricité, de gaz…et a permis d’économiser jusqu’à 300 000 €, des travaux d’isolation à l’Ecole Marceau. « Ces investissements lourds au départ se révélent bénéfiques par la suite ».

     

    SNCF ET RFF

    Le mur anti-bruit a réveillé l’assistance grâce à Daniel Barois qui a fait le point : « Les études d’Avant Projet ont débuté en Septembre et seront suivis d’une consultation publioque, puis d’une étude d’avant-travaux pour permettre de réaliser en 2015 un mur anti-bruit et des isolations de fenêtres. RFF a fait trainé les choses » a-t-il reconnu. « Depuis que la SNCF et RFF se sont séparés, c’est catastrophique » a surenchérit le maire. « Ils se renvoyaient la balle et on en a fait les frais. RFF considérait que Vanves n’était pas prioritaire par rapport à d’autres endroits en France. Mais on a réussit à se mettre d’accord avec Malakoff et à recevoir une aide du Conseil Régional. Après c’est une question de calendrier ! »  

    Un participant a demandé quand les travaux effectués sur les passerelles pour les sécuriser et les remettre en état, seront terminés, un autre s’est plaint qu’ils aient été effectué de nuit, en s’étonnant que les travaux sur les tapis aient été effectués avec l’installation des cages métalliques « alors que l’on aurait pu se satisfaire de grilles qui existaient déjà ». Bernard Gauducheau a insisté sur la nécessité de les sécuriser, et a annoncé leur ré-ouverture, notamment pour la passerelle de la rue du Docteur Lafosse pour la fin de l’année, alors qu’un riverain se plaignait de ne pouvoir pas aller acheter son journal à Malakoff.

     

    CHANTIERS ET VOIE PUBLIQUE

    Un riverain a demandé quelles mesures sont prises pour faciliter la circulation durant les chantiers prévus le long de la rue Aristide Briand. « Un plan de circulation sera mis en place au coup par coup. Mais les chantiers n’ont pas encore commencé. Le 7 A.Briand (où il y a le Palmier) devrait débuter début Janvier et Vinci 3 mois plus tard, car tous les appartements n’ont pas été vendus » a indiqué Gérard Laubier. « Les constructeurs ont signé une charte de bonne conduite avec des contraintes trés précise qu’on vérifiera en matière de livraisons, de propreté, d’installation et de déménagement des grues... Mais ils n’ont pas encore déposé encore le dossier d’organisation de leur chantier. Et on ne donnera le feu vert que si on l’a et s’il convient » a assuré le directeur général des services. Il a d’ailleurs donné des précisions sur le dossier de la rue de l’avenir dont le classement en voie publique, toujours d’actualité, a été retardé. Tout simplement parce que l’impasse de l’avenir a été rajouté dans le classement alors que ce n’était pas prévu dans le projet initial. Ce qui provoque de nouvelles recherches parcellaires, sachant que l’enquête (publique) prendra plusieurs mois, que le classement ne pourra intervenir que vers le milieu de l’année 2013. Enfin le maire a indiqué que l’extension du stationnement réglementé aux voies non concernés encore, est précvu pour l’été 2014. « Mais s’il y a une demande insistante, dans certains quartiers, on pourra étudier la possibilité de l’avancer ». Beaucoup pensent qu’il devrait le faire rapidement vu la pression que subissent les riverains des rues non réglementées du fait des véhicules ventouses venus d’aiileurs et d’Issy autour du parc F.Pic et du Stade de Vanves.

     

    SECURITE

    Le maire a tenté d’évacuer le sujet en affirmant que  « la ville suit les difficultés de la rue de châtillon avec des occupations excessives d’un hall d’immeuble » dans un premier temps. Puis des riverains ont témoigné dans un second temps, comme cet homme bloqué par les jeunes dans l’ascenseur pendant un quart d’heure qui a su garder son calme parce qu’il a montré par son attitude qu’il n’acceptait pas leur diktat. « Il faut beaucoup de chance pour que la police attrape les auteurs des dégradations de véhicules » a répondu Laurent Lacomére en faisant référence aux véhicules vandalisés voilà plus de dix jours dans le quartier. De même pour le parkling de la rue de l’Avenir où les véhicules dégradés sont le résultat d’un règlement de compte entre fêtars et voisins excédés. « On ne sait pas pourquoi la situation se dégrade dans un secteur alors qu’il  était calme jusqu’à preésent. Et cela devient compliqué tant qu’on n’a pas attrapé le ou les fauteurs de trouble. C’est un abcés de fixation jusqu’à ce que la police attrape les auteurs. Mais nous n’avons plus, comme auparavant d’individus postés comme avant. Les caméras de vidéosurveillance ont été disuassives » a expliqué Bernard Gauducheau sans vraiment convaincre ses interlocuteurs dont certains sont excédés

     

    La réunion s’est terminée sur de nombreuses informations  concernant l’ouverture de l’EHPAD des fréres Jésuites de la rue Raymond Marcheron, et de la résidence étudiante à l’angle de la rue Diderot. Malgré quelques malfaçons, comme ces gouttières des balcons qui deversent l’eau de pluie directement sur le trottoir, douche assurée pour les passants. La boulangerie tant attendue rue R.Marcheron a ouvert ses portes. La restauration de la Chapelle Larmeroux est terminée, des offices religueux devraient être célébré pour les maisons de retraites à partir de l’année prochaine. En attendant le maire a demandé de l’éclairer de l’intérieur entre 17H et 23H chaque soir durant la trêve des confisseurs afin  de faire découvrir la beauté de ses vitraux. Histoire de faire le lien avec cette trêve de Noël qui approche dans moins d’une semaine.