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ville de vanves - Page 322

  • SCOT, PANNEAUX SOLAIRES, LES ECOLOGISTES DE VANVES RENVOYES DANS LES ROSES

    Les écologistes vanvéens ont posé deux questions orales intéressantes, la première totalement abscom pour les non initiés sur le SCOT, et la seconde sur des panneaux solaires, lors du conseil municipal du 30 Juin dernier. La première a été suscité par l’élaboration actuelle du SCOT (Schéma de Cohérence Territorial) Métropolitain en cours d’élaboration sur lequel GPSO  a donné un avis.

    Un document de planification stratégique à long terme (environ 20 ans) créés par la loi solidarité et renouvellement urbains (SRU) en décembre 2000, dont le périmètre et le contenu concerne le territoire de la Métropole du Grand Paris. il est destiné à servir de cadre de référence pour les différentes politiques sectorielles, notamment celles centrées sur les questions d’organisation de l’espace et d’urbanisme, d’habitat, de mobilités, d’aménagement commercial, d’environnement, dont celles e transition écologique,  de biodiversité, de l’énergie et du climat...qui encadreront par exemple l’ensemble des documents d’urbanisme (PLU de Vances, PLUI de GPSO). Les écologistes se sont étonnés que «la Ville cosigne cet avis de GPSO, sans qu’ait été fait le moindre débat interne. Elle  proteste contre un document d’orientation qu’elle juge « trop prescriptif «l’avis  invoque entre autres le risque de contentieux que ces recommandations seraient susceptibles de générer en donnant pour exemple le projet de construction de la porte Brancion (ex Woodeum) justement porté par la Métropole et-dont on a appris au cours du présent Conseil Municipal qu’il était réactivé bien qu’il suscite de nombreuses oppositions chez les riverains du secteur ».

    Ils lui reprochent d’invoquer au nom des concitoyens vanvéens qui n’ont pas été consulté qui «interfèrent ou durcissent inutilement des réglementations existantes comme le plan de prévention du risque inondation (qui a pourtant failli au printemps 2020 au Clos Montholon)» qui prévoit « la transformation de certains axes routiers en boulevards urbains qui selon vous ne correspondrait pas à l’attente des citoyens», «30% de terres pleine» que vous fustigez comme «peu réaliste» qui contraindrait inutilement le projet de PLUI que nous initions cette année », où vous prétendez «la densification en hauteur du secteur pavillonnaire entre en contradiction avec l’objectif de préservation de la richesse architecturale et paysagère du même SCOT » mais sans invoquer les 36 m du projet Mixcité qui va, lui aussi, boucher des perspectives….»  

    Comme d’habitude, l’exécutif municipal  a réfuté leur réflexion sur l’absence de concertation s’en référant à la loi, à la majorité de l’époque qui a établi ce document, aux travaux approfondi de GPSO, aux ateliers thématiques et séminaires organisés par la MGP et à l’enquête publique qui devrait avoir lieu où chaque citoyen aura la possibilité de donner son avis…Mais sans apporter de réponse sur le fond.

    Quant à des panneaux voltaïques installés sur le toit de l’école Cabourg proposé par l’association Solaire Citoyens Seine Ouest en 2019, elle a bûté sur un refus de la municipalités en arguant que «pour I ‘heure d'autres projets en réflexion sur cet espace ».  Les écologistes ont demandé quelles étaient ses projets  «Le projet a été étudié par nos équipes afin d’envisager sa faisabilité. Il n’a effectivement pas été retenu pour les raisons suivantes.  Lors de sa construction, ce toit terrasse a été conçu avec une toiture végétale. Y installer des panneaux solaires compromettrait tout développement des végétaux plantés sur le toit. Il serait en outre nécessaire de faire une étude de faisabilité afin de s’assurer que la structure est dimensionnée pour supporter un poids supplémentaire. Cette étude représenterait un coût pour la ville estimé à 4 000€ » a précisé Xavière Martin, adjointe au Maire chargée des écoles. «De plus, il semble que l’énergie solaire, bien que comportant des avantages, ne soit pas toujours un bon investissement en terme de développement durable. En effet, ces panneaux nécessitent une grande quantité de matières premières (900 tonnes de minerai pour une tonne de produit fini). Celles-ci sont, de plus, importées majoritairement de Chine ce qui limite l’effet vertueux de l’action si on appréhende l’action de manière globale.  De surcroît, l’installation de panneaux générerait une pollution visuelle pour les riverains ainsi que de potentiels risques d’éblouissement. Enfin, rassurez-vous, nous ne sommes pas en manque d’idées et la ville a, pour ce même espace, d’autres projets favorisant la préservation de la biodiversité» a-t-elle conclu. Circulez, y a rien à voir !

  • LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES DU 30 JUIN EN BREF

    PLAN DE RELANCE DES ASSOCIATIONS

    La Ville de Vanves souhaite accompagner les activités associatives à travers un plan de relance local. Parmi les aides proposées aux associations, la Ville de Vanves propose une subvention exceptionnelle dédiée au numérique à hauteur de 150€ maximum chacune. Il s’agit du Challenger Club, du club d’échecs e Vanves, la Compagnie l’Echauguette, Du grain à moudre, Du sport et plus, Le Cap, Les Caractéres, Les généalogistes de Vanves, Musicio Aris Paris, Passion Latina, Pré textes, Scrabble Club de Vanves, Vanves Art e culture, Vanves Billard Club, Viet Vo Dao de Vanves

    ADHESION A L’ASSOCIATION «LES BOïTES A VELO»

    La ville serait la première collectivité à adhérer à cette association auprès du collectif local d’Ile-de-France après la décision du conseil municipal. Née en 2012, cette association a pour but d’encourager et soutenir l’entreprenariat à vélo en France dans un objectif non partisan, d’utilité sociale et d’intérêt général afin de promouvoir l’usage du vélo comme mode de déplacement professionnel principal en alternative aux véhicules motorisés, autant pour le transport des biens que des personnes. Elle  prône un cadre de vie apaisé et un ancrage territorial fort et fonctionne sur une logique constructive en faisant appel à la proposition, la pédagogie et la collaboration. «Ainsi la commune pourrait avoir dans l’accès à un partage de connaissance, d’expériences et dans la mutualisation d’outils autour de la mobilité» selon Charles de Van de Casteele conseiller municipal délégué aux espaces verts, qui a précisé que « ce choix s’explique  car elle est complémentaire aux appels à projets lancés par GPSO sur le sujet», lorsque les écologistes se sont étonnés que la municipalité n’aient pas fait appel appel à des associations plus pertinentes que cette association qui se concentre sur l’entrepreneuriat à vélo.

    DES INFOS SUR GPSO

    A l’occasion de l’approbation de la convention relative à l’organisation de la mise en maquette, de la mise en page et de l’impression des articles consacrés à l’EPT (établissement public territorial) GPSO  Grand Paris Seine Ouesy) dans le journal communal de Vanves, Thibault Ljeune (EELV) a proposé  que GPSO puisse disposer d’un cahier détachable (au même titre que le cahier « culture ») dans Vanves Le Mag pour valoriser son action sur le territoire, et Jean Cyril Le Goff (LREM) a regrette qu’il n’y ait que 5 pages par an consacrées à l’action de GPSO, qui dispose pourtant de beaucoup de compétences sur la ville de Vanves. Et c’est le bien le drame de cette interco qui ne communique pas en dehors de l’information institutionnelle, comme d’autres en Ile de France grâce à des conférences ou des communiqués de presse, des retransmission de ses conseils territoriaux sur Internet etc…alors que ces décisions influent beaucoup sur la vie des vanvéens dans de nombreux domaines. D’autant plus que GPSO n’est pas une petite interco

     MISE EN PLACE DU PLAN DU MERCREDI  

    Durant l’été 2018, le gouvernement a lancé un nouveau dispositif appelé « PEdT/Plan Mercredi », pour soutenir le développement d’accueil de loisirs de qualité sur les mercredis en complémentarité avec le temps scolaire à l’occasion de la repriss d’un rythme scolaire de quatre jours (lundi, mardi, jeudi et vendredi) er le PEdT a n’a donc pas été renouvelé.  Or, ce dispositif prévoit un taux d’encadrement adapté pour les accueils périscolaires et un soutien financier accru pour les accueils du mercredi. Pour cela, la commune doit s’engager dans une convention tripartite avec l’Etat (les services de l’Education Nationale) et la Caisse d’Allocations Familiales (CAF).  Ainsi, la convention approuvée par le conseil municipal, définit les modalités de pilotage et coordination, les objectifs et les moyens ainsi que l’organisation de ce « PEdT/Plan Mercredi ». Les principaux objectifs sont les suivants : Favoriser et proposer des activités de qualité et diversifiées culturelles et sportives, assurer la mise en cohérence du projet d’école et des projets pédagogiques des accueils périscolaires, veiller au respect des rythmes de vie de l’enfant en tenant compte de la spécificité du mercredi, favoriser l’accueil de tous les publics.

  • LES PANNEAUX D’INFORMATION LIBRE A LA QUESTION AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES

    En matière de respect de la loi, tout est affaire d’application qui peut varier d’une ville à l’autre en fonction de la bonne volonté des élus surtout en matière d’informations, de concertation, de participation, afin qu’on ne puisse pas leur reprocher de ne pas l’appliquer. La mauvaise volonté prend différents formes comme à Vanves : Selon des sources sûres, les riverains s’attendent à ce que l’enquête publique sur la construction d’une tour hôtelière dans un quartier pavillonnaire de Vanves serait réalisée en plein mois d’Août  pour être sur d’avoir le minimum de participation et d’observations ( ?).  Au conseil municipal du 30 Juin,  les marcheurs qui ont remarqué que les panneaux d’affichage libre sont situés à l’écart des flux de passage, quand ils ne sont pas inaccessibles pour cause de travaux, ont posé une question orale :

    «Nous n’avons aucun doute sur le respect par la Municipalité de ses obligations en matière de nombre et de dimension des panneaux réservés à ce type d’affichage, généralement appelé « affichage d’expression libre ». Nous nous posons cependant la question de leur emplacement. La Municipalité a démontré sa capacité à informer les Vanvéens de manière efficace, que ce soit sur l’actualité locale ou les activités qu’elle organise, avec des panneaux d’affichage administratifs très visibles et situés à proximité des lieux de vie.  La Municipalité pourrait-elle envisager qu’une meilleure visibilité soit donnée à Vanves aux panneaux « d’expression libre », à proximité des lieux de vie (écoles, crèches, commerces), comme c’est le cas dans les villes voisines ? Nous pensons que cela favoriserait la pluralité de l’information et encouragerait les associations et formations politiques à respecter ces panneaux, éliminant de fait l’affichage sauvage qui constitue une pollution visuelle indésirable».  

    «Le nombre et la surface d’affichage des panneaux dits « d’affichage libre » sont effectivement réglementés en fonction du nombre d’habitants de la commune. A Vanves, la surface d’affichage réglementée est de 17 m2 minimum. En réalité, avec ses 8 panneaux de 2 m2 dont 4 sont exploités en double-face, la commune dispose d’une surface d’affichage libre de 24 m2, largement supérieure à la réglementation.  Le choix d’implantation des panneaux a été fait en fonction de la densité de l’habitat tout autour ou des flux de circulation automobile et non des lieux de vie tels que les commerces et les écoles.

    Une attention particulière a été portée sur l’encombrement de l’espace public. En effet, il n’a pas été jugé utile de multiplier le mobilier urbain dans des zones déjà très  fortement occupées. D’une manière générale, les sites retenus sont suffisamment ouverts pour permettre un affichage d’opinion visible» a répondu Julie Messier maire adjoint à la communication en précisant que « ces panneaux sont gérés par GPSO qui procède à leur nettoyage 4 fois par an. Ils ont été récemment renouvelés dans le cadre du marché de mobilier urbain passé avec la société JC Decaux et il n’est pas envisagé de les déplacer».