L’équipe de basket de Vanves a joué contre Cholet Lundi soir, mais a été battue 93 à 74. Dommage que des affiches ou les réseaux sociaux de la ville n’aient pas annoncé ce match, car il aurait pu attirer plus de monde. Mais «pour nous la saison démarre vraiment samedi avec la réception de Vitré pour la 1ere journée de NM1» à Vanves à 20H
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LA PHOTO DU JOUR A VANVES: GRANDE SOIREE DE BASKET
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CHRETIENS DE VANVES - PMA/GPA : « Ces lois permissives ne sont pas pour nous chrétiens !»
Pour aller plus loin et exposer les enjeux de la révision des lois bioéthiques, alors que l'épiscopat encourage les catholiques à protester contre la PMA (procréation médicalement assistée) le pére curé Bertrand Auvile a invité le pére Bruno Saintôt, responsable du département d’éthique biomédicale à la faculté jésuite de Paris de venir exposer les enjeux de la révision des lois de bioéthique à la Maison des Familles à Bouloghne le 16 Octobre à 20H45. Une date à retenir. De son côté, Mgr Jacques Turck qui est en situation de retraites à Saint Remy, s’est exprimé sur ce sujet dans le Sel et Lumière du week end dernier, ce qui n’est pas passé inaperçu :
«La loi pour autoriser la PMA est en passe d’être adopté. Bien que l’on s’en défende, notre pays adoptera un jour,une loi sur le GPA. La logique est simple : Si un français revient avec un enfant conçu et né dans un autre pays, par une GPA, comment ne pas reconnaître son existence de fait ? Refuser le GPA, et nous serons alors taxés d’hypocrisie et de couardise. Le droit de reconnaitre celui ou celle qui nousa donné le jour, est affirmé comme un droit imprescriptible dans notre pays. Le GPA permettra t-elle l’exercice de ce droit ?» demande t-il. «Dans la cascade de ces projets de lois, n’y a t-il une méconnaissance profonde de l’être humain ? Ils portent en eux, le mépris de l’enfant, son droit de vivre de l’amour d’un pére et d’une méré, est bafoué. Ce déni de justice met en lumière, une prétention des adultes à l’égalité. Ils ont substitué leur volonté d’adultes à la dignité d’être fragiles et sans parole. Tout cela est contraire à la révélation chrétienne» poursuit il
«Nous chrétiens prenons conscience que ces lois permissives qui se préparent, ne sont pas pour nous. Nous vivons dans une société paienne qui, en de nombreux domaines, se régule sur le principe d'un hedonisme libéral. «C’est mon choix, donc c’est mon droit ! ». Chrétiens, nous ne sommes pas appelés à vivre selon cette loi. Ce n’est pas la seule fracture qui divise l’humanité. Pourtant au cœur de ces situations, nous sommes appelés à aimer les autres au-delà de leurs erreurs. Ce n’est pas le moindre des défis de notre foi. C’est le chemin de l’Evangile»
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UNE BOITE A LECTURE RIKIKI A VANVES
Une boîte à lire est une petite bibliothèque de rue où chacun peut déposer et emprunter des livres gratuitement, privilégiant ainsi l'accès à la culture. C’est aussi un projet solidaire qui favorise le lien social, encourage une économie du partage et du don et développe une démarche éco-citoyenne. En déposant ou en empruntant un livre dans une boîte à lire, on lui donne une seconde vie, tout en respectant l’environnement. Dans certaines villes, c’est dans une ancienne cabine téléphonique, typique comme en Grande Bretagne tout en rouge, ou dans des communes de province ou une grande armoire comme à Malakoff. Mais, à Vanves, c’est une boîte rikiki qui a été inaugurée square Jarrouse à l’occasion du pique-nique de Quartier samedi dernier.
Une initiative du Conseil de quartier, dont certains membres s’étaient mobilisés pour trouver du bois et confectionner une grande boîte ou armoire à livres à partir de planches recyclées trouvées de part et d’autre des dépôts du Mercredi soir pour les enlévements des encombrants dans certains quartiers. Malheureusement, comme c’est souvent le cas à Vanves, concernant les conseils de quartier, et surtout du Plateau, la municipalié a repris la main, confié sa confection à un vanvéen pour aboutir à cette boite « rikiki» qui a dû coûter des cents et des milles contrairement aux matériaux recyclés et assemblées par des bénévoles. «Dommage ! A vous dégouter de prendre des initiatives, quand on voit le résultat» confiait un membre du Conseil de quartier. Ce qui n’empêche pas la municipalité de se gargariser de cette réalisation vraiment ridicule dont elle n’a même pas eu l’idée.
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