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elections départementales

  • VANVES ET LES DEPARTEMENTALES : LA DROITE EN POLE POSITION PARTOUT

    La droite est arrivée en tête en Seine-et-Marne, dans l'Essonne, dans le Val-d’Oise, les Hauts-de-Seine, les Yvelines et le Val-de-Marne, département historiquement dirigé par le PCF qui pourrait basculer à droite, sauf en Seine Saint Denis où les résultats e la gauche (36,23%) loin devant la droite (11,57%)  consacrent les efforts de Stéphane Troussel (PS), président du CD 93 qui a réussi à rassembler socialistes (PS), écologistes (EELV), communistes (PCF), membres de Génération.s et de la Gauche républicaine et socialiste (GRS). Occasion de faire le point aujourd’hui sur le département des Hauts de Seine demain sur la Région, à la veille du 2e  tour  

    Si la majorité départementale (LR-UDI) est arrivée en tête lors du premier tour des élections départementales, ce n’est pas une surprise, et le 2e tour devrait confirmer un statu quo, à une ou deux exceptions prés. Seul l’abstention a créé la surprise en ayant grimpé de 12 points par rapport à 2015, (65,6%)  et empêché l’élection dés le 1er tour des conseillers départementaux/Maires  comme PC Baguet à Boulogne, Denis Larghero à Meudon,  Georges Siffredi à Châtenay,  Yves Révillon à Colombes/Bois Colombes car s’ils avaient obtenu plus de 50 % des suffrages (53% à Boulogne, 59,71 à Meudon, 54,01% à Chatenay 51,31% à Colombes-2), ils n'ont pas dépassé la barre de 25 % des inscrits. «Imposer un second tour alors qu’on a largement gagné, ne va pas réconcilier les français avec les urnes. Leur demander de retourner voter alors qu’on a fait des scores pareils, c’est incompréhensible. En plus cela entraîne des dépenses inutiles en matériel, en personnel, tout cela pour une surprise» expliquait l’un d’entre eux Finalement, seuls Jean-Christophe Fromantin, maire (DVD) de Neuilly et Alexandra Fourcade (LR), son adjointe et conseillère départementale sortante ont été élu dés le 1e tour avec 76,82%.  Le seul parmi  les 155 cantons que contents les 7 départements franciliens

    La gauche devrait garder l’ensemble de ses cantons, pour les communistes, à Gennevilliers, Nanterre, Bagneux, sauf peut ête à Montrouge  où le socialiste Joachim Timotéo est en position fragile (27,40%)  face à Etienne Lengereau (25,77%) son maire UDI parti à la reconquête de ce canton : «Le jeu est assez ouvert !» déclarait ce dernier. IL en est de même pour la droite, sauf peut être dans dex cantons :  Tout d’abord  Colombes où Nicole Goueta, ex-maire LR battu en Juin 2020,  a  obtenu  27,5 % des suffrages exprimés face à un binôme EELV-PS, qui ont recueilli 25,1 % des voix. « Je m’attendais à ce que ce soit serré, mais pas autant. Aux électeurs de savoir ce qu’ils veulent : Un élu dans la majorité qui a du poids, ou un élu dans l’opposition» réagissait  la doyenne du CD 92. Ensuite Châtillon/Fontenay aux Roses où tout se joue dans un mouchoir de poche entre le binôme sortant Laurent Vastel (UDI) et Anne Christine Bataille (LR) qui est arrivé en tête (38,18%) face au binôme Lournes Adjroud (PS) et Astrid Brobecjker (EELV) avec 37,90% des voix. Un troisième canton à suivre est celui de Clamart-Vanves le binôme LR Yves Coscas et Sandrine Bourg a recueilli 36,82 % des suffrages, soit huit points de plus que le binôme de gauche, que forment Adeline Beving (EELV) et David Huynh ( génération.s) avec 28,33 % des suffrages en améliorant de 18 points les résultats du binôme EELV en 2015 (10,65%)  : Tout pourrait dépendre du niveau de l’abstention et d’un bon report des voix obtenues par les binomes  LREM et PC-LFI vers les écologistes. Clamart a déjà élu un conseiller général EELV entre 2001 et 2015 avec Vincent Gazeilles. Et la politique de densification menée sur les deux villes par leurs maires qui  est très contestée.

  • VANVES ET LES DEPARTEMENTALES : QUELS REPORTS DE VOIX AU 2e TOUR SUR LE CANTON

    Avec les résultats de ce 1er tour dans  le canton de Clamart-Vanves, deux sources d’inquiétudes sont apparus  pour le binôme LR/UDI Sandrine Bourg et Yves Coscas.

    Tout d’abord, les reports de voix des listes éliminées. Il apparaitrait qu’aucune consigne de vote ne seraient donné par les marcheurs, mais il est fort possible que beaucoup votent écologistes. La campagne des municipales a laissé des traces. D’ailleurs, il est fort possible que les électeurs du binôme Boris Amoroz et Madeleine Bahloul (PC-LFI) votent pour le binôme écologiste Adeline Beiving et David Huynh qui, avec 29,85%  a amélioré trés nettement le score de Catherine Naviaux/Roland Rabeau  (EELV) de 10,65% en 2015. Il ne faut pas oublier que Clamart avait élu le seul conseiller général EELV des Hauts de Seine entre 2001 et 2015.

    D’où quelques tentations pour faire mordre la poussière à ce binôme soutenu par des maires LR et UDI qui densifient à tout va leur ville. Ensuite l’abstention record, 62,30% dans le canton Clamart-Vanves qui suscitent quelques inquiétudes justifiées tant à droite qu’à gauche. Enfin, le manque de notoriété des candidats de la majorité

  • VANVESDANS LE CREUX DE L’OREILLE

    DEPARTEMENTALES : 5 BINOMES POUR 2 FAUTEUILS LIBRES

    C’éait le titre du Parisien de Mardi dernier qui, dans sa série consacrée aux élections départementales dans les Hauts de Seine s’intéressait au canton de Clamart-Vanves. En faisant trois constats :  les deux sortants se représentent pas, les maires des deux villes figurent à des position éligible la liste de V.Pécresse (Libres), président sortant, et donc deux adjoints au maire (Sandrine Bourg et Coscas postulent  pour la majorité départementale LR/UDI en affirmant qu’ils sont « les seuls candidats élus dans les majorités des deux villes, ce qui est un atout pour travailler avec le département».

    Ensuite le Parisien s’intéresse à deux tandems : Le premier, Sonia Damlamian et Martin Garagnon (LREM) revendiquent avec force leur étiquette- « Nous portons cette bannière pour affirmer notre soutien à l’action du gouvernement » qui n’est pas plus tendre avec les écologistes : « Leur ligne sur le canton, c’est celle de Julien Bayou aux régionales, c’est la ligne qui divise », estime-t-il en visant le binome EELV, Adeline Beving et David Huynh affirmant « Il y a sur le canton une très forte aspiration sur les questions liées à l’écologie ».

     

    REGIONALES : ENTRE EN  CAMPAGNE

    Le coup d’envoi de la campagne régionale comme départementale s’’est traduite à Vanves, comme ailleurs, par l’apparition de ces panneaux électoraux installés depuis une dizaine de jours, où les premières affiches des candidats ont été collées depuis lundi, en dehors des tractages sur la voie publique qui sesont multipliés. Si l’épidémie a depuis reflué, c’est bien une campagne sous contraintes qui a débuté. Les candidats ne peuvent organiser de réunion rassemblant plus de 50 personnes. Les opérations de porte-à-porte et les meetings organisés dans le respect des jauges (35 % puis 65 % à partir du 9 juin) sont en revanche autorisés. Mais la principale difficulté est de trouver des assesseurs pour tenir les bureaux les 20 et 27 Juin, à Vanves comme ailleurs, car des responsables de campagnes à Vanves se sont vus répondre par des militants ou supporters « Vous pouvez compter sur moi  à la Présidentielle ! ». Beaucoup ont la tête ailleurs, et l’abstention risque d’être forte : 15,6% de participation à la législative partielle de Dimanche dernier à Paris, ce qui pourrai poser des questions de légitimité pour les 1 758 conseillers régionaux et 4 056 conseillers départementaux à élire, ce qui s’est passé devant le juge administratif après les municipales. D’autant plus que ces conseillers départementaux et régionaux vont être élus pour plus longtemps que d'habitude,  pour une durée de… sept ans au lieu de six. Afin de ne pas perturber la campagne présidentielle qui aura lieu en 2027. La prochaine échéance pour les élections départementales et régionales a donc été fixée en mars 2028.