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  • DES NOUVELLES DES ELUS DE VANVES EN TERRE SARKOZYSTE

    ISABELLE DEBRE A L’ELYSEE

    « Ce n’est pas la première fois qu’il nous réunit. Nicolas Sarkozy a la nostalgiue des réunions de groupe. Il a vraiment besoin de rencontrer les sénateurs de la majorité, et cela lui manque de ne pas nous voir plus souvent. Il a toujours été très proche des élus et des militants. Il aime être à leur rencontre, pour échanger et écouter, et c’est un vrai besoin, et un plaisir de dialoguer et de nous écouter » raconte Isabelle Debré après la rencontre des sénateurs de l’UMP et le Président de la République à l’Elysée, hier à l’heure du déjeuner, une semaine après les députés, et pendant plus de 2H de questyions-réponses. Il  les assuré vouloir continuer à réformer et à faire de ce quinquennat un mandat de réforme, reprenant finalemet les thémes développés devant le Congrés des Mairees la veille : « Une nation compte quand elle s’adapte, se modernise, change ses habitudes et a l’audace de l’innovation ». Et de rappeler que « toute majorité confondues, quand les choix étaient trop difficiles, quand les réformes étaient trop confilictuelles, quand la rue s’exprimait pour des raisons souvent bonnes, et comprégensibles, on décidait soit de reculer, soit de renvoyer à plus tard après chaque élection. Et comme il y a toujours des élections, on différe. Et le rendez-vous est plus douloureux parce qu’à force de refuser de sauter l’obstacle, il devient de plus important.  Il n'existe pas de grande réforme sans grand débat, sans grande opposition et une fois que la réforme est faite, les choses se calment comme par miracle ». Et de citer de nombreux exemples parmi les derniers : carte militaire, carte judiciaire, hopitaux, retraitres pour terminer par son nouveau projet : la grande dépendance. « 1,1 million de personnes dépendantes,. 250 000 de nos compatriotes atteints par la maladie d’Alzheimer. Dont certains dés 50 ans ». Avec de nombreux difficultés de financements. C’est pourquoi il a confirmé qu’il lancerait un vaste débat sur le sujet. Et le sénat avec sa commission sociale dans laquelle Isabelle Debré siége sera concerné, comme elle l’a déjà été sur de nombreux projets depuis qu’elle siége dans cette haute assemblée.  

     

     

    GUY JANVIER : « ITINERAIRE D’UN SOCIALISTE EN SARKOZIE » ET A VANVES

    « L’idée de ce livre est assez récente. Pendant longtemps j’ai pensé qu’agir suffisait. Je croyais dans l’efficacité de l’action politique quotidienne. « Penser globalement, agir localement. Cette phrase d’Edgar Morin, j’en avais fait en quelque sorte ma devise » écrit Guy Janvier sur son blog en annonçant ce livre dont il publie les chapitres consacrés au « virus de la politique », « son mandat de maire », à des thémes qui lui sont chers comme le logement et l’école, la solidarité et à son goût du service public, à ce département « le plus riche et le plus inégalitaire de France ». Il parle de cette politique dont il a consacré 25 ans de sa vie « dans ce département atypique que sont les Hauts-de-Seine tenus par Charles Pasqua, Nicolas Sarkozy, André Santini, Patrick Devedjian… A soixante ans passés, mon engagement est toujours le même que celui de mes trente ans. Mes convictions non seulement n’ont pas changé mais elles se sont fortement étayées. Ces certitudes, je veux les partager ». Et pourtant, on apprend au fil des pages qu’il tient ce virus de la politique de son pére, pour « défendre des petites gens comme lui que je me suis engagé et que je continuerai à me battre ». Qu’il se destinait à des études d’italien et au professorat. Qu’il a été secrétaire dela section CFDT à la Région Ile de France qui naissait. Qu’il a été un « fonctionnaire engagé » et n’a jamais cru à l’apolitisme supposé de la hauite fonction publique. Qu’il a été stagiaire de l’ENA à Chartres en même temps de Patrick Strzoda, lui à la mairie, et le préfet des Hauts de seine à la Préfecture…

    Le portrait qu’il dépeint du secrétaire de section du PS à l’époque de son engagement à Vanves en 1984 vaut « son pesant de cacahouette » lorsqu’on sait qu’il parle de Raymond Deniau lors des campagnes  - « J’ai rarement vu un militant aussi organisé que lui. Tout était prpogrammé : un pied à culisse pour mesurer le nombre de tracts à disribuer par militant, une multitude de balais, avec des manches de tailles différentes pour l’affichage sauvage – toléré à l’époque – des caddies, des clés, des codes, des adresees pour faire du porte à porte…Tout y était. On sillonnait les rues de la ville, de préférence de nuit… » - ou des réunions : « Le rite était immuable : présentation d’un sujet d’actualité ou de fond par le secrétaire, debout devant ses ouailles – on se serait cru au catéchisme -  puis liste des travaux militants à effectuer ». Comme son secrétaire de section, il avait constaté lorsqu’il s’est décidé à se présenter une première fois aux cantonales en 1994, que le sortant, Roger Aveneau, c’était plutôt « hibertanus » : « Un UDF venu du syndicalisme chrétien…. » avec lequel il a siégé au conseil d’administration du collége St Ex : « Il n’ouvrait jamais la bouche, avait l’air de s’ennuyer ».

    REGLEMENTS DE COMPTE

    Il revient bien évidemment sur son mandat de maire avec la mise en place de la démocratie participative sur laquelle Benedicte Goussault s’est beaucoup engagé en mettant en place les conseils de quartiers, mais aussi les deux catastrophes auquel il a dû faire face : la tempête de décembre 1999 et l’incendie du marché. « C’est le lot des maires que d’affronter ce type de difficultés et mon équipe fut soudée autour de moi pour sortir de ces galéres » explique t-il avec un regret pour le marché : « Nous avions décidé de l’ouvrir sur l’extérieur, en créant une placette pour les ambulants. La municipalité qui nous a succédé a choisi un autre projet. Je ne suis pas sûr qu’elle ait eu raison de le faire…Elle a aussi gaspillé les milliers d’euros que nous avions mis dans l’étude élaborée avec les commerçants, et l’un d’entre eux, en particulier, Gérard Gadras, boucher pendant 40 ans sur le marché de Vanves ». Et un autre pour le parc F.Pic dont le projet de réaménagement concerté « a été mis dans un tiroir par la municipalité ».

    Enfin, il régle ses comptes avec ses solides inimitiés : Charles Pasqua qui représente pour lui « l’archétype du magouilleur, la droite dans sa pire expresion ». André Santini : « ce type infréquentable » à propos duquel il n’a jamais compris comment « cet homme pouvait passer pour un type sympa »… « méprisant, vulgaire, mysogyne ». Et la droite ! Il a la conviction « d’avoir été piégé par la droite qui, pour récupérer la ville, n’a pas hésité à jouer sur les questions de sécurité ! ». Et il rappelle malgré tout un agréable souvenir qui est tout à fait d’actualité alors que le Congrés des Maires de France se déroule aux portes de Vanves actuellement  : « L’accueil dans un gymnase que je mettais à la disposition de la FNESR, moyennant rémuinération, de tout ce que le PS comptait de personnalités importante…pour un déjeuner à la fois de travail et convivial. Puissance invitante, j’avais le privilége de siéger à la table d’honneur et de prononcer le discours d’ouverture. J’acceuillais ainsi pour quelques heures Pierre Mauroy, Lionel Kospin, Laurent Fabius, François Hollande…Tous étaient ouverts. Cela me changeait de Santini et de Pasqua…Devant cet aéropage de grands élus, je plaidais pour un statut de l’élu local digne de ce nom ».

  • VANVES EN CAMPAGNE: RETOUR DE VACANCES POUR TOUS

    La plupart des militants politiques étaient au marché, mais aussi devant SuperMarket, Intermarché, pour distribuer leurs tracts aux vanvéens de retour de vacances. L’UMP/NC distribuait le programme  « Avec Valérie Pécresse, c’est possible », ainsi que le Modem le sien : « De l’oxygène pour l’Ile de France, mes 14 engagements prioritaires ». Les Verts et le Front de Gauche pour annoncer leurs réunions publiques à l’école Max Fourestier : le 11 Mars pour les premiers à 20H30 avec Marc Lipinski, Pierre Toulouse, Claire Papy, et Lucile Schmid, le 8 Mars pour les seconds à 20H. Ils donnaient tous l’impression d’un exercice obligé...peut être parce que « les jeux sont faits ».

    Mais ils étaient tous sur le terrain : Bernard Gauducheau et Isabelle Debré pour l’UMP et le NC, Fabian Estellano et sa troupe pour le PS qui privilégient le « porte à porte », « la rencontre sur le terrain », « le tractage », Pierre Toulouse avec son drapeau vert et Lucile Schmid, avec sa nouvelle casquette pour les Verts, les militants du Front de Gauche, à la veille d’un grand banquet régional et dominical qui réunit aujourd’hui à partir de 12H Pierre Laurent et l’ensemble des candidats altoséquanais à Malakoff, à l’initiative de Catherine Margaté, son maire.    

     

    ETATS D’AMES

    « Cette campagne a été excellente en interne, mais triste nationalement, et peu dynamique au niveau local » confie Fabian Estallano, secrétaire de la section PS et candidat sur la liste Huchon. « On a vu Bernard (Gauducheau) mais pas du tout Marc (Lipinski) comme candidat sur le terrain » constate t-il en regrettant l’absence de réunion publique du PS, et de véritable débat, en dehors de 2 à 3 questions, notamment sur les transports. « On aurait bien voulu faire une réunion sur le Grand Paris…parce que c’était une thématique très intéressante mais qui ressort trop tard ». Mais le PS – qui est sur un nuage avec les derniers sondages -  en a fait plus que les autres avec un Café politique, à la mi Février…et une petit surprise pour le  samedi 13 Mars qui précédera le scrutin, au marché.

    A l’UMP et au Nouveau Centre, ce n’est pas la joie ! Les élus et les militants tractent et font les boîtes (à lettres). Mais ils n’en pensent pas moins pour certains … de la politique d’ouverture de « Sarko » : « On va voter pour Huchon. ! Quand on voit notre président nommer des gens de gauche, après Krouchner, Besson » ont entendu au téléphone les responsables UMP ses derniers jours. Ca râle dans les troupes de l’UMP parmi les plus convaincus qui augure mal pour les résultats de Dimanche prochain. Sans compter l’abstention, car cette fois-ci, contrairement à 2004, il n’y a qu’une seule élection et pas deux. Les élections cantonales avaient eu voilà 6 ans un effet d’entraînement. L0, la politique d’ouverture et les dérapages des dernières semaines devraient amplifier la défaite de la majorité présidentielle

     

    SOUTIENS A VALERIE PECRESSE

    Nos deux leaders communaux de l’UMP et du NC ont signé un tract personnel pour soutenir la liste conduite par Valérie Pécresse, qui sera distribué cette semaine. Bernard Gauducheau, maire et candidat sur sa liste, explique les raisons pour lesquelles, il est candidat : « Depuis 2004, malgré une hausse massive des impôts régionaux (+46% en 6 ans), le conseil régional dirigé par la gauche et les verts a été incapable d’anticiper, de programmer et de financer les investissements attendus par les franciliens. Ici à Vanves, de nombreux habitants souffrent de la saturation de la ligne 13, les éléves du lycée Dardenne n’ont toujours pas de cantine scolaire, et l’ouverture au public du parc du Lycée Michelet est bloquée depuis le transfert de la gestion de la Cité Scolaire du Département vers la Région. A l’heure du Grans Paris, il est temps d’apporter un nouveau souffle à l’Ile de France. Toutes les énergies doivent être rassemblées afin que notre Région devienne l’une des plus attractives d’Europe tout en améliorant la vie quotidienne des franciliens ». Ainsi, il se présente à ces élections « pour faire avancer les dossiers locaux et régionaux, pour contribuer à la mise en œuvre d’une véritable politique de proximité de la Région Ile de France »

    Isabelle Debré signe avec ses 3 collègues sénateurs UMP, Jean Pierre Fourcade, Charles Pasqua et Jacques Gautier, une lettre de soutien à Valérie Pécresse en expliquant : « Comme dans toutes les démocraties modernes, les « élections intermédiaires » sont souvent, pour les électeurs, l’occasion de manifester un mouvement d’humeur à l’égard de leur gouvernement, sans frais croient-ils. C’est une erreur. Car les compétences des institutions régionales, départementales ou locales, n’ont cessé de croître, touchant de nombreux aspects de la vie quotidienne comme de l’avenir de notre environnement, en particulier sur les plans économique et politique : Or il convient de le répéter, la majorité actuelle du Conseil Régional est pleinement responsable du déclin relatif de notre région en regard des grandes métropoles européennes ».  Et d’ajouter, bien évidemment : « Enfin, le résultat de ces élections modifiera en partie la composition du corps électoral appelé à renouveler le Sénat en 2011. Autant dire que les enjeux de ces élections sont de taille ». Autant pour la Région, que leur devenir personnel de sénateur et de celui de la majorité sénatoriale.

     

    DERNIERES REUNIONS

    Le Front de Gauche ouvre le bal des dernières réunions publiques Lundi 8 Mars à 20H à l’école Max Fourestier sous la présidence de Claudine Sharfe, conseillère municipale, Lyse Alezard, sa collègue d’Issy et élue régionale, Daniel Kossowski et Claire Villiers,vice présidente à la Région chargée de la Démocratie.

    Il faut savoir que cette liste rassemble le Front de Gauche, OC et Alternatives citoyenne qui exclue toute union avec le Modem. Elle  tire un « bilan absolument pas négatif » de la majorité sortante à laquelle le PC a participé, mais reconnaît des « échecs » car « trop souvent sa gestion a accompagné les décisions d'un système économique inique, sans vraiment entrer en résistance pour les mettre en échec ». Parmi ses 10 priorités figurent les transports, avec un « Pass UniGo » à tarif unique, la gratuité pour de nouvelles catégories de chômeurs, les précaires et les jeunes, le triplement des moyens consacrés au logement « avec l'objectif de 100.000 nouveaux logements écologiques par an, dont 50.000 logements sociaux », la suspension des aides régionales aux communes en cas de non respect de la loi SRU (20% de logements sociaux). Le FG compte « développer un fonds régional pour l'emploi et la formation » et « promouvoir l'école publique par l'arrêt des subventions attribuées aux établissements privés ». Il demande un « moratoire des actuelles restructurations hospitalières » et des assises de la santé en Ile de France, et il compte mettre en place un plan de renforcement de l'accueil de la petite enfance qui pourrait créer « à terme, 15.000 emplois ». Il souhaite également un « plan d'urgence pour rattraper le retard d'implantation des services publics dans les quartiers populaires », le doublement du budget régional de la culture et l'augmentation des fonds alloués aux projet de coopération et de solidarité internationale. Pour le financement de ce programme, il propose un engagement plus important de l'Etat, un grand emprunt régional et une « responsabilité renforcée » des entreprises.

    Les Verts organisent leur réunion, dans la même école, le jeudi 11 Mars à 20H30 avec Marc Lipinski, Pierre Toulouse, Claire Papy, et Lucile Schmid. Une occasion de présenter le programme d’Europe Ecologie, « un rassemblement nouveau qui fourmille d’idées, né de la fusion entre Verts, représentants d’associations, personnalités d’autres horizons politiques, avec un programme innovant, réaliste, solidaire et ambitieux »  Ils parleront de ce « contrat écologiste pour l’Ile de France » qui contient 140 propositions  dont les 12 mesures qui seront lancer dans les 12 premiers mois de la mandature si Cécile Duflot est élue à la tête de la Région : Organiser dés le printemps 2010 les conférences de l’emploi par filières « afin de protéger les salariés, créer des emplois, écologiser les activités » ; Mettre en place la nouvelle tarification des transports collectif avec le Pass Vert à 65 € unique pour toute l’IDF, le ticket à 1 € le week-end, et la gratuité pour les enfants de moins de 6 ans ; Rénover et réhabiliter à basse consommation 50 000 logements pour lutter contre la précarité et financer 25 000 logements sociaux ; Recruter des médiateurs régionaux (3000) de la tranquillité publique dans les transports en commun et les lycées afin  de « remettre de l’humain au cœur de la société » et non « des caméras de vidéosurveillance  dans nos villes et quartiers » ; Augmenter la place de l’agriculture biologique dans les restaurants scolaires d’Ile de France ; Ouvrir le « Chéque Santé Jeunes » pour les moins de 25 ans ; Créer IDF Nouvelles, le service public des énergies renouvelables qui prendra en charge les travaux de rénovation  et soutiendra les initiatives collectives citoyennes et des collectivités locales ; Lancer l’ouverture des premières Fabriques de la culture qui seront de « véritables pépinières pour favoriser l’apparition et le développement de lieux de création et de diffusion ; Ouvrir le droit d’initiative citoyenne pour permettre à chacun d’imaginer une politique régional ;  Initier le plan « objectif autonomie et solidarité pour le grand âge » ; Lancer un grand emprunt mutualisé des régions de France dont l’Ile de France sera chef de file pour lever 200 000 E