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ville de vanves - Page 77

  • BEAUCOUP DE MONDE POUR UN MEETING POLITIQUE PAS ORDINAIRE A VANVES AVEC GABRIEL ATTAL

    Parmi les 400 à 450  participants à la réunion publique de Gabriel Attal jeudi soir à la Palestre, beaucoup de jeunes, mais aussi de vanvéens peu habitués à se déplacer pour participer à un tel rassemblement dans le cadre d’une campagne, attiré sûrement par la curiosité d’entendre et d’approcher un Premier ministre vanvéen, jeune de surcroît, et abordable. Beaucoup l’ont entouré à la fin de la réunion pour lui poser des questions, faire des selfies auxquels il s’est prêté longuement, toujours affable, en chemise car il avait manifestement chaud. 

    A entendre certains, ils ont été impressionnés par ses réponses claires apportées aux questions de quelques vanvéens sur le handicap, le harcèlement, la transition écologique, l’émigration, avec l’aide de Claire Guichard, sa suppléante à ses côtés. Et surtout lorsqu’il a présenté les enjeux majeurs de cette élection législative suite à la décision du Président de la République  de dissoudre l’Assemblée Nationale, auquel manifestement, il ne s’attendait, n’a pas été consulté,  et à laquelle il n’était pas favorable. « Il ne faut pas qu’on s’en souvienne comme une tragédie ! »a-t-il expliqué car « Ce qui se joue, c’est moins la politique que la  République. Empêcher certes les extrêmes, mais surtout se battre pour défendre les valeurs de la République que des partis politiques ne reconnaissent plus. On est à un moment où le pays doit faire un choix, quel chemin faire pendre à notre pays. Ce qui se joue, c’est notre pacte républicain face à ceux qui veulent dévisser le pays » a-t-il déclaré  en ajoutant : « Le message à faire passer est que tout se joue dés le 1er tour ! » en laissant entendre que le risque est d’aboutir alors à des duels FN-Front Populaire et les sondages semblent montrer que le choix se ferait alors pour le RN.

    Il n’en pas moins reconnu que  « c’est à Vanves et dans cette circonscription  que tout acommencé » et qu’il a parcouru tout ce chemin politique qui l’a amené en moins de 7 ans à Matignon, face aux maires UDI André Santini et Bernard Gauducheau, des deux principales villes de cette circonscription - présents à cette réunion - qui le côtoient depuis dix ans « au cours desquels nous avons appris à nous connaître, à s’apprécier »comme l’a expliqué le maire de Vanves, « admiratif de la façon dont il s’est engagé dans ses différentes responsabilités ministérielles ».

    Comme le reconnaissait Bernard Gauducheau, « ce n’est pas un meeting politique ordinaire. Il y a un enjeu, un choix à faire qui n’est pas une petite chose. C’est d’éviter qu’une grande puissance comme la France soit prise en main par des irresponsables ». Denis Larghero, son colllégue de Meudon a mis en évidence l’enjeu local  sur ce territoire que constitue  GPSO que "nous avons réussi à développer en travaillant ensemble, comme dans une famille. Il y va de notre intérêt que l’on garde la main sur notre territoire. Ca sinon on va le payer cher, avec la péréquation … si on a des députés LFI »

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    ATTAL : TOUT SE JOUE DES LE 1Er TOUR

    «  La première fois où j’ai cette salle aussi remplie, c’était pour les municipales que j’ai perdu. En arrivant ici, ce soir, je me suis dit qu’on était sous la bonne étoile » a déclaré Gabriel Attal lors de sa première réunion publique de campagne dans la 10e circonscription, à Vanves, dans la salle de Palestre où étaient venus hier soir, plus de 400 personnes. Il faisait écho à l’un des 4 maires de sa circonscription qui le soutiennent, Denis Larghero (Meudon) qui soulignait que « dans cette salle on n’a eu que de bonnes victoires ». Le blog reviendra demain sur cette réunion publique auxquels assistaient aussi les maires UDI D’Issy les Moulineaux (André Santini), et de Vanves (Bernar Gaducheau) avec Claire Guichard sa suppléante. «Ce qui joue , c’est notre pacte républicain face à ceux qui veulent dévisser le pays » et d’inviter à voter  dés le 1er tour : « Il n’y a pas de fatalité. Il y a une majorité qui ne veulent pas de l’extrême droite. Le message à faire passer est que tout se joue le 1er tour » en laissant entendre que le risque est d’aboutir alors à des duels FN-Front Populaire et les sondages semblent montrer que le choix se fera alors pour le RN.

    DECES DE JEAN PIERE SAUVIN

    Jean Pierre Sauvin s’en est allé voilà quelques jours, ducôté de Lisieux où il s’était installé pour sa retraire en quittant Vanves. Ce vanvéen a été un personnage de la ville car il a fait toute sa carrière à la mairie sous les mandats d’André Roche, Gérard Orillard, Didier Morin et Guy Janvier, tout d’abord au Secrétariat Général puis à l’Etat Civil. Il disposait d’un don rare, une écriture et d’une orthographe parfaites qui l’avait amené, notamment  à rédiger les comptes rendus du conseil municipal lorsqu’ils étaient rédigé encore manuscritement, et des actes administratifs, bien sûr avant la dématérialisation des documents aministratifs. IL s’était beaucoup investit dans la vie associatuve vanvéenne : l’Avenir de Vanves, Crû 46 qui rassemblait toute une génération de vanveens née en 1946, était passé  ensemble par  l’école communale du Centre etc… 

    LA TOUR INSEE A PRESQUE DISPARU DU PAYSAGE

    Etonnant paysage porte de Vanves qu’empruntent beaucoup de Vanvéen : La tour de l’INSEE a totalement disparue, dégageant une vaste perspective à la faculté postée à l’entrée de Malakoff, et redonnant de la lumière à ses riverains. Il ne reste quasiment plus rien de ce bâtiment emblématique (13 étages, 48 m de haut et 32 000 m2 de béton), dessiné par les architectes Denis Honegger et Serge Lana. «Bulldozers et grues de démolition ont fait leur œuvre depuis décembre dernier, étage par étage, avec une précision et une vitesse impressionnante, laissant quelques stigmates de poussière sur les feuilles des platanes et les voitures. Mais surtout un grand vide » constatait Le Parisien. Mais voilà, à son emplacement, il est prévu un bâtiment surface quasiment similaire pour y accueillir  1 800 agents du ministére des affaires sociales, auquel la municipalité de  Malakoff est farouchement opposé. Elle serait, parait il, dans une démarche de négociation pour obtenir réparation du «préjudice» causé, sous la forme d’un aménagement de jardin public.

    RE OUVERTURE COMPLETE DE L’A13

    Les vanvéens qui  empruntaient cette autoroute  régulièrement avant ses deux mois de fermeture, vont pouvoir la ré-utiliser complétement à partir du lundi 24 Juin en fin de journée. Voilà deux mois, le 19 Avril 2024, la préfecture des Hauts de Seine avait ordonné la fermeture, en urgence de la portion Vaucresson-Paris en raison d’une fissure transversale apparue après un glissement de terrain.  Des travaux permettant de stabiliser le mur de soutènement de l’autoroute avaient alors été engagés pour permettre la réouverture de l’A13 le plus rapidement possible et mettre fin à la galére de beaucoup de francilien. Depuis, le département avait engagé «des travaux de réparation de la canalisation fissurée», tandis qu'une entreprise a effectué des travaux de remblaiement pour «stabiliser le mur de soutènement de l'axe».  La Direction des routes d'Île-de-France (Dirif) a finalisé la semaine dernière, semaine les travaux de rénovation de la chaussée nécessaire à la reprise de la circulation depuis Paris vers la province.

  • 7 ANS APRES SA 1ére ELECTION, GABRIEL ATTAL RASSEMBLE UN ARC REPUBLICAIN A VANVES

    Depuis presqu’une semaine, Gabriel Attal a lancé  sa campagne dans cette 10eme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy les Moulineaux), en étant très présent sur le terrain comme l’ont  constaté les vanvéens, le week-end dernier alors qu’il parcourt la France pour soutenir d’autres candidats en même temps, et le  mardi 18 juin : Il a participé  l’hommage rendu par la ville pour le 84eme anniversaire de l’Appel du Juin 1940 (sur la photo)  tout en ayant ayant tracté à l’îlot du métro avec des élus et militants Renaissance.  Et il tiendra ce soir à 19H à la Palestre une réunion publique, en présence des quatre maires de la circonscription, les centristes André Santini (Issy), Bernar Gauducheau (Vanves), Denis Larghero (Meudon), et le LR Pierre Christophe Baguet.

    A deux jours prés, une date anniversaire, puisque voilà sept ans, un 18 Juin 2017, il était élu à 60,94% des voix député contre 39,60% à Jeremy Coste (UDI). Qui aurait pu imaginer ce jour là, que 7 ans plus tard, il serait Premier Ministre de La France, menant campagne dans une circonscription très scrutée, ancien fief santiniste, soutenu par ses 4 Maires UDI et LR alors qu’il était vilipendé et l’objet de basses mesquineries de leurs parts au début de son mandat…Jusqu’à ce qu’il soit nommé ministre. Et que dans un département détenu par une majorité LR-UDI, il  signé un pacte de « non-confrontation » avec  le président de la fédération LR du département Philippe Juvin, le président de l'UDI et sénateur des Hauts-de-Seine Hervé Marseille, la responsable départementale du Modem et sénatrice Isabelle Florennes, ainsi que le président du département Georges Siffredi…afin  de « faire barrage aux extrêmes de droite comme de gauche » et créer un « Arc Républicain ». «Il y a, au niveau local, des élus locaux qui se retrouvent», avait-il expliqué, en revendiquant être soutenu «tout à la fois» par «des élus ou anciens élus de gauche socialiste» et «des élus ou anciens élus LR».

    Le Premier ministre devra, pour sauver le siège qui était le sien depuis 2017 ferrailler contre les principaux candidats Nouveau Front Populaire Cécile Soubelet comme en 2017, LR-Ciotti-RN Sébastien Laye, entrepreneur Franco-Américain et éditorialiste à Valeurs Actuelles-Chroniqueur sur C News et un candidat LR-canal Historique Clément Perrin, qui se revendique comme « candidat dissident », mais aussi Herlander Ferreira do Amaral (Reconquête), Laurence Viguié (Lutte Ouvrière), Esteban Egouf (DVG),  Béatrice Guillemet (DVG) et Nicolas Lemesle (DVD)

    Ce soir, en dehors de l’enjeu local des ses élections, il devrait expliquer «le risque de catastrophe économique qui pèserait sur la France en cas de victoire des extrêmes aux législatives». En s’appuyant sur la mise en garde de l'Afep, qui réunit les 117 plus grandes entreprises françaises et qui a alerté lundi sur «un risque majeur de décrochage durable de l'économie française et européenne »