Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

classes externées

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    11 NOVEMBRE GLACIAL MAIS UNE REMISE DE DIPLOMES CHALEUREUSE

    Les cérémonies du 11 Novembre se sont déroulées sous une pluie glacial qui a commencé à tomber lorsque les élus, officiels, anciens combattants, enfants des écoles et vanvéens se sont retrouvés  place du 11 Novembre à l’ilôt du métro. Pluie et vent n’ont pas arrêté au cimetière, où les prières des différents cultes ont été écourtées, puis au monument aux morts où Michel Judde, président du comité Local des Associations d’Anciens Combattants a lu le message du Secrétaire d’Etat aux Anciens Combattants et Bernard Gauducheau, maire a fait son discours, avant le dépôt des gerbes. Certains participants avaient déjà regagné la mairie pour s’abriter rejoignant une partie des anciens combattants de 1939-45 qui avaient été invités pour se voir remettre leur diplôme d’anciens combattants de 39-45, avec leurs familles.

    Ce fut une cérémonie chaleureuse présidé par le Maire, avec les adjoints au maire  et conseillers municipaux qui ont remis chacun un diplôme à ses hommes et ses femmes, sous le regard émerveillé et attendri de leurs proches, enfants et petits enfants, conjoints se tenaient derrière eux,  dont certains immortalisaient la remise du diplôme avec leur appareil numérique. Prés de 38 vanvéens l’ont reçu, sur 70 recensés par l’ONAC (Office National des Anciens Combattants) qui avait envoyé une liste à la ville mais qui n’a pas été transmise aux associations d’anciens combattants pour vérification, par oubli parait il. Résultats : certains avaient été oubliés. Notamment Mohamed Bouda qui était très déçu, cet homme d’origine d’Afrique du Nord, qui a quand même fait le débarquement en Italie, Monte Casino etc… Heureusement Bernard Gauducheau  avec Isabelle Debré lui en ont remit quand même un diplôme, quite à régulariser sa situation par la suite. Par contre pour M.Bredin,  ce sera plus difficile car il fallait être inscrit sur la liste des pensionnés de l’ONAC. or il avait en son temps refusé de recevoir une pension. Il était très déçu même s’il ne le montrait pas. Comme quoi ce diplôme avait une grande valeur dans le cœur de ces vanvéens qui avaient combattu pour défendre la France et auxquels la République rendait hommage.  

     

    LUCILE SCHMID EXTERNALISEE

    Lucide Schmid sera candidate aux cantonales mais pas à Vanves. C’est la surprise de cette période d’investiture et de pré-campagne. Elle est victime de sa mauvaise entente avec les Verts de Vanves, et notamment les élus municipaux Claire Papy et Pierre Toulouse. Il suffit de le svoir siéger côte à côte au conseil municipal. Ce n’est vraiment pas la joie. Il est vrai que Claire Papy et Pierre Touluse sont des Verts et Lucile Schmid Europe Ecologie. Mais ils ne sont pas prêtà fusionner comme ce sera le cas aujourd’hui à Lyon au niveau natonal. Du coup Lucile Schmid ira se battre contre Paul Subrini, Vice Président  du Conseil Général des Hauts de Seine et 1er Maire adjoint d’Issy, et c’est une aute femme qui sera désigné à Vanves.

     

    LA FECLAZ TOUJOURS

    Le chalet de la  Féclaz au col du Sire menacé de fermeture selon une rumeur qui a circulé à Vanves selon Jean Cyril Le Goff, conseiller municipal socialiste  qui a questionné le Maire à ce sujet au Conseil Municipal de Mardi soir. Celui-ci lui a répondu qu’il n’en était rien. Mais il a expliqué qu’à la suite d’un séjour d’une classe externée qui s’était retrovée sans professeur d’école suite à une maladie, l’Inspection Académique avait exigé de la ville d’accueillir deux classes au lieu d’une, permettant ainsi à un enseignant de remplacer l’autre  au cas où il lui arriverait quelque chose. Ce qui est quasiment impossible comme l’a expliqué le Maire.  Puisque ce chalet pour des raisons de nouvelles normes de sécurité avait dû faire l’objet de travaux pour ne plus accueillir qu’une seule et non deux classes externées, dans les années 80, si la ville souhaitait continuer à accueillir classe externées et colonies de vacances dans son chalet.  Après négociation avec l’Inspection, la Ville a  pu avoir son autorisation pour organiser des séjours pour une classe exsternée. Mais cette histoire prouve bien  une nouvelle fois  la cohérence ( ?)  des positions prises par l’administration quant il s’agit de veiller au bon déroulement des séjours de jeunes à l’extérieur. Et la volonté de lamunicipalité de garder cehalet cher au cœur des vanvéens qui y sont très attachés.