Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

résistants

  • DES PANNEAUX HISTORIQUES POUR RAPPELER LE PASSE DE VANVES

    De nouveaux panneaux d'information historique ont été  installés par la ville ces derniers jours à l'entrée du parc (sur la photo), concernant Geandville, Frédéric Pic, Grandville qui a été un pensionnaire  de  la Maison de Santé. « Cette installation vient après celle, réussie également, sur les Résistants Vanvéens intervenue l'an dernier. A refaire en d'autres lieux pour rappeler sous le même format qui étaient, par exemple, Étienne Jarousse, Maurice Magne, André Roche ou Roger Aveneau » a suggéré un vanvéen sur les réseaux sociaux.

    Alors qu’un autre  suggérait la même chose concernant Albert Culot qui a été un résistant vanvéen, dont une stéle rappelle la mémoire devant la gare SNCF-Transilien « Mais aucune plaque ne nous en dit plus sur cet homme ou n'en présente une photo ; à l'inverse des plaques rappelant, dans nos rues, d'autres Résistants ! »

    Occasion de rappeler que, grâce au service des Archives Municipales, la ville dispose depuis quelques années de nombreuses plaques rappelant l’historique de monuments, comme l’église Saint Remy, de sites où ont vécu des personnalités comme le cardinal Duprat à l’angle de la place du Val et de la rue d’Issy. Il en est ainsi pour les rues qui portent le nom de résistants morts pour la France apposés à l’occasion du 80e anniversaire de la libération, avec de petits panneaux d’informations et leurs portraits rappelant leurs exploits et leurs morts tragiques.

    Voilà maintenant longtemps, certaines plaques apposées à l’entrée des immeubles où ils ont vécus, ou dans des sites de combats de rues où un résistant était tombé sous les balles des nazis,  étaient fleuries par les associations d’anciens combattants à l’occasion de la célébration de la libération, comme c’est le cas des tombes des anciens combattants dans le cimetière communal tous les 11 Novembre. Une tradition qui s’est perdue depuis

  • VANVES A RENDU HOMMAGE A DEUX GRANDS RESISTANTS VOLONTAIRES GRACE A ISABELLE DEBRE

    Comme le Blog de Vanves Au Quotidien l’avait remarqué, hommage a été rendu, hier, à deux résistants de la première heure, Charles Pasqua à 15 ans et Guy Henrion à 17 ans, même si leur destin a été différent après la guerre et pas comparable. Mais la similitude a été beaucoup plus loin que cela : Ils sont décédés le même jour, pratiquement à la même heure dans le même hôpital (Foch de Suresnes) à la suite d’un malaise cardiaque. Mais voilà si Charles Pasqua a eu le droit à l’église des Soldats des Invalides, il n’a pas eu le droit aux honneurs de la République que lui a refusé le Président Hollande. Contrairement à Guy Henrion à qui les anciens combattants avec les 3 portes drapeau ont rendu les honneurs militaires devant l’église Saint Remy en présence de la famille, des élus, et des amis.

    « Beaucoup ont apprécié et aimé mon pére » a déclaré son fils très ému qui a rappelé ses faits de résistance, trop jeune pour être engagé, réfractaire au travail en Allemagne, et membre des francs tireurs du Colonel Fabien. Michel Jude, Président du CLAP (Conseil Local des Associations Patriotiques) se félicitait de l’avoir fait participer aux dépots de gerbe du 8 Mai et du 18 Juin. « Il était fier d’Isabelle Debré ! qu’elle soit vice présidente du Sénat » auquel il était resté fidèle après ses 38 ans de vie professionnelle. La sénateur de Vanves est d’ailleurs la seule élue de Vanves à avoir assisté aux deux cérémonies rendant hommage à ces deux résistants « qui avaient répondu à un appel d’un général de brigade plutôt qu’à celui d’un maréchal », comme cela a été expliqué sous les drapeaux de l’église des soldats : « Un consentement volontaire à la suite d’une brusqerie dans un pays alors tranquille. Ils font parti de ceux qui ont fait le choix et inscrits leur pas dans la destinée de leur patrie ».

    Elle a ainsi vécue une journée consacrée finalement à la Résistance en rendant hommage à deux hommes qu’elle a apprécié énormément, lors de ces deux cérémonies où elle a représenté certes le Sénat en tant que Vice Présidente, mais aussi la ville de Vanves auquel elle est très attachée. Il n’en reste pas moins qu’elle était présente là où  toute la droite gaulliste  et altoséquanaise s’est retrouvée, pour tourner une page de son histoire. Elle a été placée, de surcroît au 3éme rang entre les ex-premiers ministres et ministres gaullistes devant,  entre Michéle Alliot Marie et Hervé Marseille sur son banc, et derrière,  tous ces élus altoséquanais   des plus fidèles aux alliés de tous les combats : « Charles Pasqua est mort, comment le croire ? Une légende ne meurt pas » a lancé le député Henri Guaino qui avait travaillé sur la Charte 92 avec Charles Pasqua,   très ému après avoir raconté cet anecdote « Je me trouvais à l’université » d’été des Jeunes UMP, lorsque j’entendis l’un de ses jeunes dire à l’arrrivée de Charles Pasqua : « Regarde ! la légende est là ! ». C’était le sentiment partagé par l’ensemble de l’assistance

  • LA RENTREE POLITIQUE A VANVES : LE IN ET LE ON DE LA ROCHELLE

    « L’engouement pour cette Université d’été a été aussi important que long à venir, beaucoup de militants vanvéens ne s’étant décidé que sur le tard » constatait Remi Carton, jeune militant vanvéen socialiste qui revient sur  3 jours passés à la Rochelle, le week-end dernier avec Guillem Gervilla, Philippe Goavec, et les conseilles municipaux Cyril Le Goff, Valérie Mathey, Gabriel Attal. «  Presque pas d’ateliers pour faire le bilan des municipales et des européennes. Une Université d’été très marqué par la main de Camba avec beaucoup de prises de paroles de militants, une large représentation de toutes les sensibilités » ajoute t-il en ayant trouvée « l’ambiance animée dans tous les sens du terme, avec un foisonnement d’activités, et  beaucoup d’affrontements ».

    LE OFF

    « Pour le off, finie la multitude de petites réunions dans des petites salles : à l’Université avec les frondeurs ou au parc avec Le Foll, il fallait choisir ! Arnaud Montebourg est venu, mais il a fait le service minimum, ne se montrant pas plus que nécessaire. Pareil du reste pour Benoit Hamon » a-t-il constaté en considérant que « la barbe n’allait pas du tout à Jérôme Guedj, président du Conseil Général de l’Essonne et frondeur ex-député qui était aux premiers rangs  de la réunion de « Vive la Gauche » samedi matin où était présente non seulement la ministre Taubira, mais sûrement Valérie Mathey après ses déclarations à Libération. « La venue de Taubira à la réunion de « Vive la Gauche » (j’attends d’ailleurs toujours la création de « A mort la Gauche »…) est aussi puissante symboliquement que politiquement néfaste. Elle torpille Valls, mais à contretemps » commente ce jeune militant PS qui a fait un stage au printemps au sein du staff d’une sénateur PS de l’Essonne. « Chaque sensibilité a fait son grand raout. Les « socio-démocrates » avec Stéphane Le Foll (10 € l’entrée, une honte ! Seule réunion payante !), un peu à l’écart de l’espace Encan, l’aile gauche à l’Université de La Rochelle. Beaucoup de monde aux deux, beaucoup de provocs inutiles de la part des deux, qui amènent à l’impression, à la lecture du « retour micro » que constituent les médias, que le parti va exploser ». Enfin une info sur les nuits de la Rochelle : « Il faut, au moins une fois dans sa vie, voir Pascal Cherki (ex maire du 14éme arrondissement) se trémousser en boîte le samedi soir à La Rochelle. Quitte à se coucher à 5h du mat !». Et une autre qui l’a surprit au moment du petit-déjeuner,  samedi matin au saut du lit: « un député proche de Valls prend avec ses amis les paris sur l’espérance de vie du nouveau gouvernement avant la dissolution de l’Assemblée nationale et la démission du président de la République : 5 mois pour les pessimistes, 14 pour les optimistes ». Mais au fait, a t-il (Remi Carton) passé une nuit blanche ? Beaucoup, parmi ses camarades socialistes en doutent.

    PAS TOUT A FAIT LE IN

    Remi Carton a vraiment la dent dure contre les dissidents : « La présence et la prise de parole, à la plénière d’ouverture, de Jean-François Fountaine, maire de La Rochelle élu en dissidence contre la candidate investie par le Parti après des primaires ouvertes, est une honte ! Qui peut croire ce qu’on raconte, qui peut nous prendre au sérieux, si on invite nos dissidents exclus à venir crâner devant une salle de 4000 personnes ? Et on s’étonne encore d’avoir des élus socialistes qui cumulent ? Si tout ce qu’ils risquent en allant contre la volonté des militants, c’est ce genre « d’exclusion » et un grand public, je veux être et élu, et cumulard le plus vite possible ! » tonne t-il manifestement admiratif, mais sans trop,  de la ministre de l’Education Nationale : « Beaucoup d’applaudissements et d’hommages à Najat Vallaud-Belkacem. Presque trop : on avait le sentiment que l’instrumentalisation de la polémique initiée par la droite était trop systématique ». En tous les cas, beaucoup de rencontres et d’échanges dans et hors des réunions : « Les militants ont clairement besoin de parler et d’échanger entre eux ». Par contre, l’idée d’Etats Généraux des Socialistes, ne trouve pas grâce à ses yeux : «  C’est de la douce rigolade. On a moins de 3 mois pour contribuer, et dans 6 mois, un comité composé de représentants des motions dealera comme un tapis marocain le texte d’une énième charte non contraignante annexée aux statuts et ignorée des adhérents ».

    ENFIN PRESQUE

     « Je suis en formation élu. On était 50 inscrits lundi, 40 présents mardi. Depuis vendredi midi (début de l’Université d’été), on est 3 » constatait un élu altoséquanais à ses côtés « A mon arrivée sur les lieux, première vision : Philippe Sarre et les MJS 92 (les « résistants ») au milieu d’une engueulade. Valls logeait au Mercure et devait aller à l’Encan, sur les lieux de l’Université d’été. Quelques élus vallsiens l’attendaient à mi-chemin (beaucoup d’autres devant l’hôtel). La meute des journalistes s’approchaient enfin… Pour repartir dans l’autre sens : finalement, Valls va d’abord faire un tour sur le port. Raté les amis ! » Mais le plus important restait dimanche : « Le discours du Premier Ministre a été très efficace, évitant avec art d’approfondir tous les sujets qui fâchent (entreprises, social-libéralisme, etc.). Il a joué sur un domaine sans risque : les valeurs de gauche, la République et la laïcité. A vaincre sans péril, on évite les ennuis. Et il  a été d’autant plus applaudi que les sifflets des militants de l’aile gauche ont poussé le reste de la salle à le soutenir face à un comportement jugé excessif. Et le pire, c’est que même si ce très bon discours ne règle rien, tout le monde a déjà oublié toutes les péripéties de ce week-end et ne se rappellera que de Valls à la tribune ».