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ville de vanves - Page 454

  • LA CARTE DES PRIX DE L’IMMOBILIER A VANVES ET A ISSY LES MOULINEAUX : DES SURCOTES DE 10 A 20% PROCHE DU METRO

    «Les acquéreurs prospectent toujours, mais la frénésie d’achat qui a gagné ces deux villes entre mai et juillet semble terminée. Tandis que les prix, qui avaient grimpé de 1 à 3% après le confinement (et de 5 à 10% sur un an), stagnent depuis septembre, et pourraient refluer dans les secteurs les moins cotés» selon une enquête réalisée auprés de certaines agence immobiliéres des deux villes dont AAA Immobilier Vanves et Immobiliére Parent à Vanves. A Issy-les-Moulineaux, les appartements se vendent à moins de 8.000 euros le mètre carré, mais coûtent 10 à 20% plus cher s’ils sont au pied du métro, et en bon état.

    A Vanves, seuls les appartements très bien placés partent à plus de 7.000 € le mètre carré. Ceux excentrés se vendent avec plus de difficulté. «C’était le cas de ce deux-pièces de 42 mètres carrés, rue Larmeroux, qui vient de s’échanger après quatre mois d’attente à 235.000 € (5.595 € le mètre carré). Son propriétaire, qui en exigeait 260.400 €, a rapidement dû revoir ses prétentions. Enfin, le ticket d’entrée pour une grande maison avec un espace extérieur avoisine le million d’euros. Comme ce fut le cas, avenue Victor-Hugo, pour un pavillon datant des années 1960 et mitoyenne, de 168 M2 avec une cour, cédée à 1,18 M€ »

    Selon la carte les prix varient dans l’ancien et le récent de plus de 5 ans de 7000 à 8500 € le m2 dans les quartiers riverains du parc des expositions, du lycée Michelet, du Centre Ancien, et l’avenue du Parc, de 6 200 à 7400 € le m2 sur le Plateau et le long de la rue J.Bleuzen ainsi que la zone pavillonnaire autour du PMS, de 5500 à 6400 € le m2 dans les Hauts de Vanves prés de la voie SNCF Pais-Montparnasse et le triangle du Clos Montholon où le neuf explosent dépassant les 8000 € le m2 et même 10 000 € le m2 dans le quartier riverain du pac des expositions

  • LES PROJETS IMMOBILIERS A ISSY SONT RECOMPENSES POUR LEUR INNOVATION URBAINE ALORS QU’A VANVES ILS DENSIFIENT A OUTRANCE

    A l’occasion de la remise des trophées du Prix interdépartementale de l'innovation aux communes et collectivités alto-séquanaises et yvelinoises lauréates mardi dernier, quelques vanvéens ont pu constater que certaines communes (Chatenay-Malabry, Choisel, Issy-les-Moulineaux, Poissy, Meudon, Neuilly) ont mis en place une stratégie d'innovation urbaine pour faire émerger des projets innovants et de positionner l'Ouest francilien comme territoire leader de la ville de demain. Et ils ont pu faire la comparaison avec Vanves où l’on densifie «brute de béton» à outrance, sans véritable innovation architecturale ou urbaine et que la ville modifie son PLU pour permettre la construction de tour, suscitant moultes pétitions et protestations

    Ainsi, ses vanvéens ont pu constater que la ville voisine d’Issy les Moulineaux fait son projet dénommé «La Serre», situé dans la ZAC Léon Blum,  prés de la futiure gare du Grand Pars Express, RER Issy,, conçu par la célèbre agence

    d’architecture néerlandaise MVRDV co-fondée par Winy Maas, qui place la nature et l’habitant au coeur du bâti. Véritable oasis urbaine, ce «village vertical» se compose de logements et commerces insérés dans une serre ouverte intégrant plus de  3000 m² de terrasses et jardins. Particulièrement performante d’un point de vue environnemental, cette construction propose une nouvelle typologie urbaine hybride et végétalisée.

    Chaque logement disposera d’un espace extérieur, plus de 25 % de la surface habitable du bâtiment est consacrée aux terrasses et balcons pour une moyenne de 8 m² d’espace extérieur par habitant. La Serre renverse les codes de l’habitat traditionnel pour intégrer la nature en ville grâce à une végétalisation adaptée. Elle est composée d’espèces indigènes : un « jardin vertical » en façade, pergola ornée de plantes grimpantes comme la vigne ; des « jardins luxuriants » ; un jardin cultivé et partagé sur la toiture terrasse… L’utilisation de matériaux durables biosourcés et bas carbone a été privilégié afin de protéger la faune urbaine et la biodiversité. La Serre intégrera un immeuble de 18 niveaux (50 mètres), 12 900 m² de surface de plancher, 210 logements dont 30 % de logements sociaux, et 2 commerces en  rez-de chaussée (500 m²).

     Malheureusement rien de tel à Vanves avec des immeubles massifs, à ras du trottoir, réduisant l’espace piéton pour gagner des métres carrés,  avec des balcons au-dessus (avec le projet Bouygues Immobilier rue Marcheron sur la photo), comme c’est le cas aussi des immeubles en construction rue René Sahors prés de la Mairie, avec jusqu’à de haut mur aveugle à l’angle de rue (comme ce qui est prévu à l’angle Jullien/G. d’Estrée par Franco-Suisse ) sans prévoir un commerce quel qu’il soit pour animer le commerce, comme l’ont demandé les riverains sans être entendus. Les exemples abondent malheureusement

  • UNE NOUVELLE PETITION CONTRE UN NOUVEAU PROJET IMMOBILIER A VANVES

    Le collectif des « Arbres Pour nos Enfants » (DAPNE)  a lancé cette pétition contre le projet immobilier d’Effiage Immobilier à l’emplacement de deux pavillons de la rue Antoine Fratacci face à l’hôtel de ville et le square de le Mairie.

    « La demande  de permis de construire décrit la construction d’«un immeuble de 6 étages, sur 2 sous-sols, avec 3 cages d’escaliers pour 102 logements » qui remplacerait deux maisons entourées de grands jardins arborés situés face à la cour de récréation de l’École Élémentaire Cabourg »  indique ce collectif qui  dénonce le fait que « la construction d'un tel immeuble tout d’abord provoquerait des nuisances intenses et continues (bruit, poussières, …) impactant directement la qualité de vie des écoliers et du personnel scolaire pendant au moins 2 années scolaires ; ensuite, augmenterait la température de la cour de l’école en supprimant de grands arbres qui constituent un îlot de fraîcheur et une source de biodiversité, aujourd'hui plus que jamais, indispensable ; enfin augmenterait la température dans les classes du bâtiment de maternelle dans lesquelles les températures atteignent déjà les 40°c en période de forte chaleur  et mettrait en danger nos enfants par la présence d’un bâtiment de grande hauteur donnant directement sur la cour de récréation de l’école maternelle, occasionnant ce qui se passe déjà dans une autre école de Vanves : jets de détritus et objets en tout genre dans la cour de l’école .... »

    Plus généralement, aux yeux de ce collectif, « Pour les Vanvéens, un tel immeuble détruirait une quantité importante d’arbres et augmenterait la bétonisation d’une ville déjà très dense et très chaude avec des températures allant de 35 à 43 °C en été. Or les études scientifiques, comme celle de 2019 parue dans la revue officielle de l'académie des sciences américaine Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) démontrent que l'écart de température entre une zone à fort couvert arborescent et une zone sans arbres peut atteindre 4 ou 5 °C ! De plus les grands arbres sont d’excellents filtres pour les polluants urbains et les particules fines. Vivre à proximité d’espaces verts urbains améliore donc la santé physique mais également mentale en réduisant le stress »

    La demande de permis de construire étant encore à l'étude à la mairie, le collectif ne pouvant obtenir plus d’informations au sujet de ce projet a interpellé les de Vanves, la Députée, le Président de la Communauté GPSO et le porte-parole du gouvernement  « afin que ne soit pas validé un tel projet et qu’ils s’assurent de conserver les grands arbres anciens en protégeant les jardins en pleine terre ; éloigner l’éventuel immeuble de la cour de récréation par le maintien des jardins et des arbres ;  exiger qu’une hauteur de 4 étages maximum soit respectée afin qu’il n’y ait plus de vue directe sur la cour pour la sécurité et la sérénité de nos enfants »