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boyugues immobilier

  • INAUGURATION DE LA RESIDENCE NIWA A VANVES : «BEAUCOUP DE CONTRIBUTIONS HUMAINES POUR ABOUTIR ! »

    Pas de ruban tricolore à couper. Mais une cérémonie du saké. Elle consiste à coup de marteau en bois manié là par le maire (Bernard Gauducheau), le promoteur (Xavier Bodeau Directeur régional de Bouygues Immobilier), l’architecte (Kengo Kuma), le paysagiste (Michel Desvignes), d’ouvrir un tonneau de sakè et de partager cette boisson japonaise avec tous les invités. C’est ce qui s’est passé Jeudi soir à l’entrée de la résidence Niwa , inaugurée en grande pompe rue Aristide Briand, privatisée à cette occasion, face à la Maison de Retraite : 160 Logements dont 30 sociaux où se sont installés ses résidents depuis la fin de l’année 2018, venant beaucoup de Vanves, et de ses environs (Montrouge, Paris…) dont beaucoup étaient présents avec leurs enfants

    Le maire a rapidement rappelé l’historique de l’aménagement de cette résidence sur ces terrain Aristide Briand  (1682 m2) dont la ville et le département se partageaient la propriété, qui  accueillait les bâtiments de la CPAM 92, de laDDE dont une partie a servi à accueillir  l’école élémentaire du centre pendant les travaux de l’îlot Cabourg, de la PMI avec à côté le siége de l’équipe locale de la Protection civile. Le Départemental après le départ de la CPAM et la DDE avait prévu la construction d’une Unité Territoriale rue René Coche dont l’étude de faisabilité devait être lancée pour des travaux de constructions en 2014-15. Patrick Devedjian a facilité les choses pour réunir ses deux parcelles en proposant à la ville d’acquérir son terrain,  et permettre à la commune de mener à bien son projet. « J’avais remarqué une parcelle de 5000 m2, l’un des derniers plus beaux sites de Vanves, dont la vente allait permettre de financer cette opération (Ecoles maternelle et primaire, centre de loisirs, Espace Jean Monnet). Ce terrain, bien placé proche de la gare Vanves-Malakoff, bien, ensoleillé, était favorable aux logements. Mais il fallait faire vite pour éviter que l’Etat le fasse à notre place en plus dense » indiquait le maire à l’époque.

    La ville  a alors passé un contrat avec la société publique locale Seine Ouest aménagement pour une mission d’assistance  auprés  de la commune pour organiser une  consultation préalable à la cession des terrains A.Briand/Diderot qui a été lancé en Mars 2013. Le cahier des prescriptions urbaines réaffirme le caractére résidentiel de ce quartier et la nécessité d’une démarche pour un label éco-quartier avec des efforts sur la maîtrise de l’énergie.  L’objectif était de concevoir un quartier favorisant des immeubles de logements de constructions contemporaines, avec des matériaux durables,  avec des toitures terrasses végétalisées, agencés autour de placettes et de jardins selon le concept du « jardin japonais » avec des percées visuelles, une végétation à vertu dépolluante, avec le souci de garantir une continuité ou une fluidité entre les espaces intérieurs et extérieurs, avec notamment de larges baies vitrées, des balcons, des terrasses.  Il insistait aussi  sur la nécessité de privilégier les grands logements afin de répondre aux demandes des familles vanvéennes.

    24 équipes ont répondues en déposant un dossier de candidatures. 6 équipes ont été retenus autour de 6 promoteurs - BNP Paribas, Bouygues Immobilier, Cogedim et Ogic, Crédit agricole et Akerys, Icade Promotion et Sefri Cime -  et ont été auditionné à la mi-Novembre 2013. La commission, après présentation des conclusions de l’analyse des offres menée par Seine Ouest Aménagement,  choisisait le 4 Mars 2014 par 9 voix sur 12  Bouygues Immobilier  avec l’architecte Kengo Kuma  se nourrissant des traditions architecturales de son pays et le paysagiste Michel Desvignes, une figure incontournable parmi les paysagistes français les plus reconnus. Il représente indéniablement une garantie pour l’insertion du projet et la qualité des espaces libres. « L’intelligence du duo architecte-paysagiste, tous les deux réputés pour la qualité et l’élégance de leurs conceptions, nous paraît être à lui seul un gage de qualité » expliquait on à  SOA.

    Lorsque le bureau de vente de la future résidence a ouvert en Octobre 2015 sur la place d’Insurrection, il n’a jamais désemplit, et les apppartements ont été vendu en un temps record. Ce projet a été quelque peu retardé par un un recours fin 2015 /début 2016 déposé devant la juridiction administratives par des riverains de la résidence Villa  Coche. Ils considéraient que l’accès du parking de Niwa  est trop proche de leur résidence et pourrait créer des nuisances ; Mais les  travaux furent vite lancé courant 2016, la future résidence recevant même en 2017 le prix spécial du Jury au concours des Pyramides d’Argent organisé par la Fédération des Promoteurs Ile de France, avant d’être terminée. Comme le reconnaissait le maire de Vanves, Jeudi Soir, il a fallu beacoup de contributions humaines pour aboutir

     

  • MUTATIONS URBAINES A VANVES ET AUTOUR DE LA GARE DU GRAND PARIS EXPRESS : 19 HECTARE SONT CONCERNES

    Aujourd’hui les vanvéens peuvent voir les effets du chantier du Grand Paris : Il est partout avec ce chantier de la gare du Grand Paris Express du Fort d’Issy-Vanves-Clamart, avec ces nombreuses opérations immobiliéres privées en projet ou en train de sortir de terre, disséminées un peu partout sur le territoire vanvéen, mais surtout dans ce triangle au bout de Vanves entre les avenues du Général de Gaulle et de la Paix, et la rue du Clos Montholon devenue la rue des chantiers du Grand Paris, avec ses panneaux des promoteurs immiboliers, ces terrains où des pavillons ont laissés place à des friches, ces espaces de ventes…. «Autour des gares, l’Etat et la Région ont fait le choix de laisser le secteur privé et bancaire développer un urbanisme qui va accélérer l’embourgeoisement de ses communes» constate une observatrice averti du Grand Paris. Et Vanves n’y échappe comme c’est le cas tout autour de ce quartier de gare 

    Une étude inédite de l’APUR (Atelier parisien d’urbanisme ) réalisée avec la SGP (Société du Grand Paris)  et la DREIA (Direction Régionale de l’Equipement),  s’est penché sur les mutations urbaines des quartiers des gares de la ligne 15 sud du Grand Paris Express. C’est la première de ce genre éditée par l’Observatoire des quartiers de gare.  L’étude décrit les transformations engagées au travers de 80 projets d’aménagement dans les 16 quartiers de gare de la ligne 15 sud dont certains font l’objet de ZAC, de PRU (Renouvellement Urbain), de l’appel à projet innovants « Inventons la Métropole du Grand Paris »etc…dont 19 autres projets, le plus souvent des opérations privées, de petites, grandes ou moyennes envergures, comme c’est le cas à Vanves.

    19 ha soit 10% du territoire est  concerné autour de la gare  du Fort d‘Issy/Vanves/Clamart : Ils représentent prés de 105 153 m2  de logements (1923) avec 20 770 m2 de logements sociaux , 65 500 m2 de bureaux, 800 m2 d’activités, 12 760 m2 d’équipements, 3100 m2 de commerces, créant une densité de 1,13  sachant que la densité moyenne se situe entre 0,8 et 1,4.  Il s’agit pour les grosses opérations de l’écoquartier du Fort d’Issy, du quartier à la Gare à Clamart, du secteur Colonel Fabien à Malakoff. A Vanves, il s’agit de la zone pavillonnaire en triangle où trois opérations ont été lancé, l’une par Bouygues Immobilier (54 logements) et les deux autres par Franco Suisse à l’angle des avenues de la Paix/Général de Gaulle et rue du Clos Montholon (Villa Mathilda). Mais les promoteurs  ont adopté la stratégie de la lenteur sur laquelle le blog reviendra demain

  • L’AVENUE DU GENERAL DE GAULLE A ISSY ET VANVES, NOUVEL ELDORADO DES PROMOTEURS

    Dans le sud des Hauts de Seine, les observateurs attentifs ont remarqué que sur de nombreux axes routiers, des opérations immobilières ont été lancée tout récemment. Depuis l’arrivée du T6, c’est le cas le long de la RD 906 entre Chatillon/Montrouge et Velizy, les promoteurs n’hésitant pas à aménager de gigantesque bureau de vente comme c’est le cas pour le CIN Panorama à l’emplacement de l’ancien centre de R&D d’EDF déménagé à Saclay, ou la ZAC Panorama plus loin, au carrefour du Pavé Blance, là où Bouygues avait installé son premier siège social. A la limite de Vanves et d’Issy les Moulineaux, l’avenue du Général de Gaulle connaît le même phénomène avec des bureaux vente plus modeste, les opérations immobilières se multipliant à l’emplacement de pavillons bien sûr, grâce à la future station du Grand Paris Express

    A Vanves, en bordure, du triangle d’or vanvéen, Bouygues Immobilier construira au 171/175 avenue du Général de Gaulle une résidence de 54 Logements, avec un jardin florentin (constitué de rosiers et d’eau) en devanture. Le bâtiment de 3 étages sur rez de chaussée, comportera des terrasses et un toît végétalisé, avec un parking souterrain de 57 places. La commercialisation des appartements ont dû commencé et les travaux se dérouleront entre le 4éme trimestre 2018 et 2020.

    Franco-Suisse construira  à l’angle des avenues  du Général de Gaulle (147/149) et de La Paix un immeuble R+4 de 83 logements. Il est assez long scindé en deux bâtiments, les façades étant en pierre massive, avec au dernier étage un revêtement en zinc, et des terrasses massives. Un jardin est prévu derrière avec un grand hall d’entrée à l’angle des deux avenues. Le chantier doit démarrer à l’été 2018 et durer 24 mois

    Coté Issy les Moulineaux le groupe Accueil construit La Villa du Parc (24 appartements) presque en face du restaurant asiatique à l’angle avec la rue JB Potin. Le groupe Horizon, vient d’annoncer le financement d’une opération à Issy-les-Moulineaux, réalisée en partenariat avec SJS Immo, promoteur immobilier spécialisé du secteur, "située le long de l’avenue du Général de Gaulle dans un cadre verdoyant nichée entre les parcs Frédéric Pic et Henri Barbusse" selon la publicité à quelques métres de là vers la Villa où a habité le peintre Matisse : La résidence Issy, ailleurs…avec 23 appartements, du studio au beau 5 pièces, se répartissent sur 4 étages. Les logements disposent tous de prestations de qualité en offrant de spacieux balcons ou terrasses et de jardins privatifs au rez-de-chaussée.  «Issy, ailleurs… est la première opération du groupe Horizon, sur le marché immobilier du 92. Elle répond ainsi à notre volonté de s’implanter sur les villes impactées par le Grand Paris Express. En réhabilitant cet actif semi-industriel en un actif résidentiel, nous démontrons une nouvelle fois notre capacité à transformer et à optimiser des actifs sous-exploités afin d’offrir une meilleure qualité de ville aux habitants» expliquait un de ses responsables