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  • UN PREMIER CAFE POLITIQUE DE L’UMP VANVES EN PLEINE EBULLITION POLITIQUE ET MILITANTE

    La section UMP de Vanves a profité du village des terroirs pour organiser son premier café politique mensuel au Bistroquet samedi matin, avec Yves Menel, 1er maire adjoint et conseiller général de Garches, avec Isabelle Debré sénateur et 1ére maire adjointe de Vanves et Maxme Gagliardi

     

    « On est là dans cette période d’ébullition politique, pour se dire franchement les choses. On a réussit à faire un gros vote avec 175 000 votants. L’organisation n’a pas été bonne. Mais on ne pensait pas avoir autant de monde. Des tricheries, mais il y en a à chaque élection ! Avec une mauvaise pioche après la désignation des candidats : On est revenu à un combat frontal entre deux fortes personnalités. Mais un élément nouveau : Tout le monde s’est branché sur BFM TV. Et on a fait l’ouverture des JT pendant 10 jours. Avec la surenchére des entourages. Dans le même temps, on a eu les élections partielles où Patrick Devedjian (à Antony) a fait un score encore jamais réalisé jusqu’à présent. Avec un PS en baisse et un FN éliminé » a constaté dans un premier temps Yves Menel avant d’ajouter pour lancer la conversation : « 80% de nos militants pensent qu’il faut re-voter. Il faut le faire avant l’été et non en Septembre. Avec les deux sortants ou d’autres candidats ? » - « Mais ils sont grillés tous lesdeux « s’exclame un participant – « les gens ont une capacité d’oubli important. On a deux blessés, un grave (JF Copé) et un léger (F.Fillon) » a-t-il ajouté.  « Mardi prochain à 12H, tous les parlementaires vont voter à bulletin secret  sur un nouveau vote. JF Copé a eu une phrase malheureuse en disant que les parlementaires n’avaient aucune légitimité » a indiqué Isabelle Debré en racontant « qu’il y avait eu un vote à main levée entre sénateurs : 80 ont demandé un nouveau vote, 10 n’ont pas participé au vote. Il n’y a plus de courage politique en ce moment ! » - « au moins, on se retrouve pour débattre » constate Yves Ménel.

     

    Et ce fut le cas pendant près d’une heure autour de cafés et de chocolats au fond de la salle du Bistroquet. « On a eu juste un retour de carte. Et un grand nombre d’adhésions surtiout de jeunes. On sent un certain volontarisme ! » indiquait la sénateur qui considére que « les deux sont grillés ». La plupart des militants présents souhaitent un second vote, de surcroît ouvert à d’autres candidats.  « Il faut élargir, car on aura du mal à revoter pour l’un ou pour l’autre » demande un militant. « Il faut revoter avec un nombre supplémentaire de candidats » ajoute un second  « Mais pas revoter sur les motions » ajoute un troisiéme alors que certains s’interrogent : « Une majorité a voté pour la Droite Forte. Mais personne n’est identifié comme porte parole ! »  - « c’est normal parce que personne ne va voter pour une droite faible ! » répond Isabelle Debré qui constate que « si la droite sociale a fait un bon score, c’est parce que Laurent Wauquiez la portait » - « En tous les cas, pour engranger de nouveaux électeurs, il faut du fonds » a  ajouté un participant.

     

    Un autre a demandé qu’il y ait un intérim au siége de l’UMP si l’on revote alors que cerrtains affirment ne pas vouloir voter pour eux : « Ils se sont conduit l’un et l’autre comme les derniers. Ils n’ont pas eu un comportement digne ». D’autres participants souhaitent que « l’on re-vote le plus tôt possible, car les municipales sont pour bientôt ! Afin d’éviter de prendre une savate ! ». A ce moment l’un des participants parle de cette pétition reçu par internet qui invite à légitimiter  JF Copé à sa place de président. « On ne peut pas la signer puisqu’on doit re-voter ! » répond un autre. « c’est dommage de prendre en otage les militants » s’offusque un troisiéme. A la fin, Yves Mébel tente : « Est-ce que l’on peut parler d’avenir ?  » mais sans succés. Le café politique touche à sa fin. Isabelle Debré et Maxime Gagliardi invitent tout le monde à se retrouver dehors pour le pot offert par le Comité de Quartier à l’occasion de ce village des terroirs, dehors face à la pharmacie sous un soleil timide où sont déjà présents élus et militants UDI et PS – dont certains militants tractaient place du VAL -  avec des vanvéens .   

  • LE PS A VANVES VOTE CONTRE LA LISTE DU PS 92 A 74%

    Les socialistes vanvéens ont fait preuve de solidarité vis-à-vis de Lucile Schmid en rejetant à plus de 70% la liste proposée par la Fédération du PS des Hauts de Seine pour les Régionales de Mars 2010.

    Sur 57 votants, 27 se sont exprimés : 20 contre (74%), 6 Pour (22%) et 1 abstention (4%).

     

    Beaucoup ne se sont pas déplacés mais n’en pensaient pas moins, d’autres n’ont pu voter parce qu’ils n’avaient pas renouvelés leur cotisation. « Cette consultation intéressait très peu de militants vanvéens, et ceux qui ont voté, ont majoritairement voté contre car on perd une élue au Conseil Régional » constatait Fabian Estellano, secrétaire de section,  hier soir à 22H30 après le dépouillement du scrutin qui s’était déroulé de 17H à 22H dans la nouvelle permanence du PS. Il confiait même devant les mesures draconiennes prises par la « fédé du PS pour un bon déroulement du vote », « qu’elle craignait jusqu’à la dernière minute que Lucile Schmid présente une seconde liste. Ce qui n’a pas été le cas ! ». Comme le remarquait l’une des élue éliminée, Elisabeth Gourevitch à Première Heure, journal par fax des Hauts de Seine : « Nous ne devons pas être les bons petits soldats qui doit plaire au secrétaire fédéral. Cette liste est plus une association de sous courant du PS ».

     

    MALAISE PARMI LES MILITANTS

    Une liste où pourtant apparaît Fabian Estellano à la 21éme place ? Ce qui n’était pas une raison pour laquelle il approuvait cette décision d’éliminer Lucile Schmid, raison pour laquelle, il est resté très discret. « Ils ont viré les femmes et gardé les maires. Et cela m’agace » réagissait un militant en venant voter. « Ils ont fait la pari que l’on ne soit pas gagnable » ajoutait un autre. « C’est un peu compliqué tout cela ! Quand est-ce que l’on se remet a travail ? » demandait un troisiéme en engageant une discussion sur l’incident Peillon/Royal. « Il faut qu’il y ait un chef en haut. Il n’y a rien d’audible. Martine Aubry ce n’est « Speedy Gonzales ! » enchaîne l’un de deux qui tient le bureau. « Mais elle se démarque des bisbilles. C’était elle qui pouvait tenir Ségoléne Royal face aux vieux « éléphants » répond d’un des votants . « En tous les cas, Peillon/Royal c’était tristounet ! » - « Et Hollande ! » - « C’est celui qui parle sans faire de chicayas ! » - « On attend DSK (Dominique Strauss Kahn) ! C’est le chef » - « ce qui devient compliqué dans notre parti, c’est qu’on n’a pas quelqu’un de brillant capable d’emmener et d’emporter les suffrages ».