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vanvesauquotidien - Page 439

  • UN NOUVEAU COMMERCE EPHEMERE A VANVES POSE QUELQUES QUESTIONS

    Le nouveau commerce dit éphémére apparut au début de la semaine dernière place du Val (de Lattre de Tassigny) à l’emplacement d’un salon de coiffure, porte bien son nom. D’autant plus que la commerçante est obligé chaque fois de tout  installer le matin  et de tout remballer en fin de journée, car ce local n’est pas assuré à cause de vitres non conformes selon les assurances. Occasion de rappeler qu’une boutique éphémère ou « pop-up store » est  ouverte sur une période de temps limitée allant de quelques jours à quelques mois. C’est un concept de boutique qui a le vent en poupe en France.  Pour un local qui aurait été préempté par la mairie, cela fait quelque peu désordre

    Même si les vanvéens peuvent se réjouir devoir s’ouvrir un commerce quel qu’il soit  dans le Centre Ancien en souffrance du point de vue de l’animation commerciale, il n’en reste pas moins que certains d’entre eux se sont étonnés de sa devanture qui semblerait en contradiction avec les règles préservant le patrimoine vanvéen, ce qui illustrerait le peu d'attention porté par la Ville à ce patrimoine et témoignerait  peut-être également d’un dysfonctionnement. La couleur de la façade les a étonné puisqu’il placé  à moins de 100 mètres de l'église St Remy, bâtiment classé depuis 1928. L’un d’entre eux a même été jusqu’à  demander si l'ABH (architecte des Bâtiments de France) avait été, comme il se doit, consulté puisque cette place du VAL se trouve dans le périmètre de co-visibilité d'un monument historique. Il a même consulté le Samp 92 (service métropolitain de l'architecture et du patrimoine 92 sud) qui lui a répondu négativement. Ce qui est quelque peu gênant d’autant plus que les autres commerçants sur place ont eu quelques difficultés avec ce service de l'Etat pour les façades de leur boutique lorsqu’ils se sont installés ou ont effectués des travaux de rénovations.

    Cette petite histoire révèlerai-t-elle  donc une mauvaise surveillance par la ville des devantures commerciales. Mais il y a peut-être plus cocasse selon quelques élus de l’opposition. Ce local aurait été préempté par la ville ! On se demande bien pourquoi puisqu’elle la municipalité s’est toujours refusé à le faire comme l’atteste certaines déclarations en conseil municipal ou en réunion publique. Mais ils n’auraient pas trouvé trace d'une délibération en ce sens dans le compte-rendu des délibérations du conseil municipal. «Si cette préemption était avérée, la situation serait quand même baroque puisque cela signifierait que la ville a (en tant que propriétaire du local) enfreint les règles patrimoniales ... » ajoute l’un d’entre eux

  • LES RENDEZ-VOUS TRADITIONNELS A VANVES D’UNE SEMAINE DE NOEL

    L’événement de cette semaine et ce week-end a été l’ordination de Guillaume Leclerc comme diacre samedi soir à Saint Remy  (sur la photo) devant une assistance nombreuses  à quelques jours d’un Noël particulier cette année. C’est l’ultime étape avant l’rodination sacerdotale qui lui permettra de devenir prêtre.  Le nombre de messes prévues a été doublé pour permettre d’accueillir au mieux les fidéles, Jeudi et Vendredi prochain  

    Jeudi 24 Décembre

    A 17H30  et à 19H30 à Saint François et à Saint Remy : Messe de Noel

    A 23H à Saint Remy : Messe solennelle de Noël

    à 23H chez les Bénédictines : Messe de la nuit qui ne sera pas suivi du traditionnel chocolat chaud à cause de la crise sanitaire 

    Vendredi 25 Décembre

    A 10H à Saint François, à 19H30 chez les Bénédictines et à 11H15 à Saint Remy : Messe de Noël

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    SOLIDARITE : Cette période de Noël est marqué par la solidarité : Les 10 tonnes de produits de première nécessité récoltées dans certaines villes dont Vanves, viennent d’être acheminés par GPSO à Beyrouth où ils été distribués à des familles sinistrés de cette explosion survenu ans le port en Août dernier. Un cédre du Liban a été planté la semaine dernière dans le parc F.Pic. Les seniors vanvéens ont retirés leurs ballotins de chocolats distribués par le CCAS dans trois salles municipales ( La Palestre, le Square et la salle  Latapie) la semaine dernière. Mais il n’y aura pas cette année de banquet pour le nouvel an à cause bien sûr de la crise sanitaire. La Croix Rouge (sur la photo) a organisé 3 collectes pour confectionner des boites de solidarité de Noël pour être distribués aux plus démunis des villes de Vanves et de Malakoff durant cette période de fêtes. 

    BUDGET 2021 : Cette semaine a été marqué par le vote du buget 2021 de la Région ile de France au bout de 3 jours de débat. Ce budget de 5 milliards d’euros présente une hausse des investissements à 2,6 milliards d'euros (+17%), tandis que les dépenses de fonctionnement s'établissent à 1,9 milliard. Un budget  considéré comme «offensif» et «inédit», selon sa présidente Valérie Pécresse : «Ce budget est rendu possible parce que nous avons les reins solides et que depuis 2016, nous avons su dégager des marges de manœuvre financières par une gestion exemplaire» a-t-elle affirmé en annonçant un milliard d'euros pour la santé, par exemple pour «créer 500 lits de réanimation modulaires et former 3000 soignants.

    SOUTIEN AUX RESTAURANTS : Par ailleurs, la région a voté une aide aux loyers de 1000 € aux commerces, bars et restaurants confrontés à une fermeture administrative pendant le deuxième confinement. «Déjà affectés par les premières mesures de mars et d'octobre, les petits commerces, les services de proximités, les bars et les restaurants sont dans une situation préoccupante, accentuée par le second confinement et la chute brutale de leur chiffre d'affaires. De plus, les commerçants et artisans, souvent travailleurs non-salariés, ne bénéficient pas du dispositif d'activité partielle et le paiement des loyers reste notamment une charge importante (entre 6% et 12% du chiffre d'affaires des restaurants et des commerces franciliens). Le dispositif proposé vise donc les commerces de détail et de services (coiffure, soins de beauté...), les entreprises de la restauration (bars-restaurants hors restauration rapide) et l'artisanat commercial qui ont dû fermer le 30 octobre dernier, alors même que leurs charges restaient dues» indique-t-on à la Région