Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • L’ETE SERA CHAUD A VANVES ET EN ILE DE FRANCE

    L’été sera chaud tout simplement parce que les météorologues nous prédisent une canicule pour cet été, à cause d’un froid rigourex cet hiver, mais aussi, parce qu’il sera très agité à Vanves à cause des nombreux chantiers qui occupent nos rues et nos places. Ainsi qu'à la Région où beaucoup de choses se mettent en place pour réaliser le projet du Grand Paris

     

    LES GRANDS TRAVAUX DE L’ETE : PARTOUT A VANVES

    Pas une rue sans pratiquement de chantier à Vanves. Du jamais vu.  En dehors des gros chantiers lancés à l’automne ou l’hiver dernier (Cabourg, Marcheron, Bleuzen), d’autres se sont rajoutés obligeant les automobilistes à changer leurs habitudes car de nouveaux sens uiniques ont fait leur apparition : le  démarrage du réaménagement de la rue Sadi Carnot qui bloque entre l’église Saint François et Trouvailles, sans parler de l’élagage des arbres dans certains rues du Plateau.  Mais le plus spectaculaire est le démarrage du site propre rue Antoine Fratacci depuis hier avec l’enlévement et le dessouchage des arbres sur le trottoir et le terre plein.  « Ce projet mené par la Ville de Vanves et le Conseil Général des Hauts-de-Seine jusqu’à l’automne 2010 apportera une meilleure circulation automobile et piétonnière, tout en réduisant la pollution atmosphérique » explique la Mairie dans un communiqué. « En harmonie avec la politique de la Ville de Vanves en matière d'environnement et de développement durable, tous les arbres enlevés seront remplacés par des essences mieux adaptées au milieu urbain ».

    ARC EXPRESS DU COTE DE VANVES

    Le STIF vient de lancer « Fil d’Infos Arc Express »  qui est une Newsletter sur l’avancement de ce projet dont le débat public doit débuter en Octobre et que l’on peut se procurer sur le sire internet (www.arcexpress.fr)  Avec un éditorial signé par JP Huchon «Débat public : N’attendons plus ! ». Mais c’est surtout la carte de ce projet de transports dans la petite couronne qui est intéressante à voir, avec ses variantes notamment dans le Sud Hauts de Seine et le terrioire de notre agglomération GPSO ainsi que notre commune. Ainsi selon les variantes, Vanves aurait une statioon au niveau de la station Plateau de Vanves/Malakoff pour assurer une correspondance avec la ligne 13 si le tracé proche ou intermédiaire est retenu  ou sinon du côté du Clos Montholon à la limite de Clamart et de la gare SNCF, si le tracé lointain est décidé.

     

    SOCIETE DU GRAND PARIS : FEU VERT POUR SANTINI

    Le décret présenté hier en conseil des ministres pour la Société du Grand Paris prévoit une dérogation à la limite d'âge de 65 ans pour les présidents des établissements publics qui pourrait bénéficier au député-maire d'Issy-les-Moulineaux André Santini, 69 ans. Le décret d'application prévoit en effet que « le conseil de surveillance élit un président ainsi qu'un vice-président parmi ses membres âgés de moins de soixante-dix ans au jour de cette élection ». M. Santini est né le 20 octobre 1940. La perspective de sa nomination à la Société du Grand Paris avait suscité un vif débat au Sénat lors de l'examen du projet de loi sur le Grand Paris. Jean-Pierre Fourcade, rapporteur du texte, qui le déteste cordialement, s'était opposé vigoureusement à une dérogation. Celle-ci avait été introduite à l'Assemblée nationale par l'adoption d'un amendement de Jean-Christophe Lagarde (Nouveau Centre). Lors de la commission mixte paritaire (sénateurs-députés) qui avait décidé de la mouture finale du texte promulgué le 3 juin, la dérogation avait disparu. Le gouvernement l'a donc rétablie par la voie d'un décret d'application. Le conseil de surveillance de la Société du Grand Paris, chargée notamment de réaliser une double boucle de métro automatique autour de Paris, devrait être convoqué  avant la fin du mois de juillet. Il sera chargé notamment, d'approuver les orientations générales du dossier de débat public sur la double boucle, dénommé Grand Huit.

    REGION : 2 647,79 € POUR UN CONSEILLER DE BASE

    Dernière Commission Permanente à la Région  avant les vacances d’été  pour Bernard Gauducheau aujourd’hui. Une essemblée régionale marquée ses derniers temps par de nombreux débats sur les moyens  données à ces élus régionaux pour exercer leur mandat qui ont rejaillit sur le devant de l’actualité alors que généralement. Ainsi un conseiller régional de base, membre de la commission permanente comme notre maire perçoit une indemnité mensuelle de 2 647,79 €. Il peut bénéficier d’un droit à la formation et de remboursement de frais de déplacements, de missions etc…strictement réglementé par la loi. Il peit recevoir un équipement informatique composé d’un micro ordinateur portable et d’accessoires liés, ainsi que d’une connexion internet mobile. Et cela en dehors des moyens mis à dispositions des groupes politiques : Ainsi pour le Nouveau Centre, le mombre de collaborateurs est  définis en fonction du nombre d’élus, et la surface des bureaux  occcupé par le groupe est calculé selon un ratio de 4,5 m2 par élus etc….

  • A VANVES, LE CAUE INAUGURE SON 3éme SIEGE

    Bernard Gauducheau, Maire NC et Guy Janvier Conseiller Général PS entouraient Philippe Laurent président du CAUE 92 hier soir à l’inauguration des nouveaux locaux du CAUE 92 (Conseil d’Architecture d’Urbanisme et de l’Environnement des Hauts-de-Seine) installé à Vanves au 38 de la rue du Clos Montholon. Un ancien bâtiment industriel où étaient construit des fours qui s’étale de la rue du Clos Montholon jusqu’à l’avenue du Général de Gaulle où devraient être construits 5 maisons en triplex à partir de 154 m2 avec 4 à 5 chambres. Le siége du CAUE 92 est installé dans un bâtiment accolé au bâtiment industriel qui devrait être destiné à l’habitat lorsque ce dernier rejoindra dans 3 ans les Terrasses de Nanterre prés du Conseil Général.

    Nos élus ont pu découvrir un agréable cadre de travail dans ce quartier pavillonnaire face à la gare SNCF de Clamart. « Un quartier qui va évoluer, car des mutations sont prévus dans ce secteur avec la construction du Fort Numérique (cyber-éco quartier) où devraient s’ionstaller 5000 habitants, au cœur de l’agglomération du  GPSO (Grand Paris Seine Ouest). Il se peut que l’avenir se passe ici et non ailleurs (La Défense) » a déclaré le maire de Vanves en accueillant officiellement Philippe Laurent, président du CAUE 92, maire de sceaux, Jean Sébastien Soulé son directeur et son équipe. « Le CAUE apporte beaucoup aux élus et aux villes. Je ne suis pas prêt d’oublier que le CAUE 92 a travaillé sur la requalification et le re-dynamisation du centre ancien. Ce qui nous a permis d’éviter de nombreuses erreurs dans ce secteur très sensible grâce à vous ! ».

    Philippe Laurent a reconnu que « le CAUE 92 est ici à une étape de sa vie. Il l’a commencé à Boulogne, continué à Sceaux a Petit Château où de grandes expositions de qualité ont pu être organisé, maintenant à Vanves et bientôt les Terrasses de Nanterre où nous serons face au Conseil Général qui nous a beaucoup aidé et nous aide moins maintenant. Nous sommes finalement passés par des territoires finalement très divers comme ce département ». Il a ajouté quelques mots sur cet organisme « qui a pris sa place dans les Hauts de Seine en aidant autant les particuliers qui souhaitent construire, que les collectivités locales avec leurs projets ( Réglement des enseignes, devanture commerciale, études urbaines…), et même les colléges avec des opérations de sensibilisation comme « Mon collége » pour faire prendre conscience aux collégiens de l’endroit où ils apprennent ». Cette opération a concerne 25 colléges chaque année et permet de toucher 10 000 personnes. Un petit spectacle sur le  Grand Paris a été ensuite présenté aux invités, durant lequel des artistes ont relu des textes très divers, intéressant et drôles sur ce théme.

  • Corridors écologiques : De l’Ile de France à Vanves

    Avec le vote de la loi Grenelle II de l’Environnement, il a été beaucoup questions de corridors et de continuités écologiques » ses derniers jours. Son objectif est de reconstituer la trame verte et bleue (TVB). « Elle est l’affaire de tout le monde à tous les niveaux, de l’Etat aux communes en passant par la Région et les départements, car la TVB prévue pour la fin 2012 doit modifier les codes de l’environnement et de l’urbanisme, être un outil d’aménagement du territoire pour défendre et préserver la diversité  » expliquent des spécialistes qui parlent du Schéma Régional de Cohérence Ecologique (SRCE). Celui-ci doit être un contenu concret à la notion de trame verte et bleue et devra être pris en compte dans les SCOTS, PLU et projets d’infrastructures linéaires (routes, lignes TGV) de l’Etat. Il  doit faire l’objet d’un séminaire en Ile de France à la Rentrée,  de la mise en place d’un Comité Régional, et d’une concertation avec une enquête publique.

    Une étude sur les continuités écologiques dans les Hauts de Seine a même été réalisée par le cabinet Biotope depuis plus d’un an. Son objectif était de mettre en évidence les différentes composantes du réseau écologique départemental composées de cœurs de nature (réservoirs de biodiversité) et de corridors écologiques les reliant ou répondant aux déplacements d’espèces supports. « Pour que ces espaces soient bien conservés et fonctionnels, ils nécessitent d’être vastes, d’avoir des stades de végétations diversifiés notamment pour le milieu forestier et d’être bien  connectés » indique cette étude qui a recensé 72 cœurs de nature répartis en 3 catégories « forestier, humide et ouvert »  dans une aire d’études qui englobe le département et une zone tampon de 5 km. 25 concernent le département, dont plus de 60% sont identifiés dans le compartiment forestier, les autres se répartissant de manière égale entre « ouverts » et « humides ». « Leur maintien est une nécessité pour garantir la pérennité génétique et l’évolution des espéces au sein des Hauts de Seine » indique t-elle en montrant que si certains s’auto-suffisent, d’autres sont en cours d’isolement. Ainsi l’Arc boisé du département (composé de 4 Cœurs de Nature d’intérêt majeur : Forêt de Meudon et ses lisiéres, Forêt de Verrières et aval de la vallée de la Biévre, forêt de Fausses Reposes-Parc de Saint Cloud et leurs lisiéres, forêt de la Malmaison-vallon des Gallicourts-Parc de la Jonchére) subit de fortes pressions, l’habitat forestier s’étant morcelé à cause des routes (plus de 1510 km de routes les traversent).

    PLUS DE 200 CORRIDORS POTENTIELS

    La préservation de ces cœurs de nature remarquable passe par des corridors écologiques pour les relier, entourés d’un écrin de nature « ordinaire ». Ils se déclinent par compartiment et par « espèce support » choisie. Ils ont été localisés principalement dans le sud du département en particulier au niveau de l’arc boisé, mais certains se dessinent notamment sur les berges de la Seine et les côteaux. Les corridors écologiques forestiers sont réduits – une dizaine – et fragilisés. L’étude note que l’axe Malmaison-Haras de Jardy et au sein de la forêt de Meudon sont à améliorés. Mais l’axe Meudon-Fausses Reposes n’est pas du tout fonctionnel. Dans les milieux ouverts (en passage ou en lisière des espaces boisés) plus de 200 corridors potentiels ont été proposé et sont en cours d’étude. Pour les milieux humides, ils sont limités à la Seine, à vallée de la Bièvre,  aux Rûs dont celui de Gôdets, au réseau d’étangs et de mares de la forêt de Meudon mais voilà le barrage-écluse de Suresnes supprime toute migration contrairement à ceux de Chatou et Bougival sur la Seine.

    « Cette étude et les différentes cartes qui l’accompagnent devrait aider les collectivités à décliner les continuités écologiques dans leurs projets et servir de repère pour confronter les grands projets d’aménagements aux enjeux écologiques » expliquent ses auteurs. Une dizaine de secteurs testes ont été choisis pour illustrer une problématique précise comme un passage à faune, et un comité de pilotage devrait décliné un programme d’actions. Il s’agit de la Traversée de la Forêt Domaniale de Meudon par la RN 118, du corridor de la forêt de Meudon à l’étang d’Ursine, de la Coulée Verte du Sud Parisie, des connexion entre la forêt domaniale de Verrières et la Coulée Verte du Sud Parisien, entre le parc du Chemin de l’ïle et le parc André Malraux, entre la Plaine des Clowseaux, le vallon des Gallicourts et la forêt de la Malmaison,  du talus ferroviaire reliant le parc des Chanteraînes à Asnières, de la continuité de la forêt de la Malmaison à Fausses Reposes, le vallon de la Marche.

    LA CONTINUITE ECOLOGIQUE  DE VANVES

    Les vanvéens ont découvert cette continuité verte le 17 Octobre dernier qui se trouve le long du talus SNCF entre l’entrée de la rue J.Bleuzen et l’ilôt du métro. L’entretien a été confié à l’association  d’insertion Espaces dont les responsables sont venus faire un exposé sur « le rôle des corridors écologiques » devant le Comité Consultatif sur le développement durable le 15 Décembre dernier. Occasion de découvrir la richesse d’un tel corridor avec de multiples espèces : Cortéges de plantes de prairies en lisiére ensoleillée sur sol calcaire avec de l’origan, de la sarriette commune, de l’aigremoine eupatoire, de la campanule raiponce, de l’inulevisqueuse, de l’herbe aux mites, de la potentille dressée et argentée, ses troiçis dernières plantes choisissent des friches très ensoleillées pour croître. Elles ont été observées à trois reprises dans les Hauts de Seine . Enfin, pour couronner le tout, le talus abrite quelques pieds d’orchidées, des ophrys abeille. C’est la raison pour laquelle le choix des végétaux  plantés s’est orienté vers des espèces meliféres (qui produisent des substances récoltées par les insectes butineurs pur en faire du miel). C’est pourquoi, il est prévu d’installer des ruches.