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paroisse saint francois d’assise

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE AUTOMNALE

    Quel week-end du 11 Novembre ! Avec cette commémoration du 105e anniversaire de l’armistice qui a vu samedi une forte participation des jeunes grâce au collége Saint Exupery et a bénéficié d’une éclaircie ensoleillée bienvenue dans cette grisaille qui a marquée ces deux  jours. Puis le lendemain, dimanche, avec cette manifestation contre l’antisémitisme entre les Invalides et le Sénat à laquelle de nombreux vanvéens ont participé: «Face à la montée de l'antisémitisme dans nos communes, comme à Vanves, je défile aujourd'hui aux côtés de Yael Braun Pivet et Gérard Larcher à la marche contre l’antisémitisme. Ensemble luttons contre l’antisémitisme a tweeté le maire de Vanves présent à la Manifestation avec des maires adjoints de Vanves. «Juste être ensemble pour lutter contre les haines, TOUTES les haines » a tweeté Séverine Edou présente avec Isabelle Debré, présidente de l’Association l’Enfant Bleu, Françoise Saimpert, ex-maire adjoint de Vanves,  Claire Guichard député Renaissance  de la 10e circonscription  (sur la photo) qui avait tweeté :  «A l’appel de Yael Braun Pivet et Gérard_larcher, nous étions plus de 100 000 à marcher ce jour. Députés, élus locaux, citoyens tous unis avec un seul mot d’ordre : Non à l’antisémitisme. Ensemble défendons les valeurs de notre République

    Deux temps forts de cette semaine passée où les vanvéens ont pu savoir grâce aux médias, l’origine de ces tags antisémites perpétrés par une même équipe à Paris et en Ile de France sous influence russe grâce à des hackers dont l’objectif est d’affaiblir les pays occidentaux et d’ajouter de l’huile sur le feu.

    Durant cette semaine qui s’ouvre, il sera intéressant de suivre ce qui se passe du côté du Conseil de Paris qui se réunit toute cette semaine à l’hôtel de ville. Il pourrait délibérer sur un nouvel contrat entre Vanves et Paris pour gérer ce no man’land de la rue Louis Vicat  délaissé et mal entretenu depuis des années, si un accord est intervenu entre les deux villes après de multiples réunions : «Ça fait des années qu’on prévient Paris que l’entretien de son territoire, au-delà du périphérique, laisse à désirer. Il y a par exemple des nids-de-poule sur la chaussée. Il serait bienvenu que la Ville y apporte une attention plus importante» expliquait  Bernard Gauducheau dans le Parisien voilà quelques temps alors que la ville de Vanves avec GPSO s’est lancé dans un projet de requalification de la partie vanvéenne de cette voie, avec la rue piétonne A.Comte présenté lors de la dernière réunion publique du quartier du Plateau : « Sur la forme, la Ville nous a dit qu’elle allait entretenir, mais dans les faits, il n’y a rien qui se passe. On demande que le territoire Grand Paris Seine Ouest (GPSO) puisse prendre en charge ces espaces publics si c’est trop compliqué pour Paris, et que l’on se mette d’accord sur les financements car il est hors de question que ce soient les communes limitrophes qui paient », prévient le maire de Vanves.

     

    Mardi 14 Novembre

    A 18H à l’espace Giner : Vernissage de l’exposition « Simon a du talent » présentée par l’association Simon de Cyréne. Les créations sont réalisées par les résidents de l'association. 

    Jeudi 16 Novembre

    A 9H au Conseil Régional : B.Gauducheau participe à la séance plénière où se dérouleront le DOB 2024 et une audition du préfet de région

    Vendredi 17 Novembre

    A 19H à Saint François d’Assise : La paroisse organise le  « diner des nouveaux »  après la messe pour permettre aux nouveaux paroissiens de rencontrer les autres

    Samedi 18 Novembre

    A 18H au terrain de pétanque (rue J.BLeuzen) : Assemblée Générale de la section  pétanque du  stade de Vanves

    Dimanche 19 Novembre

    A 18H à Panopée : Conférence de la LICRA-vanves sur le théme « la laicité dans les établissements scolaires » avec Bernard Ravet, président de la commission éducation de la LICRA

  • TEMPS DE CONVIALITE DANS UNE PAROISSE CENTENAIRE, SAINT FRANCOIS D’ASSISE DE VANVES

    Un temps de convivialités est prévue à la paroisse Saint François aujourd’hui après les messes de 10H et 18H avec un apéritif dans les jardins de Saint François pour se retrouver dans le respect des normes sanitaires, à défaut de la kermesse de printemps qui n’aura pas lieu comme l’année dernière à cause de l’épidémie. Et même de la célébration d’un anniversaire comme en avait fait état le blog le 21 Avril dernier : les cent ans de cette paroisse confiée à l’abbé Mortier dont la chapelle, à l’époque, avait été bénite le 13 Mars 1921 par le Cardinal Dubois,  dont certains habitants du Plateau se souviennent (de la chapelle bien sûr).  

    Mis peu se souviennent de cette chapelle en brique construite par l’architecte Charles Venner à l’emplacement des jardins actuels de l’église, qui avait  dû être détruite au milieu des années 80 car elle menaçait de s’effondrer, des pierres tombant sur les paroissiens. Elle a été  remplacé par l’église actuelle avec son pavillon pour le foyer d’accueil, inaugurée et bénie en 1986 par Mgr Favreau, alors Evêque du diocése des Hauts de Seine

    «Cette église Saint François a une double histoire propre : l’histoire de la présence chrétienne sur le Plateau de Vanves qui n’était pas construit, ni loti, ressemblant à la Zone. Je me souviens de grands parents à qui ont avait dit lorsqu’ils se rendaient de Paris à Clamart à bicyclette, « quand vous traversez le Plateau de Vanves, vous ne vous arrêtez pas ! » parce que c’était une terre habité par des zonars » confie Bertrand Auville curé de Vanves. Un ouvrage consacré aux 85 ans de la paroisse à l’occasion des 20 ans de la nouvelle église, écrite par ses paroissiens rappelle toute cette période, «avec le pére Mortier, un personnage, le patronage et les colonies de vacances qui ont laissé pour les jeunes de cette époque un souvenirs aussi fort de la Féclaz pour ceux qui ont suivi, pour essayer d’encadrer cette jeunesse et éviter qu’elle ne parte à la dérive, la pastorale ouvriére et populaire, avec des secours. C’était vraiment quelque chose de spécifique».

    Le pére Auville ne cache pas «qu’on a un projet de travaux de rénovation et de réfection, après avoir ériger cette statue de St François qui se veut  un signe dans ce quarter, une figure universelle qui parle à tout le monde, même à ceux qui n’entre pas dans l’église». Ce projet concernerait surtout cette entrée, dénommé le Narthex, qui est devenue vieillot. «On souhaiterait qu’il devienne un  lieu d’accueil, qu’on puisse y trouver des informations, quelqu’un qui les recoive et pas ce bureau un peu confiné au fond. Et  on voudrait éclairer ce lieu »

  • UNE SEMAINE A VANVES SANS RENDEZ-VOUS A CAUSE DU COVID-19 MAIS AVEC UN NOUVEAU TOUR DE VIS

    Tout est fait avec cette crise sanitaire pour qu’il n’y ait plus aucune animation dans la ville, en dehors d’ateliers vélos comme la semaine dernière placede la République, la cérémonie d’accueil des vanvéens naturalisés français à l’hôtel de ville, le concours d’éloquence au lycée Michelet, samedi où deux vanvéens sur 9 lycéens se sont illustrées, la fête de Saint François célébrée dimanche à la paroisse qui devrait fêter ses 100 ans de présence sur le Plateau en 2021 comme l’a annoncé le pére Bertrand Auville, curé de Vanves, avec l bénédiction des animaux (sur la photo) etc… Pourtant la vie continue malgré tout !

    La première antenne 5 G de Vanves a été installée la semaine dernière sur le toit d’un immeuble du bailleur social privé, Toît et Joie (ex-Logement Français), situé rue de Châtillon. Les locataires de cet immeuble avaient reçu, durant l’été, un courrier de leur bailleur les informant de ce projet d’implantation par Bouygues Télécom, mais sans préciser le type d’antenne. Ce qui avait suscité quelques inquiétudes de leur part vis-à-vis des conséquences des ondes émises sur l’état de santé de personnes fragiles, et le débat actuel entourant leur implantation d’une manière générale, qu’ont essayé de calmer les élus du quartier, ainsi qu’un élu EELV qui les avait rencontré.

    La piscine de Vanves a ré-ouverte ses portes depuis une semaine, après un revirement préfectoral dans les mesures prises pour lutter contre la pandémie de Covid-19, et notamment avec la décision de fermer tous les ERP (Etablissement Recevant du Public) de type X (gymnases, salles de sports). Alors que la pratique du sport en intérieur n’était autorisée que pour les mineurs, soit dans le cadre scolaire, soit dans le cadre associatif, le préfet a revu sa copie en autorisant l’entraînement des sportifs de haut niveau, mais aussi les compétitions liées. Ainsi, les cours d'Aquabike, les cours bébés nageurs ont repris ou devraient reprendre à la piscine Roger Aveneau. Les salles de sports privés ont pu ré-ouvrir, mais pas les gymnases et autre équipements sportifs municipaux. Et quelques activités associatives vont pouvoir reprendre comme aux ateliers d’expression, avec respect des mesures de prévention

    Mais «plus de fêtes de famille. Plus de soirées. Fermeture totale des bars». Par contre, après concertation avec les représentants du secteur, les restaurants pourraient rester ouvert avec des «régles sanitaires renforcées» devrait annoncer ce matin, le ministrede la Santé. Le basculement s’est opérée hier soir après trois jours sur le fil du rasoir, pour Paris et les communes, comme Vanves, de la petite Couronne, qui ont été en  «zone d’alerte maximale».  Pour être classé dans cette catégorie, un territoire doit remplir trois conditions : Le taux d'incidence (nombre de cas positifs pour 100.000 habitants) doit être supérieur à 250. Il est actuellement de 259 à Paris. Le taux d'incidence chez les plus de 65 ans doit être supérieur à 100 ; il est de 133 dans la capitale. Enfin, plus de 30% des lits de réanimation doivent être occupés par des patients Covid : On est à 32% à Paris. 

    «Il faut voir ce qu'il se passe avant de renforcer de nouveau les mesures» justifiait Yazdan Yazdanpanah, médecin infectiologue et membre du Conseil scientifique, vendredi sur Europe 1. «Sur les hospitalisations, la mortalité, on voit l'impact des mesures qu'on met en place au moins 15 jours aprèss» ajoutait il en  estimant ainsi qu'il ne faut pas oublier le chemin parcouru depuis la première vague : «On a les masques, on a les tests, on en sait beaucoup plus sur la maladie... On a des traitements qui fonctionnent quand même pour diminuer la mortalité, diminuer les passages en réanimation donc je pense que ça ne sera pas pire qu'au mois de mars» énumèrait-il.