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  • CHALLENGER CLUB DE VANVES : UNE SOIREE SUR L’ART DE VENDRE

    Voilà une semaine, le Challenge Club de Vanves organisait le 2éme forum de l’entreprise consacré au théme de l’art de vendre, point d’orgue d’une Fête du Commerce new look qui avait été clôturé l’avant-veille sur la place de la République, comme l’a fait remarquer la maire de Vanves : «On a construit un concept nouveau pour cette fête du commerce , avec 149 commerces inscrits, 7000 participants…pendant 10 jours »

    Voilà maintenant depuis 27 ans que cette association accompagne les entrepreneurs vanvéens  et des environs afin «qu’ils soient mois isolés, mieux informés, mieux accompagnés, et à être plus cvisibles » comme l’expliquait Christine Vlavianos, sa présidente-fondatrice. En étant très à cheval sur une éthique du partage et de la solidarité. «Les missions que l’on remplit sont tout à fait citoyenne, en accompagnant les entrepreneurs dans la réussite de leur entreprise (dans les deux sens du terme)». Elle est soutenue sur la CCI (Chambre de Commerce et d’Industrie) du 92 (Hauts de Seine) qui entretient des relations étroites avec tous ces clubs de chefs d’entreprises, et notamment le Challenge Club de Vanves deouis 3 ans,  qui « permettent de chaser en meute, d’échanger, de s’entraider » comme l’a expliqué l’un de ses représentants présents. D’ailleurs elle a présenté son opération Conect Street mis en place voilà quelques mois pour soutenir la transition digitale des commerces. Une des principales actions de la CCI Paris Ile de France qui défend le commerce de proximité dans les centres villes. Les intervenants de cette soirée, se sont évertués à expliquer finalement l’art de vendre, cela s’apprend mais ne s’improvise pas, que ce soit Laurent Cligny, fondateur d’Impulsion 2000, société de vente supplétive B to B, Sylvie Diat directrice de Booster Academy (Centre d’entrainement à la vente), Alain Muleris Fondateur de Vitamine V (Développement commercial) et auteur de l’ouvrage « Trouvez vos futurs clients en 100 jours »…avec des exercivces pratiques

  • Le service national universel : Un projet républicain et de société majeur pour le ministre de Vanves

    «Créer une dynamique collective autour des valeurs de l’engagement ». Tel est l’objectif d’Emmanuel Macron qui avait promis pendant la campagne présidentielle de mettre en place pour les jeunes Français un service national universel, vingt et un ans après l’abandon par Jacques Chirac du service militaire. Mais cette mesure s’avère délicate à mettre en place. Et un vanvéen est chargé depuis mardi de de ce dossier, comme secrétaire d’Etat à la Jeunesse : Gabriel Attal 

    A l'origine, le candidat Macron avait promis en mars 2017 de rétablir un « service militaire universel » obligatoire, de courte durée « d'un mois » et « encadré par les Armées et la gendarmerie nationale » devant intervenir dans les 3 ans suivant les 18 ans. Finalement le service national universel (SNU), comportera une partie obligatoire d'un mois, vers 16 ans, pendant lequel les jeunes réfléchiront à la notion d’engagement et de citoyenneté, et seront formés à des notions de sécurité civil avec initiation aux premiers gestes de secours pendant 15 jours,  puis  ils travailleraient sur un projet d’engagement associatif, par petits groupes pendant 15 autres jours. L’objectif est de créer une dynamique collective, favoriser un brassage social en sortant les adolescents de leur cadre de vie habituel, réunis en internat, et un partage des valeurs de la République avant l'entrée sur le marché du travail, pendant le premier module « Il doit également s'agir d'un moment de rencontre entre la jeunesse de notre pays et la nation, et en partie son armée mais aussi d'un engagement civique » expliquait Benjamin Grivaux, porte-parole du gouvernement.

    La période facultative ou volontaire, potentiellement indemnisée, se déroulerait durant une période de 3 à 6 mois, « pour ceux qui ont envie de s'engager davantage encore » et qui pourrait s'effectuer avant 25 ans, consacrée à un projet de volontariat «dans des domaines aussi variés que la défense, l'environnement, l'aide à la personne, le tutorat, la culture,  en s’inspirant du service civique lancé sous le mandat de François Hollande qui comptabilise 100 000 volontaires par an. Cet engagement donnerait lieu à « des mesures d'attractivité variées et ciblées », selon le gouvernement : facilités d'accès au permis, crédits universitaires, éventuelle indemnisation…                     

    Mais ce projet est resté flou volontairement jusqu’à présent, car il doit faire l’objet d’une vaste consultation menée auprès de la jeunesse et de ses organisations mais aussi auprès des parents d'élèves, des syndicats d'enseignants et des collectivités territoriales, afin de définir précisément le contenu et les modalités de la phase obligatoire du SNU.   Le dispositif a vocation à toucher 750.000 jeunes par an, mais en 2026. Car sa mise en place sera progressive. Le SNU commencerait à être mis en oeuvre « à l'été 2019 », mais il « ne concernera pas toute une classe d'âge » dans l'immédiat et sera progressivement mis en place sur plusieurs années. Ce projet suscite la méfiance et la perplexité en raison de son coût potentiel, du casse-tête posé par l'hébergement et l'encadrement de centaines de milliers de jeunes par an ou encore de son caractère obligatoire. L'encadrement et l'hébergement restent à définir. Quant au coût,  un rapport produit par le Sénat en juin dernier l’estimait, lui,  à 30 milliards d'euros pour une génération de jeunes, soit 800 000 individus. D’ailleurs le député François Cornut-Gentille a mis  les pieds dans le plat quant à la finalité de cet engagement dédié aux jeunes : «Soit ça ne coûte pas cher mais ça ne sert à rien, soit on met le paquet pour que ça marche, mais la France n'en a pas les moyens et a d'autres priorités». 

    Il a aussi très vite suscité la méfiance de l'armée, la perplexité du monde éducatif ainsi que l'hostilité des syndicats étudiants - la FAGE (Fédération des associations générales étudiantes), le SGL (Syndicat général des lycéens), l'UNL (Union nationale lycéenne) -  qui ont signé une tribune dans le JDD (Le Journal du Dimanche)  pour s’opposer frontalement à cette proposition d’E.Macron en soulignant «le caractère contraignant du SNU» et les « incohérences du projet ». Si le caractère obligatoire dérange certains jeunes, d'autres en revanche voient ce projet comme un moyen d'aider les décrocheurs scolaires. Enfin, le projet du service national universel affiche l'ambition de faire «acquérir un corpus de valeurs citoyennes et de solidifier la résilience de la nation » .  D’ailleurs les auteurs du rapport mettent en garde contre l’un des plus importants écueils sur lequel pourrait s’échouer le projet : la contrainte. « Le service national universel ne doit pas être conçu, ou regardé, comme le projet d’adultes, raisonnables et vieillissants, imposant à une jeunesse turbulente une période durant laquelle on lui enseignerait l’autorité et les vraies valeurs »-

    « Il ne s'agit pas de réinventer le service militaire » mais de donner « à la jeunesse de France des causes à défendre, des combats à mener dans les domaines social, environnemental, culturel », avait plaidé le chef de l’Etat lors de ses voeux aux forces vives de la Nation et aux corps constitués. Il a aussi pour objectif de renforcer le lien entre l’armée et les citoyens. « La situation stratégique, les menaces qui pèsent sur notre pays nous commandent de renforcer le lien armée-nation » avait ainsi estimé le futur président, pendant sa campagne présidentielle. Dans une France secouée par une série d'attentats jihadistes, il y voyait «un projet de société majeur, un véritable projet républicain, qui doit permettre à notre démocratie d’être plus unie et d’accroître la résilience de notre société ». 

  • DANS LE CREUX DE L’OREILLE DE VANVES

    PROVENDIER DE SUPLEANTE A DEPUTEE

    Suite à l’entrée au gouvernement de Gabriel Attal, nommé secrétaire d’Etat auprès de Jean-Michel Blanquer, chargé de la Jeunesse, sa suppléante Florence Provendier (sur la photo avec lui dans un bureau de vote de Vanves) deviendra officiellement la nouvelle députée de la 10e circonscription des  Hauts-de-Seine (Vanves-Issy) le 17 novembre prochain. Depuis juillet, elle est directrice de la communication et du marketing de l’ESSEC Business School. Diplômée de la prestigieuse école de commerce en 1998, elle avait travaillé en entreprise et en ONG, notamment pour l’association «Une Enfant par la main», qui permet de parrainer des enfants démunis et de réaliser des projets dans leurs communautés, en Afrique, Asie et Amérique Latine. C’est une isséenne depuis 1991, malgré un petit séjour du côté du Trapéze à Boulogne, mais toujours sur le territoire de la 10e, qui est une adepte de la marche, ayant sillonné de nombreux sentiers mythiques, de la Cordillère des Andes aux Anapurna, du tour ddu Mont Blanc au GR 20,34… et bien sûr le chemin de Saint Jacques de Compostelle. De là à devenir une marcheuse, iln’y avait qu’un pas, qu’elle a franchie en 2016, en ayant croisé leur dynamique. «L’impulsion de renouveau incarnée par le Président de la République et l’envie de contribuer à la démarche progressiste amercée ainsi que la personnalité de Gabriel Attal, m’ont incitée à devenir sa suppléante en Juin  2017 » explique t-elle

    CENTRE ANCIEN CONGESTIONNE

    La circulation devient infernale dans le Centre Ancien. car non seulement l’expérimentation de l’inversion de la rue Pruvot continue, mais en plus, des travaux du syndicat des Eaux d’(Ile de France (SEDIF) dans les rues Valentine Jacquet, Vieille Forge et place du Président Kennedy ont commencé voilà quinze jours, le site Internet de la mairie ayant indiqué qu’elles pourraient être bloqué à certains moments. C'est-à-dire que pour relier le Clos Montholon ou les Hauts de Vanves et le Centre Ancien, il faudra passer par Issy les Moulineaux ou Malakoff. Heureusement le mondial de l’auto est terminé, mais bonjour la pollution et les embouteillages. D’ailleurs beaucoup d’habitants et riverains de ses rues se sont aperçus d’une augmentation de la circulation aux heures de pointe dans ces quartiers jusqu’à présent tranquille. Et cela pour quelques habitants de la rue Pruvottrès influents

    RECORD DE VENTE FONCIERE AUTOUR DE LA GARE DU GPE

    L’ORF (Observatoire régional du Foncier) s’est penché sur le marché foncier autour des gares du Grand Paros Express qui ont suscité 1364 transactions dans les 800 m autour de celles-ci représentant un volume global de 1,9 milliard d’euros. Il a constaté que les volumes financiers en jeu les plus élevés, se situent, en autre, sur la commune d’Issy les Moulineaux, autour du Fort d’Issy-Vanves-Clamart de la ligne 15 sud du GPE. Ce secteur affiche un volume financier global de 211 M€ pour 63 ventes portant sur un total de 13,3 ha