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les radis en éventail

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    GABRIEL ATTAL, C’EST LE MBAPPE DU BUDGET

    C’est ce qu’ont pu entendre les vanvéens qui écoutent RTL, Le matin dans la chronique de l’humoriste  Philippe Caverivière  aprés l’interview du ministre des comptes publics : «Gabriel Attal, c'est le petit génie de Bercy, le Mbappé du budget, un Cédric Villani mais avec du shampoing». Il décrit le ministre des Comptes publics comme un ministre  «new géneration. On n'aurait pas imaginé Michel Debré ou Raymond Barre arriver en skate», dit-il. «C'est un surdoué. Il a 33 ans et je le ménage. Faut être pote avec lui parce que c'est lui qui va nous trouver nos places à l'Ehpad à Neuilly» a dit l'humoriste. «Je pense qu'il a un plus grand avenir que François Bayrou 71 ans, le prince Charles de Pau», ajoutait-il. D’ailleurs en fin de journée, il a fait une intervention remarquée lors de l’ouverture du débat sur la réforme des retraites : « De vos 20 000 amendements, on retient 2 choses : votre volonté de bloquer, et votre obsession de taxer. Taxer tout le monde, taxer tout le temps, taxer toujours. Taxer, taxer, taxer : voilà votre vrai projet ! Avant d’être un parti d’opposition, vous êtes un parti d’imposition  ». Aux yeux du président de la République, il fait parti des rares ministres qui réussissent à trouver grâce, avec Bruno Le Maire, Gérard Darmanin, Sébastien Lecornu, Stalinas Guerini selon le canard Enchaîné, sans oublier Elisabeth Borne 

    L’AMAP  LES RADIS EN EVENTAILS

    IL reste quelques places dans cette AMAP vanvéenne qui, toutes les semaines, met en vente un à deux paniers d’essai permettant de découvrir les légumes produits par sa maraîchère pour le prix d’un panier, soit 24 €. Des légumes livrés juste après récolte qui sont cultivés en agriculture biologique, tout près de Brie-Comte-Robert (77, avec en annexe des  œufs, champignons, pain, pommes/poires, fromages de chèvre, viande, fruits rouges, miel/noix, châtaignes… selon la saison. cette AMAP contribue ainsi  au maintien de l’agriculture paysanne francilienne. Ces distributions réservées aux adhérents de l’association se déroulent chaque mercredi de 18h30 à 19h45 sous la halle du marché de Vanves, Elle organise aussi, régulièrement, des ateliers pédagogiques dans le champ de la maraichére « afin que les Amapiens puissent découvrir comment sont cultivés les légumes qu’ils mangent »

     

    AS EXPOGRAPH, FIN DE SERIE

    4 sans 5 matchs sans défaite ! Mais Expograh a chuté  samedi dernier sur les terres de l’APSAP Paris sur le score de 4/2 Et pourtant il y avait 2/2 à la mi-temps. « Nos jeunes joueurs qui travaillent n’ont pas encore le mental même en jouant bien pour tenir un match. L’apprentissage est difficile ,il faut gagner au moins 4 matches pour le maintien et penser sereinement à la saison prochaine qui sera capitale. Alors nous croyons tous en vous, nous les coaches ,les dirigeants et les partenaires et les amateurs du beau jeu» selon Jean Royer, co Président de ce Club.

  • A VANVES COMME AILLEURS, LES AMAP TIRENT LA SONNETTE D’ALARME

    Les Associations pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne (AMAP) ont prouvé leur utilité lors des derniers confinements. Elles ont apporté des solutions locales d’approvisionnement de denrées alimentaires de qualité, tout en garantissant une continuité de débouchés économiques pour les paysans, dans le respect des règles sanitaires. A ce jour, plus de 100 000 foyers s’approvisionnent en AMAP en France, en partenariat avec 5 000 fermes dont trois à Vanves (Le Panier Vanvéen, les Radis en éventail, les Paniers de l’échange).

    «Aujourd’hui les livraisons en AMAP sont menacées par le maintien du couvre-feu à 18h. Même si les paysans utilisent leur dérogation pour motif de déplacement professionnel, les adhérents des AMAP, eux (tous bénévoles et pour la plupart actifs) ne peuvent se rendre dans les lieux de distribution qu’aux heures autorisées (entre 6h et 18h). Cette situation oblige les paysans à partir en début d’après-midi pour pouvoir livrer dans les temps. Ces ajustements étaient déjà difficiles en janvier, ils seront impossibles de mars à octobre. La saison maraîchère commence avec quasiment un mois d’avance cette année, et les mises bas chez les éleveurs laitiers sont en cours. Avec un tel métier, les journées de travail durent en moyenne 10h. Ces rythmes sont incompatibles avec l’organisation des livraisons avant le couvre-feu. Sans dérogations au couvre-feu pour les distributions en AMAP, les paysans seront dans l’obligation de travailler tous les jours de la semaine, sans jour de repos possible et ce, pendant 9 mois » décrit le mouvement des AMAP

    Il considére que «cette situation est intenable dans la durée et met en péril le modèle. Au mois de janvier, nous avions déjà interpellés les pouvoir publics sur l’épuisement des bénévoles et paysans en AMAP. Nous n’avions pas obtenu de solutions. Aujourd’hui c’est l’épuisement professionnel et le burn-out qui attendent les paysans en AMAP, pourtant insérés dans un modèle économique, social et environnemental vertueux. Nous nous souvenons de l’appel de l’ancien Ministre de l’Agriculture le 24 mars 2020 pour venir en aide aux agriculteurs en difficulté lors du 1er confinement. Lorsque ce secteur manquait de bras, le ministre de l’agriculture se battait et s’était organisé pour faire «vivre la grande armée de l’agriculture». Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Que compte faire le gouvernement et l’ensemble des pouvoirs publics, pour soutenir ce modèle aujourd’hui plébiscité par les citoyens et les porteurs de projets en agriculture ? » ajoute-t-il. «Lors des deux confinements les pouvoirs publics ont reconnu que les livraisons en AMAP et les circuits de distribution alimentaire sans intermédiaire étaient des activités de première nécessité. Nous demandons que les déplacements pour motifs de distribution alimentaire en AMAP et en circuit-courts, soient autorisés pendant le couvre-feu. Les activités de distribution alimentaire en AMAP et en circuit-court peuvent-être considérées comme une mission d’intérêt général pour les amapiens (qui sont, nous le rappelons, avant tout des bénévoles associatifs)».

  • LES LIVRAISONS EN AMAP DE VANVES MENACES PAR LE COUVRE-FEU A 18H

    «En raison des réglementations sanitaires, l’heure du couvre-feu est maintenant à 18h depuis le samedi 16 janvier. Après concertations avec les producteurs et les membres du bureau, nous avons dû avancer la distribution de 16h00 à 17h30. Nous sommes bien conscients de la répercussion de ce changement sur votre organisation au quotidien» indiquait dans un communiqué et sur les réseaux sociaux l’AMAP le panier Vanvéen, l’un des trois existant sur Vanves avec  «les Paniers de l’échange» et  «les Radis en éventail»  qui ont poursuivis malgré tout,  leurs distributions dans le respect des conditions sanitaires et gestes barrières durant les confinements

    Leur mouvement a interpellé les pouvoirs publics pour e maintien des livraisons alimentaire : «Les Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne (AMAP) ont prouvé leur utilité lors des derniers confinements, en apportant des solutions locales d’approvisionnement de denrées alimentaires de qualité et en garantissant une continuité de débouchés économiques pour les paysans, tout en respectant les règles sanitaires recommandées» indique le mouvement inter-régional des AMAP qui regroupe  plus de 2000 AMAP en France, ce qui représente plus de 100 000 foyers et 5000 paysans.  Les réseaux d’AMAP ont accompagné beaucoup plus de création d'AMAP cette année que les années précédentes. Cette croissance est une réponse concrète aux enjeux de transition écologique, de souveraineté alimentaire et de solidarité, identifiés comme prioritaires par le gouvernement dans son plan de relance pour les années à venir.  Cependant, aujourd’hui les livraisons en AMAP sont menacées par l’établissement d’un couvre-feu à 18H» indique-t-il

    « Même si les paysans pourront utiliser la dérogation pour motif de déplacement professionnel, les amapiens, eux (tous bénévoles et pour la plupart actifs) ne pourront pas se rendre aux livraisons.  De plus, si les livraisons sont décalées, les paysans, livrant plusieurs AMAP le même soir, ne pourront pas toutes les assurer. Le risque est donc de se retrouver dans une situation catastrophique pour les paysans avec une production impossible à écouler et la perte de débouchés. Les amapiens seraient, quant à eux, contraints de trouver d’autres modes d’approvisionnement, quitte à se tourner vers les grandes surfaces en amplifiant les files d’attentes, et les risques de contamination.  Dans les départements déjà concernés par un couvre-feu à 18h, les AMAP tentent de s’organiser en urgence, en avançant leurs horaires de livraisons, ou en les déplaçant le week-end mais la situation est intenable sur la durée et très compliquée pour les distributions situées dans les centres urbains» indique le Mouvement des AMAP qui appelle donc les pouvoirs publics à prévoir une dérogation permettant aux AMAP et à l'ensemble des circuits de vente directe, de poursuivre leurs livraisons alimentaire, hors domicile, pendant le couvre-feu, et ainsi assurer une continuité de partenariat entre paysans et consommateurs.

    C’est d’autant plus important que selon une enquête Ifop, 82 % franciliens  ont déclaré vouloir continuer à acheter plus de produits locaux après la crise car ils sont bons pour la santé, ont meilleur goût et sont bénéfiques pour la planète. 89% estiment qu'il s'agit d'un acte citoyen, l'expression d'une marque de solidarité avec les producteurs locaux mis en difficulté pendant la crise. Et 87% souhaitent ainsi contribuer à soutenir l'économie nationale.