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commerce local - Page 9

  • LES OBJECTIFS DE LA VILLE DE VANVES POUR SON DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET COMMERCIAL

    La dernière newsletters du Challenge Club de Vanves a publié une interview très intéressante de Christine Vlavianos, sa fondatrice qui explique n’avoir pas véritablement ressenti de changement sur plan de sa démarche : «Voilà 10 ans j’étais alors animée d’un profond désir de me mettre au service des entrepreneurs et de les accompagner dans toutes les étapes de la vie de leur entreprise. Je voulais rompre la solitude de ceux qui choisissent un métier souvent difficile et incertain…. Aujourd’hui, devenue Adjointe au Maire de Vanves, chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Vie Economique et de l’Emploi, mes motivations n’ont pas changé. Je reste plus que jamais au service des entrepreneurs, commerçants et artisans. Sauf que, désormais, ma fonction s’étend à l’échelle de ma ville mais également du territoire en tant que Conseillère Territoriale de Grand Paris Seine Ouest. En ces temps difficiles que nous traversons, j’ai conscience de l’ampleur de la tâche qui m’incombe mais je suis heureuse de poursuivre mon rôle d’accompagnatrice, en particulier de tous ceux qui sont fortement touchés par la crise».

     Occasion de rappeler que son premier objectif est la relance des activités économiques après cette crise sans précédent avec quelques projets dont elle avait donné un avant goût lors du conseil municipal du 12 Février 2021 où les maires ajoints avaient dnné une dée des nouveaux projets pour la ville pour la mandature et pour 2021 présentés dans Vanves Le Mag de Mai 2021 :

    Toutd abord encourager la création de nouveaux commerces grâce notamment aux boutiques éphémères, la mise en place d’une plateforme réservée aux commerces de proximité (petits commerces.fr) «afin de familiariser au digital nos commerçants/artisans et de les aider à intensifier leur visibilité sur le Web et les réseaux sociaux». La rénovation du marché couvert qui est un des projets-phares de la mandature fait actuellement l’objet d’une étude prospective. Elle prévoit un partenariat entre le pôle hôtelier de la Porte de la Plaine et les commerçants, d’un marché bio et un partenariat avec la ferme urbaine du Parc des Expos. Une enquête devrait être réalisée auprés des vanvéens sur leurs modes de consommations et leurs attentes terne de commerce local

    Ensuite pour les entreprises, la ville souhaite «développer le parrainage d’entreprises et créer un cercle vertueux commerçants/entreprises afin de créer une synergie entre tous les acteurs économiques de notre ville, avec la création de nouveaux espaces co-working. Enfin, l’emploi pour lequel elle prévoit d’organiser sous forme d’un webinaire, avec Pôle Emploi et SOEE, un Forum de l’Emploi  suivi d’un job dating en présence d’une sélection d’entreprises.

  • 3e CONFINEMENT A VANVES : DES COMMERCES SOUS LE CHOC

    Le cri d’alarme d’une petite commerçante de Vanves comme Vanv’en Poupe, paru hier sur le blog, est tout à fait typique des dégâts occasionnés par cette crise sanitaire depuis plus d’un an. Combien de cafés-restaurants vont se relever notamment à Vanves, même si beaucoup s’en sortent tant que mal, mais avec des pertes mensuelles, par les plats à emporter.., mais aussi les aides de l’Eat, de la Région, du Département, de GPSO

    Les commerces concernés par cette nouvelle fermeture sont en état de sidération,  tous ces commerces jugés non essentiels sont sous le choc, des grands magasins aux  boutiques de vêtements, les parfumeries, les esthéticiennes  : «Dès lors qu’il n’y a pas de danger pour la santé, dès lors qu’on respecte les protocoles, il faut qu’on puisse ouvrir normalement ces commerces» explique Didier Kling, président de la Chambre de Commerce et d’industrie d’Ile de France, pour lequel  d'autres scénarios auraient pu être choisis. «On aurait pu imaginer des solutions différentes. J'aurais préféré qu’on dise «vous pouvez vous promener pendant deux heures»,  et pendant deux heures fréquenter les commerçants, dès lors qu’ils respectent certaines conditions strictes d’hygiène». Il dénonce une situation «un peu absurde, car si j’ai bien compris, je peux aller faire réparer mon vélo, mon ordinateur… mais pas mes chaussures, alors qu’on m’incite à marcher beaucoup !». Par ailleurs, le gouvernement a annoncé un renforcement des aides aux entreprises, avec 1,2 milliard supplémentaires. «Cela me rassure sur le plan matériel» a réagit Didier Kling, qui estime que «les aides sont massives. Mais il faut aussi garder à l’esprit (…) qu’il y a aussi l’aspect convivial, l’aspect social et l’aspect psychologique. On voit de plus en plus de commerçants en situation de détresse».

    Occasion de rappeler l’activité économique avait chuté de12% lors du confinement de Novembre, la région étant par ailleurs particulièrement fragilisée, car plusieurs de ses secteurs-clefs sont à l'arrêt, comme le tourisme, l'aéronautique ou l'évènementiel. L'enjeu est aussi national car l'Ile-de-France représente 30% du PIB français. «Ce n'est pas une région comme les autres (…). C'est 1,2 million d'entreprises, c'est 6,5 millions d'emplois salariés et non-salariés (…), c'est 250.000 artisans et 250.000 professions libérales. Lorsque l'on ferme Paris, c'est 43.000 boutiques qui sont fermées» confirmait Bernard Cohen-Hadad, président de la CPME Paris IDF,  en ajoutant «le couvre-feu a déjà montré qu'il y avait des dégâts, 20 à 30% du chiffre d'affaires perdu par jour pour les commerces». A leurs yeux, tous les acteurs économiques sont soucieux de «la réalité sanitaire, mais on voit bien aussi que nos entreprises ont fait le maximum avec le gel, avec le télétravail, avec les écrans de protection »

  • A VANVES LES RESTAURATEURS ESSAIENT DE TENIR LE COUP SELON LE ¨PATRON DU PETIT VANVES

    A cours de cette fin de semaine de phénoménale durant laquelle, on a assisté à une annonce de reconfinement « light », un exode des franciliens en province, une dérogation de sortie absolument démentielle heureusement remplacé par un justificatif de domicile, une correction des commerces dits essentiels… un restaurateur vanvéen a fait parler de lui, Jean Pierre Anselme. Chef du restaurant «Le Petit Vanves» que le blog avait interviewé pendant le premier confinement. Il avait pris un véritable coup de massue sur la tête après l’annonce en  plein service du samedi soir le 14 Mars 2020  par le premier Ministre Edouard Philippe de la fermeture des Cafés-bars-restaurants à minuit et avait mis du temps pour se tourner vers la vente à emporter parce qu’ils avaient «envie d’être présents et de continuer d’exister». Il confiait à Nathalie Loison, une journaliste qui a habité Vanves,  Mercredi soir dans le journal de 23H de France Infos, avoir reçu de nombreux messages de soutien, mais en restant discret sur ses gestes se solidarité, en offrant un repas aux prêtres des paroises de Vanves, pendant le premier confinement. Un restaurateur serein qui reste optimiste selon Nathalie Loison  

    «Je tiens car je vis les choses avec une certaine sérénité. Nous avons la chance d’avoir dans ce pays, une aide de l’état qui permet de tenir» at-il confié.  « Mon restaurant est une petite structure avec 5 personnes qui est  idéal pour faire face à la crise. Je pense que ce serait difficile si elle était plus importante. J’obéis à la situation, en étant présent avec la vente à emporter, pour continuer à exister, pour la clientèle et l’environnement, car cela est  violent de voir un commerce fermé. On a travaillé grâce à un soutien de nos clients journaliers qui nous soutiennent. J’ai affiché des slogans qu’on allait tenir grâce aux aide. Et je tiens sur la pointe des pieds en faisant trés attention» ajoutait il. « Je ne suis pas d’accord avec des confrères qui expliquent qu’il serait possible de ré-ouvrir car on a les mesures sanitaires, les outils disponibles,  aves les masque, gel hydroalcoolique, vitre en plexiglas etc…. Car je pense que la contamination se fait dans le brassage. C’est-à-dire que les amis quand ils viennent au restaurant, ils se donnent rendez-vous et c’est à ce moment-là que la contamination se passe» affirmait-il. «Je l’ai bien compris, c’est le brassage qui fait la contamination. Mais les gens sont impatients, et les restaurateurs ne vont pas bien !» concluait il